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Sortir de l’union européenne

Dans ce nouvel épisode, nous avons l'honneur d'accueillir l'écrivain et historien Olivier Delorme, spécialistes de l'Union Européenne et des questions balkaniques, pour discuter avec nous de ses sujets de prédilection, dont la nécessite de sortir de l'Union Européenne.

Tags : France Politique Union européenne République




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    Étirév 15 février 07:25

    « Sortir de l’union européenne », ça ne suffit pas !
    Plus encore, il faut sortir de l’emprise du cartel des banques centrales, ces institutions financières privées, de plus en plus arrogantes et gourmandes.
    La Banque des Règlements Internationaux (B.R.I.), créée au tout début des années 1920, dont le siège se trouve à Baal

    … Bâle en Suisse, au sein même de la ville qui, pour la « petite histoire », a inauguré, en 1897, le premier congrès Sioniste, chapeaute toutes les banques centrales du monde. La B.R.I. est dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État, elle a tous les privilèges, notamment en matière d’immunité de ses membres, et ne rend de compte à personne.
    La B.R.I. est, à l’origine, des cartels internationaux basés en Allemagne et dirigés par les Britanniques, qui furent créés dans les années 20.
    Remarquons que le communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. Aussi, sans la B.R.I., l’Allemagne nazie n’aurait jamais pu financer ses préparatifs de guerre. La B.R.I. a ainsi été la principale machine ouvrière de la 2ème guerre mondiale.
    Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole sur le crédit des gouvernements, et son but est de convertir ce monopole en un monopole, exclusif sur tout : la politique, la culture, l’économie, la religion etc.
    Ces institutions sont nées sous le signe de l’imposture : présentées comme des banques d’État, elles disposaient à ce titre de la garantie de l’État (c’est-à-dire des contribuables de l’État) alors que ses capitaux restaient dans des mains privées. L’appropriation par des intérêts privés est le vice initial du concept de banques centrales. C’est ainsi que la banque d’Angleterre (1694), la Banque de France (1800), la Réserve Fédérale américaine (FED, 1913) la Gosbank de l’Union Soviétique (1923) qui est devenue la Banque centrale de la fédération de Russie (1991), la Banque des Règlements Internationaux (B.R.I., 1930), le Système Européen de Banques Centrales (dit SEBC, décidé par le traité de Maastricht en 1992 et entré en vigueur en 1999) reflètent, toutes, un désengagement des instances politique de l’État dans la gestion centralisée des masses monétaires en circulation.
    Rappelons que, mensongèrement présentée comme « intimement liée à l’histoire de la nation », la banque de France a été conçue, comme toutes les banques centrales, comme une entreprise capitaliste détenue par des personnes privées.
    Les banques centrales sont aujourd’hui l’élément pivot, fondamental, du système monétaire mondial. En prenant le contrôle des monnaies, ces « puissances d’argent » ont pris le contrôle des économies puisqu’elles étaient en mesure de décider, en toute autonomie et de façon discrétionnaire, de l’affectation des ressources monétaires.
    Les banques centrales, c’est-à-dire leurs actionnaires cachés derrière l’anonymat, « fabriquent » autant qu’ils veulent, des dollars des €uros, etc. Cet argent est prêté aux différents gouvernements en échange d’obligations qui servent de sécurité à ces banques. Ces obligations sont entre les mains des banquiers privés qui en touchent annuellement des intérêts.
    Rappelons qu’en 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d’environ 1.070.241 millions de $. La Réserve Fédérale américaine, la « FED », récolta environ 115800 millions de $ d’intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la « FED », donc dans celles des banquiers privés internationaux. En 1992, les obligations possédées par la « FED » étaient d’une valeur d’environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C’est la « FED » qui a créé tout ce capital en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n’a eu qu’à payer les frais d’impression d’une « monnaie de singe » qui rapporte néanmoins de très gros intérêts. Eustace Mullins disait de la FED qu’elle n’était ni « Fédérale », ni une « Réserve », mais simplement un « Syndicat du crime ».
    La loi de 1973, en interdisant à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnait la Nation à se tourner vers des banques privées et à leur payer des intérêts. Ainsi naquit la dette perpétuelle.
    Aujourd’hui, le montant de la dette est de 3 046 900 000 000 €. Ainsi, c’est 55 milliards d’€ que les contribuables français devront verser aux banquiers privés pour l’exercice 2023, au titre des seuls intérêts de la dette.
    « Cœur nucléaire » du dispositif monétaire international, le système des banques centrales est une escroquerie institutionnelle ; il est une véritable association de malfaiteurs, « faux-monnayeurs », et la plus grande duperie de l’histoire financière des temps modernes.
    En 2011, l’OTAN a fomenté et conduit une « révolution » en Lybie, l’un des derniers pays au monde qui n’avait pas encore de banque centrale. Maintenant la Lybie en est dotée. Rappelons que l’une des premières décisions du Conseil National de Transition, lors de la conférence du groupe de contact sur la Libye qui se tenait à Paris en mars 2011, a été la création d’une banque centrale assujettie aux normes de la Banque des Règlements Internationaux (BRI).
    Remarquons qu’au cours des révolutions « spontanées », les « rebelles » n’attaquent jamais les banquiers, leurs domaines ou leurs banques.
    Faire disparaître la prétendue indépendance et intégrité de la B.R.I., ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien.
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