Enfants et sexualité à l’école : une psy décrypte les dangers
Depuis plusieurs mois des interventions au lieu dans les écoles dès le plus jeune âge sur l'éducation à la sexualité dans les écoles, dès l'école maternelle. Naïvement les parents pense qu'il s'agit de conception ou contraception...
Il n'en est absolument rien et les interventions peuvent être toutes autres, avec parfois des associations qui assurent les prises de paroles auprès des enfants et des adultes non formés et des personnels dépassés. D'où vient cette imposition et quelles conséquences possibles ? La psychologue Sonia Delahaigue, auteur du livre "Ils n'en sont pas morts !" aux éditions Exuvie nous explique en détail les conséquences importantes de ces actes. Entretien et réponses avec Fabien Moine.
Tags : Enfance Famille Sexualité Ecole
5 réactions à cet article
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01:33 "entrisme de la sexualité à l’école" : mouais...
Plutôt entrisme des minorités sexuelles pour faire du recrutement par effraction dans le psychisme des gamins et préparer le terrain pour la future tolérance prévue à l’égard de la pédophilie... Certaines de nos élites, très très haut placées, en ont ras-le-bol de devoir se cacher pour baiser des gosses. C’est vrai, quoi : les pédos ont aussi droit au bonheur... Ça suffit, cette discrimination scandaleuse. Pour ce qui n’est "que de l’amour". Comme ils disent...
Car, parmi ces gamins, certains vont devenir, grâce à ces effractions, des obsédés sexuels précoces. Le sexe va prendre toute la place dans un psychisme qui n’est pas suffisamment mature pour digérer cette exposition sans être envahi par elle. Et vont apprendre à devenir pervers pour passer à l’acte avec d’autres gamins : on vient de voir dans les infos un gamin de 4 ans en ayant "violé" un autre. La sinistre pute de directrice d’école aurait déclaré "c’est juste une découverte du corps" ou quelque chose dans le genre... Et ce genre de gamins pourra éventuellement "dire oui" plus facilement à un adulte...
C’est un crime contre l’enfance. Et donc contre l’humanité. Les promoteurs de ça, tant au niveau de l’oms qu’au niveau national, doivent être mis en prison toutes affaires cessantes. Mais nos amis les "progressistes", qui sont depuis maintenant des années dans tous les coups foireux imaginables, entre ça, l’immigration du tiers-monde, bouffer des insectes et arrêter de se chauffer, peuvent pas s’empêcher de défendre cette infamie au nom de "c’est pour qu’ils soient capable de dire non". Oubliant très opportunément d’ajouter qu’en fait, l’espoir, c’est que grâce à ça, un certain nombre d’entre eux diront oui... Et c’est ce qui va se passer. Et alors les putain de pédos pourront dire "je lui ai demandé : il était d’accord". Manipulation intégrale de haut en bas. Comment faire en sorte que certains enfants acceptent d’avoir des relations sexuelles avec des adultes ? Comme ça !
Prison pour ces ordures. Guterres, prison. Schwab, prison. Soros, prison. Gates, prison. Et tous les autres prison.
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Enseigner la sexualité aux enfants est une entreprise étatique de sidération des individus dès leur plus jeune âge.
Au sujet de la sidération : Dialogue entre Pierre Chaillot et Ariane Bilheran :
Ariane Biheran démontre dans son essai Psychologie du totalitarisme « que le totalitarisme est un système paranoïaque dans lequel les pathologies perverses, sadiques, transgressives et psychopathes sont à l’honneur. La condition de survie de ce système est un mensonge premier qui est maintenu dans le secret, l’endoctrinement des masses à l’idéologie, la mise sous terreur des individus et des collectifs, entraînant tout à la fois sidération traumatique, jouissance pour certains et horreur pour d’autres. »
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y a des grosses dérives mais ce n’est pas une entreprise étatique, c’est la société civile wokiste qui infiltre l’état démissionnaire.
Pas pareil.
En tout cas selon mes investigations.
Ce n’est pas un complot de la world company, c’est la dégénérescence du peuple qui laisse ses gosses à l’abandon.
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Une psychologue, donc et non une "psy".
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Signe d’une société en perdition totale : devoir faire des vidéos pour expliquer qu’il ne faut pas confronter des enfants impubères à des pratiques sexuelles (courantes ou singulières) parce que ces petits êtres n’ont pas encore la maturité biologique pour y faire face. Pour quel père, pour quelle mère, pour quel enseignant cela n’est-il pas une évidence qui se passe de commentaires et de développements ?
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