Matières premières : vers une pénurie mondiale de tout ?
Avec la reprise économique, la demande de matières premières augmente tandis que l’offre, désorganisée par la pandémie, ne suit pas. Quelles conséquences sur l’inflation ? Ce phénomène pourrait-il perdurer dans un monde sous contrainte climatique ?
Russeurope Express
Jacques Sapir et Clément Ollivier reçoivent Philippe Chalmin, professeur d’histoire économique à Paris-Dauphine et directeur du rapport annuel « Cyclope » sur les matières premières.
Tags : Economie Prospective et futur Précarité Crise financière
6 réactions à cet article
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Quand on regarde le passé, le pétrole cher n’impacte pas trop l’économie réelle par contre les crises sont souvent annoncées par une baisse du prix du pétrole, un baisse de la demande.
On a passé le pic de production du pétrole traditionnel en 2005-2008, la production assez spéculative du pétrole de schiste a gommé ce pic.
On arrivera quand même à une pénurie de pétrole qui impactera l’extraction et le transport des matières premières.
Le pétrole intervient aussi dans l’alimentaire à hauteur de 40% que ce soit au niveau énergétique ou des intrants. Un problème à venir dans 20-30 ans.
L’Europe depuis 2011 piste les ressources à risques à 10 ans. On prend en compte son importance dans la production et sa future rareté. Dans le rapport 2020 il y en a 28 sur lequels on ne pourra plus compter.
C’est du 10 ans c’est à dire demain, à 20 ans ou 30 ans ça devient catastrophique avec le pétrole qui impactera l’extraction comme le transport.
Philippe Chalmin a une vision d’économiste pour qui les ressources sont infinies si l’on paie.
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@Zip_N
Ben merci, Dallas, le plus vomitif des feuilletons, à l’époque je n’ai réussi à en regarder que 10 minutes.
A priori on a pas les mêmes goûts. -
On a surtout une très grosse pénurie d’intelligence, et contre ça on ne peut pas grand chose, rendez-vous a la prochaine civilisation si il reste encore quelque chose debout.
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Hs, alerte toxicomanie.
" Connue sous le nom de « bombé », qui signifie « puissant » dans la langue locale, le lingala, cette concoction douteuse est basée sur une poudre brune obtenue en broyant le noyau en céramique des convertisseurs catalytiques, une pièce automobile conçue pour réduire l’émission de gaz toxiques dans les tuyaux d’échappement des véhicules. Mélangée à divers comprimés, cette poudre plongerait les consommateurs dans un état quasi catatonique, où ils resteraient immobiles pendant des heures, parfois des jours, ou se déplaceraient sans but comme des zombies, ce qui leur a valu le sinistre surnom de « zombies de Kinshasa ». "
Quelques vidéo via "anguille sous roche"
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Ces deux-là sont en dehors du coup à chercher des explications techniques ou économiques. Pour moi ce bordel a été voulu et organisé. Ça fait partie du plan comme le corona-circus.
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...Mais j’aime bien la fin souhaitée par Monsieur Chalmin
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