Eric Raoult... ou comment essayer de défendre maladroitement l’indéfendable. On pourrait l’amener à la mer, il nierait y voir de l’eau. Idem pour ses copains UMP, dont le ’mini-boss’ et certains qui osent évoquer parfois l’argument des ’méthodes fascistes’. C’est à se demander qui emploie des méthodes fascistes au quotidien. Pauvre France.
Comment un député-maire (et ça palpe, ça brasse à ce niveau) peut-il ’déontologiquement’ continuer à mettre en cause ce travail journalistique (là il faut bien le reconnaître... vivement que Médiapart se mette sérieusement à traiter le 11/09, entre autres) après les décisions de justice en faveur des journalistes, et après les indéniables faits présentés (et il y en a plus d’un - la ’saga Bettencourt-Woerth’) ? Les Raoult, Estrosi, Besson, Bertrand, ... tous ces lèche-boules sont prêts à défendre coûte-que-coûte leurs intérêts communs, le ’poulain Woerth’ et ’la plus riche fortune de France’, commissions au passage, quitte à perdre la face et un peu plus de confiance des Français.
Car avec une justice véritablement ’neutre et indépendante’, ça fait longtemps que des peines de prison (avec sursis voire fermes) auraient été prononcées à l’encontre de quelques protagonistes directement concernés. La liste des ’anomalies’ est longue. Financement illégal de parti à but électoral pour la Présidence, ça va chercher dans les combien ? Le licenciement du candidat en question a minima... Mais cette mafia a la main mise, donc la condamnation c’est pas pour tout de suite (en face c’est pas mieux remarquez).