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Accueil du site > Actualités > Santé > Les vaccins sont-ils efficaces ? Efficaces pour quoi ?

Les vaccins sont-ils efficaces ? Efficaces pour quoi ?

Cette vidéo est le septième épisode de la série réalisée avec le média Kairos.

Dans le premier épisode, nous avons vu qu'il n'y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021.

Dans le deuxième épisode nous avons vu qu'il n'y a pas eu la saturation hospitalière annoncée.

Dans le troisième épisode nous avons vu qu'il n'y a pas non plus eu un "déferlement" de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dit "grippaux" du passé. Nous vivons une épidémie de "cas" entretenue par les fameux "tests" qui n'ont pas de rapport avec la moindre maladie.

Dans le quatrième épisode nous avons vu le moteur même de la fraude : l'utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les "bonnes" statistiques.

Dans le cinquième épisode nous découvrions le socle de l'idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination.

Dans le sixième épisode nous avons fait le tour des causes de décès depuis le début de la cirse sanitaire à l'aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l'ATIH et des statistiques de décès de l'Insee pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.

Dans ce septième épisode nous analysons les fameuses injections. Nous allons voir ce qu'il se cache derrière le mot "efficace".

Tags : Vaccins Covid-19




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7 réactions à cet article    


  • 1 vote
    alphomega 3 septembre 2022 19:04

    Merci pour cette démonstration que j’ai suivie avec intérêt.

    Je note que vous avez signalé que les NV qui mourraient avec le covid étaient en moins bonne santé générale que les V. Ce point mériterait un approfondissement très précis car il me semble qu’en dehors des manipulations honteuses liées au pass, c’est finalement le biais essentiel qui a été opportunément négligé par les "autorités".

    Il est clair que des gens assez âgés, obèses, gavés de malbouffe et sédentarisés, avec un tabagisme et/ou un alcoolisme prononcés (très souvent les plus pauvres), ne sont pas forcément enclins à soigner leur forme physique par de l’exercice, à aller consulter un médecin pour compenser leur diabète, leur apnée du sommeil, ou leurs palpitations cardiaques.

    Quant aux covidistes mutli-dosés, même s’ils se croient plus civiques/intelligents que les autres, ils ont généralement des meilleures conditions de vie et d’hygiène sanitaire que les premiers cités. 

    Cela dit, les "anticovivax" revendiqués, dont je suis ; sont dans leur immense majorité des gens assez jeunes et avec un caractère assez critique pour avoir plus de répulsion pour les chantages hallucinants du gvt que pour cette "maladie".

    J’avais eu l’intuition de ce biais profond à la fin 2021, car en extrayant les stats de la DREES je constatais que l’efficacité calculée sur les hospitalisations dépendait énormément des régions, les plus favorisées semblaient refléter une moindre "efficacité" (entre 10 et 20% en Bretagne, population assez homogène de français moyens à retraités CSP), tandis que des régions comme la Guyane affichaient plus de 90% d’efficacité.

    La composition sociale de ces départements doit permettre de mettre le doigt sur la non adhésion au vaccin chez des personnes fragiles et mal voire pas soignées. 


    • 1 vote
      Décoder l'éco Décoder l’éco 4 septembre 2022 08:33

      @alphomega
      Ce biais des covariable de santé défavorable aux NV se trouve dans toutes les études que j’ai pu lire.
      N’oublions pas que nous parlons de données hospitalières ou de données de tests.

      Ainsi je vous propose le raisonnement inverse. Nous constatons que parmi les NV, ceux qui sont malades et/ou qui vont à l’hôpital sont ceux qui sont les + obèses, +vieux, +fumeurs, + pauvres.
      Alors que parmi les V, nous avons une plus grande proportion de jeunes en bonne forme qui se retrouvent malades et à l’hôpital. Soit les V sont de gros hypocondriaques (ce qui est possible), soit la piquouse est délétère même chez les favorisés...


    • vote
      perlseb 4 septembre 2022 15:57

      Merci pour ce travail. Même si en n’étant pas une éponge à propagande on devrait déjà savoir à peu près tous les éléments factuels de la période covidique (par exemple les affaires de corruption de l’industrie pharmaceutique : les amendes sont moins élevées que les gains pourquoi se priver, un peu comme les pétroliers qui dégazent en mer), on profite quand même d’une vue d’ensemble très bien synthétisée et on comprend mieux comment ça s’emboîte.

      Cette vidéo m’a bien fait comprendre l’intérêt stratégique des tests et toute la supercherie qui va avec. Les tests avec un nombre de cycles très élevés ne veulent effectivement pas dire grand chose, mais le fait d’imposer les tests à ceux qui ne sont pas vaccinés (mise en place d’un pass) est la pierre angulaire de tous les biais statistiques qui sont alors utilisés comme fausse preuve d’une efficacité qui, dans les faits, est complètement nulle (si on considère qu’un mort de plus AVEC vaccin pour les tests de pfizer, ça reste "négligeable") voire très négative sur le long terme (car encore une fois, ces vaccins sont expérimentaux et les tests sur le long terme sont ... en cours).

      Il n’est pas impossible que la 2ème guerre mondiale et ses 65 millions de morts soit une broutille comparée à la vaccination covid : à plusieurs milliards de vaccinés, il n’y aura pas besoin d’un gros pourcentage de létalité (du vaccin à court et long terme compris) pour égaler ce chiffre de 65 millions. Et si le temps donne raison à cette sombre perspective, alors Hitler et Mussolini auront été des enfants de cœur. Il paraît que "gouverner c’est prévoir" : avec l’absence d’augmentation de mortalité en 2020 pour les moins de 65 ans, vacciner tout le monde avec de l’expérimental est soit un crime organisé (on sait que c’est létal et on l’impose) soit un grave manquement dans le principe de précaution et un défaut majeur d’aptitude à gouverner.


      • 1 vote
        juanyves juanyves 4 septembre 2022 18:59

        Cureus : L’utilisation régulière d’Ivermectin comme prophylaxie pour le COVID-19 a conduit à une réduction de 92% du taux de mortalité du COVID-19 dans un mode dose-réponse : Résultats d’une étude observationnelle prospective d’une population strictement contrôlée de 88 012 sujets.
        https://www.cureus.com/articles/111851-regular-use-of-ivermectin-as-prophylaxis-for-covid-19-led-up-to-a-92-reduction-in-covid-19-mortality-rate-in-a-dose-response-manner-results-of-a-prospective-observational-study-of-a-strictly-controlled-population-of-88012-subjects

        https://dailysceptic.org/2022/09/03/ivermectin-cuts-covid-mortality-by-92-major-study-finds-why-is-it-still-not-approved/


        • vote
          Décoder l'éco Décoder l’éco 5 septembre 2022 07:37

          @juanyves
          Etant donné qu’il n’existe pas le moindre lien statistique en le "virus du SARS-COV-2" et une quelconque maladie, on en déduit que filer de l’ivermectine à des gens qui boivent de l’eau dégueulasse, ça les débarrasse d’un nombre conséquent de parasites qui peuvent les rendre malade.


        • 1 vote
          Duke77 Duke77 5 septembre 2022 14:32

          @Décoder l’éco
          On ne peut pas ignorer les gens qui ont fini en réanimation suite à des symptômes de la COVID19. Tout le monde à connu quelqu’un qui au moment de la première vague, a commencé à développer des symptômes spécifiques à un SARS et fini en réanimation avec au final des cicatrices sur les poumons toujours visibles 2 ans après, et sur ma même période, connu des gens ayant contracté une drôle de grippe avec perte de goût et d’odorat persistant plusieurs mois voire années après la guérison. Il n’y a donc aucune nécessité à avoir des statistiques pour confirmer qu’une maladie pouvant être grave chez des personnes de plus de 50 ans s’est bien répandue en mars/avril 2020 et que ces gens ont tous été testé positifs aux tests antigéniques ou PCR. Des centres comme l’IHU de Raoult ont même rapidement étudié le génome du virus et réalisé des arbres phylogénétiques.

          Par ailleurs, le Japon où l’Ivermectine a bien été utilisé et conseillé publiquement par certains chercheurs bien que les "fact-checkers" tentent d’affirmer le contraire en se tenant aux préconisations du gouvernement et en oubliant la liberté prônée par certains responsables politiques influents comme Shinzo ABE assassiné cet été, liberté qui a permis aux japonais d’avoir accès à cette molécule et où le taux de mortalité est resté très faible comparativement aux pays qui ne traitent pas comme la France. Le Japon n’est pas réputé pour son eau dégueulasse et sa bouffe contaminée par les germes. On notera que la Japon est touché très récemment par le COVID, comme la plupart des pays qui vaccinent beaucoup depuis un an et qui ont répété ces injections inefficaces

          et toxiques, et fruit du hasard complotiste, vague de cas juste après l’assassinat de ce "libertaire".

          Enfin, l’action de l’Ivermectine ne se situe pas au niveau de la charge virale mais du contrôle de la réponse immunitaire.
          https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal
          Cette molécule a donc pour effet d’éviter l’orage cytokinique : https://www.pourlascience.fr/sr/covid-19/orage-de-cytokines-quand-le-systeme-immunitaire-s-emballe-4033.php

          L’ivermectine n’a donc pas besoin d’un lien entre un virus et la maladie dite "COVID19" mais simplement de prouver son effet immunomodulateur pour avoir un effet positif potentiel sur les complications et la mortalité liée à cette maladie.

          A contrario, l’hydroxychloroquine de Raoult agit sur la réplication du virus et limite la charge virale en agissant sur l’entrée dans la cellule conjointement au zinc, modifiant le Ph cellulaire et freinant la duplication du virus SARS-COV2.

          https://www.youtube.com/watch?v=NIAosseY4fg&t=1754s


        • vote
          Décoder l'éco Décoder l’éco 5 septembre 2022 15:52

          @Duke77
          Encore un texte religieux.

          Tout le monde à connu quelqu’un qui au moment de la première vague, a commencé à développer des symptômes spécifiques à un SARS et fini en réanimation avec au final des cicatrices sur les poumons toujours visibles 2 ans après, et sur ma même période, connu des gens ayant contracté une drôle de grippe avec perte de goût et d’odorat persistant plusieurs mois voire années après la guérison. 

          Non. Je connais des gens qui ont perdu un de leur parent âgé qui est allé à l’hôpital avec quasiment rien, mais n’en est pas ressorti. La bande de blouses blanches de l’hôpital l’ayant isolé de tout ses proches jusqu’au bout. Pour la perte du goût, de l’odorat, la fièvre, la diarrhée, le nez qui coule, les maux de tête, ces symptômes sont communs à l’écrasante majorité des dites "maladie". La perte de l’odorat et du goût étaient déjà décrits comme les symptômes de la variole au XIXe siècle. Variole dont on a dit qu’elle était une maladie contagieuse et donc qu’ils fallait "inoculer" toute la population. Inoculation et vaccination ont été des échecs cuisants. 

          Il n’y a donc aucune nécessité à avoir des statistiques pour confirmer qu’une maladie pouvant être grave chez des personnes de plus de 50 ans s’est bien répandue en mars/avril 2020 et que ces gens ont tous été testé positifs aux tests antigéniques ou PCR.

          Aucune preuve n’existe qu’une maladie s’est répandue en mars/avril 2020. Les malades arrivant à l’hôpital n’étaient pas du tout testés positifs avant d’être déclarés Covid-19. Véran a fait changer le protocole fin mars parce que justement il n’y avait pas de vague Covid. Une fois libérés de l’obligation du test, les hôpitaux ont enfin pu déclarer du Covid pour contenter le Ministre.

          Des centres comme l’IHU de Raoult ont même rapidement étudié le génome du virus et réalisé des arbres phylogénétiques.

          Ces centres vivent précisément de la théorie du germe, sans jamais l’avoir démontré. Ce n’est pas le seul cas en science. La théorie des cordes en mathématiques occupe tout un tas de chercheurs et pompe la totalité du pognon, alors qu’elle est basée sur une simple conjecture. L’étude du fameux "génome du virus" est une foutaise totale. Personne n’a jamais réussi à l’isoler de sa soupe. Ce "génome" est un rafistolage de tout ce qui traine dans le bouillon. Les arbres en questions sont construits justement parce que le séquençage ne fonctionne pas, on annonce alors "des nouveaux variants".

          Par ailleurs, le Japon où l’Ivermectine a bien été utilisé et conseillé publiquement par certains chercheurs bien que les "fact-checkers" tentent d’affirmer le contraire en se tenant aux préconisations du gouvernement et en oubliant la liberté prônée par certains responsables politiques influents comme Shinzo ABE assassiné cet été, liberté qui a permis aux japonais d’avoir accès à cette molécule et où le taux de mortalité est resté très faible comparativement aux pays qui ne traitent pas comme la France. 

          Pour avoir un taux de mortalité plus faible que la France, il suffit de ne pas assassiner ses vieux en leur filant des doses de cheval de palliatif. "Ben oui parce que ça ne se soigne pas". N’importe quelle tisane à la camomille ferait office de panacée à côté de la médecine française.

          Le Japon n’est pas réputé pour son eau dégueulasse et sa bouffe contaminée par les germes. On notera que la Japon est touché très récemment par le COVID, comme la plupart des pays qui vaccinent beaucoup depuis un an et qui ont répété ces injections inefficaces

          Le Japon a juste rejoint le moule de l’occident. En vaccinant on créé des malades (c’est même l’effet primaire de toute vaccination de soi-disant "déclencher un réaction immunitaire"). Ces malades vont faire des tests (bidons) et parmi eux un certain nombre sera positif déclenchant ainsi une fausse vague Covid. On les remercie.

          Enfin, l’action de l’Ivermectine ne se situe pas au niveau de la charge virale mais du contrôle de la réponse immunitaire.
          https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal
          Cette molécule a donc pour effet d’éviter l’orage cytokinique : https://www.pourlascience.fr/sr/covid-19/orage-de-cytokines-quand-le-systeme-immunitaire-s-emballe-4033.php

          L’ivermectine n’a donc pas besoin d’un lien entre un virus et la maladie dite "COVID19" mais simplement de prouver son effet immunomodulateur pour avoir un effet positif potentiel sur les complications et la mortalité liée à cette maladie.

          A contrario, l’hydroxychloroquine de Raoult agit sur la réplication du virus et limite la charge virale en agissant sur l’entrée dans la cellule conjointement au zinc, modifiant le Ph cellulaire et freinant la duplication du virus SARS-COV2.

          https://www.youtube.com/watch?v=NIAosseY4fg&t=1754s


          Du blabla religieux avec des grands prêtres en habits de cérémonie. Tous vos "effets" racontés viennent de théories écrites par des gratte-papiers. Ce n’est pas de la science, c’est de la théologie. Le nombre d’expérience permettant d’appuyer ces affirmations tient sur une feuille de PQ (ce qui est un critère pour être diffuser par une "grande revue scientifique").



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