Isabelle communique nique nique... ou comment se vendre en temps de crise
Une méthode de licenciement également très originale et marrante... non ?
Réalisé en 1982 par Denys Granier-Deferre, "Que les gros salaires lèvent le doigt " raconte l’histoire d’un patron d’une petite agence d’assurances (Jean Poiret) qui invite tous ses cadres à un week-end dans sa maison de campagne. Le but inavoué de cette invitation est de procéder à 4 licenciements de cadres supérieurs avant la fin du week-end.
Tags : Emploi Etonnant
5 réactions à cet article
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Ah, ah scène excellente. Ca c’est de le communication contrairement à la vidéo ridicule d’Isabelle Moreau.
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Si je croisais la dame du CV je lui dirais : Isabelle tu nous montre que toute ton expérience professionnelle a fait de toi une idiote soumise ayant abandonné toute dignité ; même après ton licenciement tu continues de rechercher l’humiliation par tous les moyens, c’est pathétique.
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Je le trouve sympa ce clip d’Isabelle, mais gare aux loups qui sortiront du bois pour lui rendre service en lui proposant une tournante irréligieuse.
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J’ai essayé de décortiquer son message subliminal qui n’a rien de Lacanien, mais plutôt semble orienté Freudien. Le futur employeur d’Isabelle (ils vont se précipiter pour la recruter) devra mettre les choses au clair, et vérifier que son insistance à prononcer le mot "nique ! nike !, ne révèle pas une nymphomanie qui destabiliserait les mâles dominants du personnel.
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La dame aurait oublié que le buzz marketing existe depuis un moment et sous des formes un peu plus attractives... mais bon, elle a essayé.
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