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Accueil du site > Actualités > Santé > Alerte : 5.77 microsieverts/heure de radiation près de Tokyo

Alerte : 5.77 microsieverts/heure de radiation près de Tokyo

Les radiations vont avoir amplement le temps maintenant, de faire le tour de la Terre plusieurs fois avant que l’on ne trouve une solution, qui assurément ne se fera pas cette année de la manière où vont les choses, c’est parti avec cette indifférence et ce manque de transparence flagrant. Ça nous amène presque à suspecter une volonté complice des hauts dirigeants de ce monde de tous nous irradier tellement le laisser faire est apparent. Trop occupés à bombarder la Libye, ou à débattre de l’affaire DSK.

 

Un crime contre l’humanité se déroule peut-être sous nos yeux, et encore une fois rien ne se fait.

 

A 220 km au sud de Fukushima, à la périphérie de la région de Tokyo, le 7 juin 2011. Je viens de marcher à l’extérieur de ma maison et le rayonnement de l’air n’est pas dangereux, mais le sol l’est !!!!! Le rayonnement est beaucoup plus élevé dans les zones basses.

 

Le gouvernement japonais a insisté sur le fait que de telles lectures ne sont pas fiables et devraient être prises à environ 1 mètre au-dessus du sol ....................................

Tags : Santé Nucléaire Santé menacée International Japon Fukushima




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21 réactions à cet article    


  • 20 votes
    webrunner webrunner 9 juin 2011 10:28

    merci pour votre témoignage, car il est d’autant plus précieux qu’ils sont rares. Je fais d’ailleurs la même chose de mon côté avec un compteur RADEX.


    • 25 votes
      Bender Bender 9 juin 2011 10:58

      5 micro-sieverts/heure = 120/jour = 43800/an. Ce qui correspond donc à plus de 43 milli-sieverts par année. Rappelons ici que la dose maximale pour les travailleurs du nucléaire en France est de 20 milli-sieverts/année. Et pour les gens comme vous et moi, elle est de 1milli-sievert/année, toujours en France. Vous me direz qu’il faut rester couché sur cette bouche d’égouts pour recevoir autant de radioactivité, je vous répondrai certes. Mais songez au fait que la radioactivité dans l’air n’est pas le seul facteur de contamination, il y a aussi l’ingestion d’aliments plus ou moins irradiés, entre autres.
      Si vers la bouche d’égout il y autant de radioactivité, imaginez une seconde combien il y en a dans les égouts !
      Sur les toits, c’est la même chose... En fait, il y a une forte radioactivité partout ou s’est déposée la pluie. Cela devient franchement inquiétant pour les habitants du Japon et de Tokyo ; leur gouvernement ne leur dit rien. Et tous ces pro-nucléaires qui essaient encore de nous faire croire que le nucléaire est une énergie d’avenir, sure et propre ! Ils en ont la preuve devant les yeux de la sureté du nucléaire !!!


      • vote
        rastapopulo rastapopulo 9 juin 2011 12:24

        Au secours, + de 30% de notre exposition aux émissions radioactives vient du médicale...

        C’est pas grave ? 

        60 à 70 % est naturelle alors !


      • 15 votes
        Bender Bender 9 juin 2011 16:58

        Et qu’est ce que la radiation "médicale" change à ce qu’on voit dans cette vidéo ? Une fois de plus, vous êtes complètement à côté de la plaque, faut arrêter de nous raconter des salades...
        Cette forte radioactivité vient de la catastrophe de Fukushima ! Et, à mon humble avis, ce n’est que le début, la situation ne peut hélas qu’empirer avec trois enceintes de confinement rompues qui laissent sortir la radioactivité des réacteurs en fusion !!
        Ouvrez les yeux, le nucléaire est une énergie du passé, dangereuse et polluante pour des siècles avec leurs déchets dont il ne sont pas près de savoir qu’en faire !! Or, c’est vers l’avenir qu’il faut se tourner !!


      • vote
        rastapopulo rastapopulo 9 juin 2011 20:27


        Il y a pas que les centrales des années 70 sur des failles sismique non plus. 

        Donc vous êtes hors sujet tout comme moi alors.


      • 14 votes
        Talion 9 juin 2011 11:46

        Tokyo future ville fantôme...


        • 2 votes
          rastapopulo rastapopulo 9 juin 2011 12:17

          En 97 (Après Tcherno donc) toutes les études ont prouvées que moins de 1% des émissions de radiation proviennent des centrales nucléaires...

          C’est pas la vérification qui vous étouffe  !

          "Selon une étude de Billon S. et Al[7], l’exposition naturelle à la radioactivité représenterait environ 2,5 mSv sur un total de 3,5. Cette dose peut varier de 1 à 40 mSv, selon l’environnement géologique et les matériaux d’habitation (donc de construction de la voirie aussi). Il existe aussi le rayonnement interne du corps : la radioactivité naturelle des atomes du corps humain se traduit par environ 8 000 désintégrations par seconde (8 000 Bq). Ce taux est principalement dû à la présence de carbone 14 et de potassium 40 dans notre organisme. "
           

          Allez voir le tableau sur l’origine de la radioactivité sur la page d’origine et puis vous pourrez parler :

          http://fr.wikipedia.org/wiki/Radioactivit%C3%A9




          Nature de la source Exposition humaine à la radioactivité selon l’OMS[6] : mSv par personne et par an Radioactivité naturelle en % Radioactivité artificielle en % Radon (gaz radioactif naturel dense souvent présent dans les rez-de-chaussée) 1,3 42 %
          Irradiation d’origine médicale (radiographies, scanners, radiothérapies, etc.) 0,6
          20 % Éléments absorbés par alimentation (essentiellement du potassium 40 contenu naturellement dans les aliments) 0,5 16 %
          Rayonnement cosmique 0,4 13 %
          Rayonnement interne 0,2 6 %
          Autres origines artificielles sauf énergie nucléaire civile (industries minières diverses, retombées atmosphériques des essais nucléaires militaires, instruments de mesure, certaines méthodes de mesure industrielles (telles le contrôle de soudures par gammagraphie), etc.) 0,1
          3 % Énergie nucléaire civile 0,01
          0,3 % Total 3,1 77 % 23 %

          • 6 votes
            Kevorkian 9 juin 2011 19:52

            Les dirigeants sont des idiots qui ne voient qu’à très court terme, c’est à dire combien ça va leur rapporter à la fin du mois, cela les aveuglant sur les risques qu’ils encourent eux-mêmes, qu’ils pensent minimes et surtout qu’ils auront les moyens d’y faire face le cas échéant. Je les imagine très bien en train de dire que "bah ça n’atteint que les autres".

            On est en droit de penser que ce silence médiatique est du au lobby nucléaire qui fait pression sur les journaleux sur cette catastrophe dont le déroulement me terrifie personnellement.


          • 4 votes
            thierry 9 juin 2011 14:23

            quelques données pour comparer.
            Guarapari au Brésil : radioactivité naturelle au thorium en ville autour de 3 µSv/h. Sur la plage : des pointes de 30 µSv/h. C’est un haut lieu touristique au Brésil.
            Ramsar en Iran : radioactivité naturelle au radium. Les enfants jouent au foot sur un terrain autour de 100 µSv/h. Dans certaines maisons, il y a des pointes à 150 µSv/h.
            Dans les 2 cas, il n’y a pas plus de cancers, de leucémies ou de petite vérole qu’ailleurs au Brésil ou en Iran.
            (voir l’étude de Bruno Comby)


            • 1 vote
              roro46 9 juin 2011 17:57

              à ramsar, nous sommes en moyenne à 260 millisievert par AN


            • vote
              thierry 10 juin 2011 14:11

              ce qui nous donne à peu près 30 µSv/h de moyenne.


            • 4 votes
              Giordano-Bruno 9 juin 2011 14:33

              D’après le ministère de la santé du Luxembourg, de nos jours, on admet que le risque de cancer mortel radio-induit est de 0,05% par centième de Sievert pour des faibles doses.
              .
              Supposons une population de 1 million d’habitants soumise pendant un an à 5.77 mSV / h. Quelle serait la mortalité par cancer radio-induit ?
              .
              5.77 µSV / h = 50 mSV / an.
              .
              Cette population aurait reçu 50 mSV. Le risque de cancer mortel radio-induit serait donc de 5 x 0.05 %, c’est-à-dire 0.25 %.
              .
              Sur une population de 1 million d’habitants, cela ferait 2500 morts. Cela donne une petite idée de l’impact. Bien entendu, ce 5,77 mSV est une valeur qui n’est homogène ni dans le temps ni dans l’espace. Vous pouvez modifier le nombre de personnes considérées (ici, 1 million) et le temps d’exposition (ici un an) pour faire les extrapolations qui vous semblent les plus vraisemblables.


              • 2 votes
                Bender Bender 9 juin 2011 17:11

                Votre raisonnement ne tient que pour les faibles doses. 50 millisieverts/an n’est pas une faible dose...


              • 6 votes
                Ronny 9 juin 2011 22:57


                ON SE CALME ....

                La radioactivité mesuré au niveau du sol est plus élevée en raison des matériaux de construction qui sont en général émetteurs d’un faible rayonnement radioactif. Selon le type de matériaux, les débits de doses varient de 0,1 à 5 microSv par heure. L’activité est encore un peu plus élevée si vous la mesurez au niveau du bitume ou de goudron, avec des débit de doses de 2 à 6/8 microSv par heure... Vous êtes donc dans la moyenne haute mais rien de critique. La limite au delà de laquelle des effets biologiques avérés se produisent ressort à 1 milliSv par heure. Vous êtes 200 fois en dessous  !

                Je vous suggère de faire cette mesure à 1 mètre du sol environ, et de la réaliser ensuite au niveau d’un sol végétalisé. Vous verrez les différences !

                En attendant, arrêtez de vous faire peur et d’inquiéter les non spécialistes et allez vider un verre de Saké à notre santé. Merci. 


                • 1 vote
                  Grasyop 9 juin 2011 23:30

                  Elle est flippante, cette vidéo, hein ?
                  Bon, on garde son sang froid et on réfléchit. D’où peut venir la radioactivité mesurée dans cette vidéo ?
                   
                  Hypothèse 1 : le nuage d’éléments radioactifs issus de la centrale de Fukushima, bien qu’extrèmement dilué à son arrivée à Tokyo, a précipité sur la ville en s’acharnant particulièrement sur cette bouche d’égoût.

                  (Avec ou sans « volonté complice des hauts dirigeants de ce monde de tous nous irradier tellement le laisser faire est apparent. »)
                   
                  Hypothèse 2 : l’uranium naturel du sol émet du radon qui s’infiltre et se concentre dans les canalisations non ventilées, comme les égoûts, dont il finit par sortir par les bouches du même nom.
                   
                  Quelle hypothèse vous paraît la plus vraisemblable ?


                  • 3 votes
                    talal 10 juin 2011 00:05

                    En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans.


                    • 4 votes
                      talal 10 juin 2011 00:05

                      Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son incapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239… contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable : la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues années à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon ?

                      Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars : en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvé dans de très nombreuses régions des USA, du césium 134, du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas.

                      Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine.

                      Mais pas de panique ! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit : Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue – et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques.


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                        talal 10 juin 2011 00:07

                        Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 450 environ et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable : elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité : en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA : ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire ! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA).

                        - Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre ? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités” : mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humaine qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon ; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague !

                        - Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA – et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (et de déstabiliser la zone) – a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’association ACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak : 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestinales, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années.

                        - Les “essais” nucléaires. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, ce sont des explosions en bonne et due forme. Depuis 1945, il y en a eu plus de 2050 dans l’atmosphère et dans le sol. La plus grosse fut de création Russe et sa puissance fut de plus de 3000 fois celle d’Hiroshima. En 1963, voyant que le Président John Kennedy souhaitait faire voter une loi interdisant ces essais atomiques dans la Nature, la clique militariste US en fit exploser 250 en une seule année, à savoir presqu’un par jour.

                        - L’agriculture moderne chimique. Cette agriculture recouvre la quasi totalité des pays Occidentaux et une grande partie des pays dits émergents ou en voie d’occidentalisation. Elle utilise des fertilisants de synthèse et toute une panoplie d’armes de guerre – les pesticides – destinées à lutter contre les champignons, les herbes, les insectes, les nématodes, etc, et qui sont qualifiées de fongicides, d’herbicides, d’insecticides, de nématocides, etc. Cette agriculture de guerre, ou agriculture mortifère, produit des aliments-poisons qui génèrent une pléthore de pathologies cancérigènes, mutagènes et repro-toxiques. D’ailleurs, un agronome a autrefois comparé les fertilisants agricoles, de la chimie de synthèse, à des mini bombes atomiques à usage agricole – ou plutôt, sous couvert d’usage agricole, à but génocidaire. L’agriculture moderne chimique a également recours à des semences modifiées génétiquement par Monsanto, et autres multinationales criminelles. Ces semences chimériques, et les récoltes qui en sont issues, peuvent également être considérées comme de mini-bombes qui sèment le chaos dans l’organisme humain et animal ainsi que de nombreuses études récentes l’ont prouvé.

                        - L’industrie chimique. En sus de produire des cocktails de poisons pour la “paysannerie”, cette industrie a créé des dizaines et des dizaines de milliers de produits chimiques dont la majorité, pour employer l’expression consacrée, sont de véritables bombes. Certains de ces produits chimiques possèdent des appellations diverses et variées : vaccins, remèdes allopathiques, adjuvants alimentaires, sucres de synthèse, etc, etc.

                        - Les technologies de la communication, de la prévention médicale et de la “lutte anti-terroriste”. Dans ce fourre-tout high-tech, nous pourrions mentionner la téléphonie mobile de troisième et de quatrième générations, les systèmes WIFI, les radioscopies à usage médical, les body-scanners dans les aéroports, etc. Nous renvoyons le lecteur à une étude récente du Suisse Daniel Favre sur les pathologies des abeilles issues des interférences électromagnétiques de la téléphonie.

                        Pour résumer cette situation génocidaire, les psychopathes déments et criminels ont recours à deux types d’opérations spéciales pour détruire le génome humain et éradiquer une grande partie de l’espèce humaine. La première consiste à générer de la contamination radioactive directe par le biais de technologies nucléaires : essais nucléaires dans l’atmosphère et dans le sol, réacteurs nucléaires civils, réacteurs nucléaires militaires pour la recherche et la production de plutonium, bombes à uranium appauvri et non-gestion des déchets radio-actifs. La seconde consiste à ruiner le système immunitaire par une contamination radioactive indirecte, sournoise et quotidienne : aliments-poisons, vaccins, remèdes allopathiques, téléphonie mobile, etc, etc.

                        Et pour couronner le tout, le Codex Alimentarius, créé en décembre 1961 sous l’égide de l’OMS et de la FAO, constitue la cerise, haute en couleur mais létale, sur le gros gâteau nucléaire. On ne peut qu’admirer le raffinement de la stratégie de la mafia globaliste : depuis 1945, le complexe militaro-industriel détruit l’humanité et la biosphère tout en mettant en place une organisation internationale, le Codex Alimentarius, qui est supposée protéger les peuples. Et que fait le Codex Alimentarius pour protéger les peuples : il prend ses ordres des multinationales biocidaires pour imposer les semences chimériques, les fertilisants de synthèse, les pesticides, etc, et pour imposer, à terme, “l’irradiation” (radioactive) de tous les aliments !

                        Répétons, une nouvelle fois, que le Codex Alimentarius dépend de l’OMS, une branche du machin Onusien, qui pourrait tout autant s’appeler l’Organisation pour les Mutations et la Stérilité. Rappelons que les mafieux de l’OMS ont signé un traité secret de non-agressivité, en 1959, avec les mafieux de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique). La capacité de nuire de l’AIEA est grandissime. Ces criminels osent encore parler de quelques dizaines de décès, ou au plus de quelques milliers, à la suite de Tchernobyl, alors que le rapport de l’Académie Nationale des Sciences, paru aux USA en novembre 2009, affirme qu’entre 1986 et 2004, ce sont 950 000 personnes qui sont décédées, dans le monde, des suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Et nous sommes en 2011.

                        L’imposition inexorable du Codex Alimentarius, depuis 1961, va aboutir, à très court terme (c’est demain) à la suppression pure et simple de tous les compléments alimentaires et de toutes les plantes médicinales qui permettent à l’humanité de se protéger, ou de se soigner, des effets destructeurs de la radioactivité ou de toute autre forme de pollution agricole, médicale ou industrielle. L’interdiction de ces substances entraînera, faut-il le préciser, la suppression de la majorité des alternatives médicales, et c’est bien sûr ce que souhaite l’OMS totalitaire qui tente, depuis des dizaines d’années, de criminaliser toutes ces thérapies dites alternatives. L’OMS préfère promouvoir, pour traiter le cancer qui est devenu “épidémique”, la chimiothérapie et la radioactivité : on vit une époque formidable.


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                          talal 10 juin 2011 00:09

                          La boucle est bouclée. La mafia globaliste empoisonne l’humanité et, par le biais du Nécro-Codex Alimentarius, l’empêche de se soigner avec des thérapies alternatives et naturelles. Cela fait de nombreuses années que nous avons lancé l’alarme mais cela roupille dans les chaumières. Le Canada a déjà fait passer son décret C 51. Deux états des USA viennent de faire passer des lois criminalisant toutes les thérapies alternatives. La semaine passée, dans l’Oregon, la FDA (le Ministère de l’agriculture et de la santé aux USA) a lancé un raid, protégé sur ses arrières par 80 policiers lourdement armés, sur une petite société en activités depuis plus de 20 ans, Maxam Nutraceutics, produisant des “compléments alimentaires” pour soigner l’autisme (devenu endémique aux USA et en Europe grâce à la pollution radioactive et aux vaccins au mercure). Quant à l’Union Européenne, fidèle à ses fondement totalitaires et anti-démocratiques, elle se moque éperdument des peuples et roule pour les multinationales et le gang nucléaire : sous peu, elle aura fait passer à la trappe tous les compléments alimentaires et toutes les plantes médicinales, de même que toutes les préparations naturelles utilisées par les techniques d’agro-écologie. Et c’est cette même Union Européenne qui vient de multiplier les doses admissibles de radioactivité, dans les aliments, de 20 fois sous prétexte qu’il vaut mieux consommer des aliments radioactifs plutôt que de faire face à des pénuries alimentaires.

                          Le seuil minimal de radioactivité est une vaste escroquerie scientifique. Rappelons que, selon les experts en endocrinologie, il n’existe pas de dose minimale de contamination radioactive et que, de plus, les contaminations provoquées par de faibles doses sont souvent plus destructrices, pour le foetus humain, que les contaminations provoquées par de fortes doses.


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                            talal 10 juin 2011 00:12

                            Unjour les peuples érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.

                            En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente. Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier…

                            En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée.

                            C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse. En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires ? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US. On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques : la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire !

                            C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France. Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés. Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi : ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox. Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3 ? Personne à part quelques physiciens ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois : Leuren Moret, Arnie Gundersen, Chris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, « le premier ministre a ignoré les lois ». Mais peut-être ne les connait-il pas ?

                            La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression : elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.


                            • 4 votes
                              talal 10 juin 2011 00:14

                              un jour les peuples érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.

                              En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente. Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier…

                              En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée.

                              C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse. En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires ? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US. On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques : la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire !

                              C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France. Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés. Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi : ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox. Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3 ? Personne à part quelques physiciens ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois : Leuren Moret, Arnie Gundersen, Chris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, « le premier ministre a ignoré les lois ». Mais peut-être ne les connait-il pas ?

                              La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression : elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.



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