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Accueil du site > Actualités > International > Tsipras en Russie : « le problème s’appelle la zone euro »

Tsipras en Russie : « le problème s’appelle la zone euro »

Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, en déplacement en Russie : « Le problème ne s'appelle pas la Grèce, le problème s'appelle la zone euro. »

 

 

 

Ce vendredi, un contrat s’élevant à 2 milliards d’euros a été signé avec Vladimir Poutine, portant sur la construction en Grèce d’un gazoduc russe

 

 

 

levif : Tsipras - Poutine, un rapprochement et un accord qui font mal à l’Europe
 

 

 

Le 16 juin Jacques Sapir prédisait que : "L’Eurogroupe va payer très cher le fait de ne pas avoir écouté le gouvernement grec"

 

 

 

Ne reste plus qu’à savoir quel scénario a été prévu pour la suite de cette tragi-comédie des plus grotesques...

 

Tags : Europe Economie Politique International Russie Euro Grèce Dette Vladimir Poutine Alexis Tsipras Union européenne




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21 réactions à cet article    


  • 14 votes
    La Plume La Plume 20 juin 2015 15:24

    Tant mieux pour les grecs, l’Europe n’est pas fait pour les peuples mais pour ceux qui veulent les dominer politiquement et financièrement.

    J’espère que les grecs trouveront une issue rapide hors de l’UE, cela ne pourra que convaincre les autres peuples des pays de la zone de la supercherie de cette structure anti démocratique.

    • 2 votes
      le celte 20 juin 2015 15:33

      Comment voulez vous faire face à une stratégie globale organisée si vous êtes un tout petit pays de râleurs, de grandes gueules, et de m’en-foutistes. Pour moi la Grèce c’est le pays de la FETA, un fromage qui cache son jeu.


      • 6 votes
        jeanpiètre jeanpiètre 20 juin 2015 15:40

        @le celte
        un celte qui juge un grec, on aura tout vu


      • 2 votes
        le celte 20 juin 2015 16:22

        @jeanpiètre
        Entendre ses faiblesses, c’est devenir plus fort.


      • 3 votes
        joelim joelim 21 juin 2015 11:38

        La feta encore on peut fermer les yeux. Mais la moussaka... Dix couches de mauvaise foi les unes sur les autres, sans même un faux pli, c’est à ça qu’on reconnait la perversion des grecs.


      • vote
        le celte 20 juin 2015 15:58

        Les Celtes n’existent plus....presque plus....comme la Grèce.


        • 1 vote
          coinfinger 20 juin 2015 16:23

          C’est plus qu’un bon mot , une simple contraposition ,’le pb c’est la zone Euro ’ . C’est un fait le plus significatif n’est pas encore que Tsipras est signé un accord sur un gazoduc avec les Russes , sui reste un projet , ni méme les pertes ( plusieurs centaines de milliards d’euros quand méme de l’euro groupe , bagatelle en comparaison des QE , LTRO et autres gabegies ) , c’est à mon avis surtout les investissements et accord annoncés par trois mastodontes Allemands et Autrichiens en vue d’un gaz Russe passant par les Balkans et la Turquie . Qui comme par hasard entrent dans le chaudron du sorcier US : Macédoine , défaite d’Erdogan , Albanais comme islamistes activites , donc Monténégro , Serbie , et autres ...non négligeables , comme Transnistrie , Moldavie , et méme indirectement Roumanie qui fait tout pour faire croire qu’elle est pas là . Tout çà en rapport avec un futur tracé de gazoduc , bien sur .

          Autrement l’euro , les traités , l’Europe deviennent un pb , une complication inutile dans il convient de se passer .


          • vote
            le celte 20 juin 2015 16:45

            @coinfinger
            Votre vision est judicieusement en dehors de tous propos humaniste, telle est la réalité.


          • 4 votes
            jeanpiètre jeanpiètre 20 juin 2015 16:57

            pour une fois qu’un gouvernement européen parle le langage du citoyen européen lambda , contre le discours des gouvernements européens lambda, on remarque une certaine morne des médias européens lambda



            • vote
              Croa Croa 21 juin 2015 16:35

              À jeanpiètre « une certaine morne »

              Tu veux dire norme, morgue,... ? (J’opterais pour morgue.)


            • vote
              jeanpiètre jeanpiètre 21 juin 2015 20:16

              @Croa
              non, je n’avait pas vérifié , je l’ai donc écris comme cela me venait ^^ , et vérification faite c’est le mot juste , qui englobe les notion d’apathie de manque d’entrain et d abandon


            • 2 votes
              lancelot 20 juin 2015 17:45

              il a voulu rester dans la zone euro pour se faire élir, maintenant il n assume plus.

              pauvre type !
              les grecs n ont effectivement rien a faire dans une zone en commun avec des pays comme l allemagne et la france .
              les grecs sont des branleurs, adeptes du contournement fiscal, du clientélisme et de la gabegie gestionnaire. foutez les dehors ! livrez les aux turcs !

              • 2 votes
                Croa Croa 21 juin 2015 16:45

                À lancelot,

                Certaines personnes pour des raisons idéologiques tiennent à une grande europe des nations rassemblées. Elles croient donc pouvoir changer l’actuelle union.

                Non les grecs ne sont pas tous des branleurs et ceux auquels tu pense ne sont pas de vrais grecs (Les banquiers, armateurs et autres contourneurs fiscaux ont des points de chutes partout dans le monde comme tous les vrais riches !)

                Certans grecs ont déjà émigrés en Turquie, la vie y étant plus douce !


              • 2 votes
                ebsa8 20 juin 2015 19:31

                Les grecs sont un rempart contre l’Orient islamo-barbare, le problème ce sont GoldmanSachs, un peu trop d’évasion/filouterie fiscale, L’Europe néolibérale US au service de la destruction des peuples européens, la menace russe, la faiblesse de nos dirigeants face à des situations qui demandent corones, volontarisme et solidarité européenne.
                 A part cela c’est assez comique de voir les communistes grecs aller se consoler chez Poutine et négocier un accord gazier, je ne suis pas sûr que mettre ses couilles entre les mains des russes soient une bonne idée, mais si c’est le choix de Tsipras...


                • 2 votes
                  jeanpiètre jeanpiètre 20 juin 2015 20:10

                  @ebsa8
                  effectivement, pendant qu’on fait focaliser sur les migrants d’itzlie , de grêce ou de calais, goldmann sachs est déjà à toutes les places stratégiques de l’europe.

                  la grece a toujours eu un rôle géostratégique pour l’europe , ça a un coût.

                  courir après le gaz russe ou après la dette atlantiste , sacré dilemne 


                • 6 votes
                  Latigeur Latigeur 21 juin 2015 11:27

                  « Le problème ne s’appelle pas la Grèce, le problème s’appelle la zone euro. »


                  Si c’est vrai, si le gouvernement grec le pense, qu’est-ce qu’il attend pour quitter cette zone à problème ?

                  Bon débarras et qu’ils s’assument enfin courageusement leur dénuement.

                  Ils me font penser à ces indépendantistes antillais qui disent pis que pendre de la métropole mais vous expliquent qu’il n’est pas encore temps pour l’indépendance : "ils n’ont pas fini de traire la vache" selon la délicate expression corse...

                  • 2 votes
                    jeanpiètre jeanpiètre 21 juin 2015 11:37

                    @Latigeur
                    ok, avec nationalisation de tous les équipements viables, ports,banques, réseau d’energies, complexes touristiques , et surtout les gisements de gaz dans leurs eaux territoriales.

                    sur que ça précipite l’entrée de la turquie dans l’europe, tout en assouplissant les conditions !

                    quand à la question de la traite , l’europe n’est pas bon fermier, elle s’obstine à traire les vache qui ont le moins de lait.

                    toute ressemblance avec la situation française doit sans doute être un pur coincidence


                  • 3 votes
                    Latigeur Latigeur 21 juin 2015 13:17

                    @jeanpiètre

                    Les nationalisations n’ont jamais été une solution de progrès social, juste un cache misère provisoire. Elles n’empêchent pas les détournement de fonds au profit de ceux qui gouvernent mais sont le plus souvent un frein au développement, voir les diverses expériences communistes.

                    La réalité de la Grèce, c’est qu’elle ne produit pas assez de richesses pour assumer un train de vie un temps artificiellement gonflé par les facilités d’emprunt liées à l’appartenance à la zone euro.

                    L’Etat grec a emprunté sans mesure et injecté cet argent dans l’économie grecque via les emplois de fonctionnaire et les subventions sans favoriser les productions locales, la Grèce a longtemps affiché un déficit commercial abyssal, ce genre de déséquilibre structurel ne peut pas durer très longtemps.

                    Aujourd’hui, les créanciers échaudés ne veulent plus continuer à remplir le tonneaux des danaïdes et que ce soit dans la zone euro ou en dehors, les grecs vont devoir faire avec leurs ressources propres.

                    Ils ont le choix : 

                    -pauvres et seuls responsables de leur devenir avec dans un premier temps un retour à leur niveau de vie d’avant l’euro, 

                    -ou pauvres et assistés dans une Europe qui les aidera au compte goutte sur le chemin d’un développement qui mettra un certain temps à produire ses effets pour la population.


                  • 2 votes
                    jeanpiètre jeanpiètre 21 juin 2015 14:32

                    @Latigeur
                    vous devriez postuler chez nextmedia, ils ont un certains goûts pour le martelage de fausses vérité.

                    vous esquivez d’ailleurs la partie géostratégique , qui je le répète à été la principale raison de c’est engouement européen pour la grèce, je suppose que vous attendez un topo de nicholas doze


                  • vote
                    Latigeur Latigeur 22 juin 2015 10:21

                    @jeanpiètre

                    Aucun intérêt de discuter avec quelqu’un qui n’argumente pas mais se contente d’attaques ad hominen.


                  • 1 vote
                    jeanpiètre jeanpiètre 22 juin 2015 11:13

                    quand j’argumente vous passez à côté , quand je vous le fait remarquer ironiquement vous le prenez pour une attaque personnelle. N’inversez pas les rôles, c’est d’une telle facilité



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