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Paix et Guerre n°5 : analyse critique de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson

Actualité oblige, vous trouverez dans cette vidéo une analyse critique, à froid, de l’interview de Vladimir Poutine par le journaliste américain Tucker Carlson le 9 février dernier. Dans ce contexte, il n’est pas seulement utile de décrypter ce que Vladimir Poutine expose, il faut également s’arrêter sur ce dont il ne parle pas mais qui existe "en creux".

Tags : Politique Etats-Unis Russie Vladimir Poutine




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    Étirév 16 février 09:19

    Vladimir Poutine, le Roi du Mond…ialisme.
    Back to the future :
    Tout comme lors de la Guerre de 1914-1918, qui a permis au communisme de prendre le pouvoir en Russie, la deuxième Guerre mondiale permettra au communisme (de Staline) d’étendre son emprise, avec l’approbation (et le soutien) de la haute finance. Puis, après Khrouchtchev, qui succèdera à Staline et qui sera l’artisan d’une « déstalinisation » de l’URSS et d’une « Détente » avec les USA, une nouvelle phase débutera au milieu des années 1980 avec l’arrivée, à la Direction du Parti Communiste, de Mikhail Gorbatchev, futur prix Nobel de la Paix (comme Barack Obama) qui, de 1985 à 1987, mettra en œuvre un programme de « réformes » économique et politique, appelé « Perestroïka » (Restructuration), et qui aboutira à la désintégration de l’URSS, conséquence indispensable à la mise œuvre d’une plus grande « efficacité économique » et d’une « démocratisation des institutions » ; une sorte de test, à grande échelle (régionale) du « Grand Reset » avant l’heure ; « Pour faire une révolution, disait Julian Huxley, l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente ; la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue. » (« Tempo dì Rivoluzione », Mondadori, 1949, p.16 ).
    Ainsi, l’économie soviétique gorbatchévienne se libéralisera grâce aux injections massives de la Haute Finance, et, dans le même temps, l’économie occidentale poursuiva à rythme soutenu sa socialisation. Relevons que la prolifération du rock en Russie est un sous-produit de la « Perestroïka ». À ce sujet, Jacques Delacroix nous rapporte que « Jusqu’en 1981, la musique rock était encore décrite dans la Grande Encyclopédie soviétique comme monotone, banale et esthétiquement scabreuse et attribuée à l’influence pernicieuse de la culture bourgeoise et à l’imitation aveugle des modes occidentales. » (« Maitreya : le nouveau Messie ? Du dévoilement du plan du chaos planétaire à l’émergence de ” l’Instructeur mondial ” »).
    Mikhail Gorbatchev, qui démissionnera en décembre 1991, laissera place à Boris Eltsine, évidente « marionnette » intérimaire et fortement alcoolisée, qui sera élu, dorénavant au suffrage universel, Président de la nouvelle « République Fédérative de Russie » (afin de se donner une image de sobriété, Boris Eltsine inaugura son mandat avec une campagne musclée contre la consommation de vodka qui, d’ailleurs, fut l’une de ses mesures les plus controversées). Il tiendra ce rôle jusqu’en décembre 1999, lorsqu’il démissionnera à son tour. Son incapacité pour raison de « santé » (Eltsine sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme) et son incompétence, qui seront mises à la disposition des projets des mondialistes, permettront de préparer l’avènement et le long règne d’un nouvel acteur politique majeur, et plus « moderne » : Vladimir Poutine.
    C’est ainsi que le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. Pour beaucoup aujourd’hui, Vladimir Poutine est devenu une sorte de « Superhéros » luttant contre le « Nouvel Ordre Mondial », à l’instar de son ex-homologue étasunien et milliardaire, Donald Trump, tant vanté et glorifié, lui aussi, par une dissidence peut-être un peu trop naïve.
    Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir. De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis 1999, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».
    Enfin, rappelons également, et en parallèle, qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City » dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
    NB : Coincidence, Fake news, Conspiracy ?
    Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière », ou « Illuminati », qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
    Première guerre mondiale : Elle devait être mise en scène pour que les « Illuminati » aient un contrôle direct sur la Russie des Tsars ; des divergences suscitées entre l’Empire Britannique et l’Empire Allemand, par des agents des « Illuminati », devaient être le « coup d’envoi » de cette guerre. Ainsi, en détruisant le régime Tsariste, les « Illuminati » permettraient l’avènement du communisme.
    En obtenant le contrôle d’un gigantesque territoire à l’Est, ils pourraient y tester à fond leurs théories totalitaires (qui allaient coûter des millions de vies humaines) afin d’en corriger les défauts.
    Les « Illuminati » souhaitaient utiliser la Russie comme la « bête noire » pour leur plan à l’échelle mondiale, c’est-à-dire comme un « outil » au service de la destruction d’autres gouvernements et de l’affaiblissement de la religion : la FAUCILLE, arme tranchante qui égalise, nivelle tout, provoque la mort ; le MARTEAU, devient ici l’objet des puissances d’« En-Bas », l’image du mal et de la force brutale, pour écraser toujours plus ; c’est aussi l’industrie ou la métallurgie qui rappelle les « génies infernaux » armés de marteaux, à l’époque où l’homme commence à travailler les métaux, et qui les faisaient servir à des arts abominables, à des crimes.
    Deuxième guerre mondiale : Elle aurait été créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant, cette fois-ci, entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés… Cette seconde guerre mondiale (nouvelle hécatombe en vies humaines, bientôt suivie d’une immigration de masse en Europe qui en effacera progressivement le visage et peut-être l’histoire) aurait également permis à la Russie d’étendre sa zone d’influence, en particulier grâce à la constitution d’une « Internationale Communiste ». De plus, et selon la progression du Plan, en devenant le « pire ennemi » du monde « libre », à l’Ouest, « l’épouvantail Communiste » (URSS), à l’Est, obligerait les peuples Occidentaux (dans une prétendue « Guerre Froide ») à accepter la création d’alliances globalistes supranationales qui n’auraient pas pu voir le jour sans cela, du moins jamais aussi rapidement et surement, telles que l’OTAN et l’ONU (autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier).
    Cette rivalité (de façade), inaugurée en août 1945 avec le double crime « atomique » contre l’humanité commis par le gouvernement étasunien (véritable démonstration de force des « Illuminati » destinée à faire de la menace nucléaire l’instrument d’un nouvel ordre du monde fondé sur la terreur), entretenue avec la complicité des soviétiques et leur premier essai atomique au plutonium en août 1949 (qui marque le début d’une nouvelle « course à l’armement »), devait surtout avoir pour but de provoquer un regain de vitalité du commerce (voire du trafic) international des armes…
    Troisième guerre mondiale…
    Suite



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