Euh... la question portait sur la mise en examen confirmée de Nicolas Sarkozy.
Quelle bonne idée que de poser la question à un de ses récents ministres, expert en pénal...
SOURCE : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Longuet
En 1964, il prend part, en compagnie
d’Alain Madelin, à la création du mouvement Occident, groupuscule
d’extrême droite souvent impliqué dans des affrontements violents
contre l’extrême gauche.
(…) En 1967, soupçonné en sa
qualité de dirigeant du mouvement d’extrême droite Occident
d’avoir été un des instigateurs d’une expédition violente contre
des étudiants d’extrême gauche à l’université de Rouen (l’un de
ces derniers étant laissé dans le coma après l’attaque), Gérard
Longuet est inculpé et condamné le 12 juillet 1967 à 1 000 francs
d’amende pour complicité de « violence et voies de fait avec armes
et préméditation », en même temps que douze autres militants
d’extrême droite, dont Alain Madelin, Alain Robert et Patrick
Devedjian.
(…) Il est amnistié en juin 1968.
Après la dissolution, par le Conseil des ministres, d’Occident en
octobre 1968, il rejoint le Groupe union défense (GUD), groupuscule
d’extrême droite mené par Alain Robert, dont il écrit la charte,
puis Ordre nouveau, destiné à rassembler les nationalistes.
Il fera partie en 1971 avec Claude
Goasguen de la direction de ce mouvement, dissous par décret du
Conseil des ministres le 28 juin 1973 — en même temps que la Ligue
communiste d’Alain Krivine et d’Henri Weber — pour « atteinte à
la sûreté de l’État ».
(…) Inquiété pour le financement
du Parti républicain et la construction de sa villa, il doit
démissionner du gouvernement Édouard Balladur en octobre 1994, et
entame un retrait médiatique tout en restant à la tête de la
région Lorraine. Il est mis en examen en 1995 dans l’enquête sur le
financement occulte du Parti républicain. Il bénéficie d’un
non-lieu le 8 mars 2010, en partie grâce à la loi d’amnistie de
1990 sur les financements politiques, certains faits reprochés
représentant un financement illégal de parti politique, mais la loi
d’amnistie ne permet des poursuites que pour « des faits
d’enrichissement personnel ».
(…) Renvoyé devant le tribunal
correctionnel pour « recel d’abus de crédit » dans une affaire
concernant la construction de sa villa de Saint-Tropez (Var), il est
relaxé en première instance, puis par la cour d’appel de Paris, en
novembre 1998. Mis en garde à vue en mai 2001 pour recel de
corruption dans l’affaire des marchés publics d’Île-de-France, il
est également relaxé, en octobre 2005.
Durant ces années, il est
administrateur de sociétés d’ingénierie informatique et de
conseil, il préside la société Herbemont-César et Associés à
partir de juillet 1999, et fonde en avril 2004 une holding
spécialisée dans le conseil, Sokrates Group, dont il est le
président.
Face à un tel honnête homme, exemple pour la jeunesse et étalon de la vertu républicaine, cette c...sse de journaliste n’a eu pour réponse qu’un vent insalubre, dont nul ne sait d’où il est sorti (j’ai connu des culs ventriloques, et lycée de Versailles).