@eau_du
désolé, initié ou pas, votre titre est trompeur et votre lien ne peut pas dire le contraire et je n’ai pas besoin d’aller le lire pour le savoir, pour la simple raison que le forum de Davos regroupe les plus grand propriétaires de la planète et qu’ils n’entendent certainement pas se dépouiller eux même de leur propriété privé mais au contraire de la renforcer avec l’idée de la rendre indestructible.
ici vous parlez de la propriété privé de la classe ouvrière et moyenne, la même qui avant la fin de la seconde guerre mondiale n’avait pas de propriété privé.
Cessez donc de raisonner par rapport à votre ennemi car vous ne le combattez pas, mais lui servez la soupe. Ce qui est un comble.
Bref, je me fous complètement de votre Kauss machin, même si je peux prendre à mon propre compte la phrase "vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux", la différence étant que cela s’applique en premier lieu à tous les membres du forum de Davos, donc, à ce Klauss machin. Mais là, il n’y aurait pas de Klauss machin à Davos.
Car c’est à cette seule condition que vous pouvez parler de la fin de la propriété privé qui n’a fondamentalement de sens ou raison d’être que pour prélever l’impôt privé sur le travail d’autrui et ainsi exploiter son temps de vie à son profit exclusif. Mais dès lors où vous mettez le principe du mérite personnel en avant, alors, plus personne ne peut exploiter le mérite d’autrui à son profit et conséquence directe, la propriété privé n’a plus de sens. Principe qui peut se résumer à la formule "nul ne peut prétendre à plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il n’accomplit de devoir par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il ne réclame de droits.
Mais cela implique de placer la responsabilité devant la propriété, mais comme vous soutenez mordicus la propriété privé, alors, vous êtes fondamentalement du même coté que les ploutocrates que vous affirmez combattre par ailleurs.
Ici, le fameux aphorisme de Bossuet s’applique, soit, "Dieu se rit de ceux qui déplorent les conséquence dont ils vénèrent les causes" ;