On peut en penser ce qu’on veut mais quand on s’intéresse aux travaux de l’excellentissime Pierre Hillard (qui n’aime pas quand on rit jaune), on s’aperçoit qu’Orwell appartient de fait à la société fabienne et a toujours baigné dans la famille mondialisante. Ce qui a au moins le mérite de pouvoir identifier les sources de sa créativité.
A force de crier "halte au racisme !" ou "racisme non merci !", il y a un phénomène qui fait qu’on fait la pub du racisme. Idéalement, je vrais mieux des slogans comme "Finalement, nous sommes semblables", vous voyez l’idée ?
En conclusion, même si je reconnais l’absence de vacuité de son oeuvre, je n peux me poser que des questions dans ses motivations à devenir écrivain.
Quel intérêt de dépeindre le futur avec des mots pareils ? S’il s’agit d’avertissement, nous nous devons de l’écouter et puis surtout d’agir collectivement. Mais cette manière de menacer et de mettre en garde me déplaît au plus haut point.
J’eus préféré qu’il nous aide à décrire un monde un paix et les rouages de ce dernier. Même si je pense avoir quelques pistes... A commencer par laisser tomber capitalisme et communisme pour bâtir un monde nouveau, basé sur une autre approche que le matérialisme.
Exercice dans lequel Etienne Chouard (un contemporain que je salue) EXCELLE.
Bonne fin de soirée à toutes et tous.