Transcription des échanges entre Mohamed Merah et les services secrets français !
.
(En attendant la Vidéo).
Le Clan des Vénitiens, le blog des amis de Paul-Eric Blanrue, nous propose une traduction des retranscriptions :
1° La première bande : entre Mohammed Merah et un certain "Jossier," (Jussayer ?) capitaine dans le Renseignement français....
La bande débute avec une image de l’intérieur de la maison de Merah,
avec des échanges de tirs très fournis, qui ont duré environs quatre
minutes. Il portait des vêtements maculés de sang, notamment sur son
épaule gauche. Ensuite, Mohammed se filmait en disant : "Il n’y a de
dieu hormis Allah et Mohammed est son Prophète". Il s’écroule ensuite en
larmes.
L’appelant : Allô, Mohammed, sors et rends-toi, personne ne te fera de mal, tu me connais et tu connais ma parole...
Mohammed : Va au diable espèce de traitre, pourquoi vous
voulez me tuer aujourd’hui qu’ai-je fais ? je n’ai rien fait, je n’ai
tué personne. C’est toi qui m’a amené dans cette situation et je ne te
le pardonnerai pas".
L’appelant : Ca ne te servira à rien de rester longtemps ici,
si tu ne m’écoutes pas, je ne pourrais plus gérer la situation demain et
je ne pourrais plus t’aider, Alexandra mon chef a ton dossier et il
promet qu’il sera avec toi jusqu’à la fin !
Mohammed : Comment tu peux m’aider alors que c’est toi qui est
responsable de cette situation, Monsieur le capitaine Jossier, (?
Jossayer) je connais ton vrai nom et toi qui nous trompais avec le nom
de "Zouhir" (ou Z’hir), espèce de traître à sa propre religion et ses
frères de sang !".
L’appelant : Mohammed, rends-toi, on t’aidera du mieux qu’on
pourra, nous ne te laisserons pas tomber, tu comptes énormément pour
nous. Comme gage de ma bonne foi, je rentre dans la maison et si tu veux
on discute face à face.
Mohammed : Espèce de traître...
Des coups de feu se font entendre de la maison et en dehors, l’appel est interrompu.
Mohammed se filme en pleurant et en disant : "Il n’y a de force qu’en
Allah, je croyais que ce traitre Zouhir était musulman et qu’il aime
l’islam et la religion de Dieu, mais il semble qu’il travaille comme
capitaine dans les renseignements français, ennemi de Dieu,
mécréant"...en pleurant.
Le silence se répand et Mohammed perd du sang de son épaule gauche,
il porte un turban et de temps à autre, il faisait une prière ("Il n’a y
a de dieu hormis Allah... que Dieu détruise les associateurs") quatre
fois.
Le téléphone sonne une fois encore, c’est une musique "jihadiste".
("nous rentrons ouvertement en guerre contre eux et reprendrons le droit
qui a été volé").
L’appelant : Allô, Mohammed écoute ce que je dis, ce que tu
fais menace ta vie et la vie de ta famille...ta mère, ton frère Abd El
Kader et ceux que tu aimes. Écoute-moi et crois-moi, je ferai
l’impossible pour régler ce problème et tu seras propre, comme avant.
Tout va s’arranger, rends-toi ou sinon reste dans la maison et je rentre
pour qu’on sorte ensemble pour que personne ne te fasse de mal. Tu es
quelqu’un de sensé Mohammed, quel est l’intérêt de mourir de cette
manière en laissant ta famille qui a souffert pour toi.
Mohammed : Tu veux me liquider et m’assassiner seul dans la
maison... Ensuite, vous faites votre film.... Ceci ne sera pas....pour
ma mère et ceux que j’aime, Dieu les protégera, Il est leur allié. Tu
n’est qu’un ignoble qui a vendu sa foi et sa vie d’ici-bas pour les
chrétiens haineux... et aujourd’hui vous voulez me tuer alors que je
suis innocent, je n’ai rien fait ! Pourquoi vous voulez me tuer, je suis
innocent...je suis innocent !
Mohammed : Pourquoi vous tirez avec des pistolet silencieux ?
vous voulez me tuer, vous ne voulez pas que je vive, pourquoi
faites-vous ça ? c’est contraire à ce que vous prétendez comme "droit de
l’homme" et la clémence !
L’appelant : Mohammed, en agissant comme ça, tu laisses les
choses empirer et d’autres vont intervenir... Tu seras peut être blessé,
ainsi que ta famille...É coute mon conseil, rends-toi ou laisse moi
venir te chercher, je prend ton arme... rien ne peut t’aider
aujourd’hui...
Mohammed : C’est mal ce que tu fais "Zouhir", tu m’as envoyé
en Irak, le Pakistan et la Syrie pour aider les musulmans et ensuite tu
apparais comme un criminel et capitaine dans les renseignements, je ne
te pensais pas comme ça, jamais !
L’appelant : Mohammed, ce qui est fait est fait, le plus
important maintenant est que tu sauves ta vie, je te sortirais de cette
affaire....rends-toi ou permets-moi de rentrer chez toi et de prendre
ton arme.
Mohammed : Je ne sortirais d’ici que mort, vers le paradis de mon Seigneur...Dieu est grand ! (tirs)...
L’appel s’interrompt et un échange de tirs s’ensuivit, avec le bruit des balles et des armes silencieuses.
Mohammed parle et se filme :
"Ne crois pas que ceux qui sont tué dans le sentier d’Allah sont
mort, mais bel et bien vivant recevant les bienfaits de leur Seigneur.
Heureux de ce que Dieu leur a octroyé"
"Ne dites pas nous avons perdu un martyr sous la terre, seul et apeuré...Je ne suis pas mort, les anges sont autours de moi..."
2° Deuxième enregistrement
L’appelant est Jean Daniel (ou John Daniel) des Renseignements français.
L’appelant : Mohammed, rends-toi c’est Jean Daniel avec toi,
des RG. Personne ne te fera de mal si tu sors de la maison et que tu
déposes les armes.
Mohammed : Qui garantit ce que vous dites ?
L’appelant : Tu veux qu’on ramène ta mère pour parler avec elle ? Ta fiancée ?
Mohammed : Je ne veux voir personne, je ne veux pas l’entendre
et je ne veux entendre personne d’autre, vous voulez me mettre la
pression en les ramenant.
L’appelant : Non, nous sommes des gens civilisés, tu connais
la France, nous ne te ferons pas de mal, ni toi ni ta famille,
rends-toi, ce qui s’est passé va être arrangé et tu ne seras pas
poursuivi par la justice.
Mohammed : Qui garantit ça ?
L’appelant : J’ai des ordres de mes supérieurs, personne ne te
fera de mal et personne ne te poursuivra en justice, toute l’opération
est arrangée pour toi afin de te sortir de cette affaire...innocent.
Mohammed : Envoyez-moi une équipe de média pour qu’ils filment ce qui se passe en direct.
L’appelant : Je vais voir ce que je peux faire.
Mohammed, ne tire pas sur les deux personnes qui vont s’avancer vers la porte dans pas longtemps, ce sont deux journalistes.
Mohammed : Qui prouve qu’ils sont journaliste et pas des hommes à vous ?
L’appelant : Tu as notre parole qu’ils sont journalistes et ils vont transmettre tout ce que tu dis en direct.
Mohammed : Avant ça, je veux parler avec ma mère et mon frère Abd El Kader.
L’appelant : Quand tu sors tu pourras leur parler de vive
voix. Nous changerons ton identité et ton adresse, tu vivras loin des
projecteurs et des problèmes.
Mohammed : Ils ne s’approchent de la porte qu’avec des caméra sur la tête.
L’appelant : D’accord.
Mohammed : Pourquoi les journalistes portent des vestes, n’ai-je pas exigé qu’ils viennent en tricot ?
L’appelant : Il fait froid, il ne peuvent pas enlever leurs vêtements.
Mohammed : Vous voulez me tuer, ce sont des policiers qui portent des gilets pare-balles...Dieu est Grand...
Des coups de feu sont tirés, le bruit d’un tir d’un sniper...
Mohammed prend le téléphone et se filme en parlant :
"Vous musulmans, ne laissez pas les chrétiens vous tuer, je suis par
Dieu innocent, j’ai découvert que mon meilleur ami "Zouhir" travaille
pour les renseignements français, lui en qui j’avais le plus
confiance...Seigneur vers toi je me tourne, Seigneur, tue-moi dans ton
sentier.
"Zouhir" m’a envoyé en Irak à Kirkuk et j’ai contacté les
combattants, j’ai eu des bonnes relations avec eux. J’ai ensuite été en
Syrie, à Alep, ensuite j’ai été à "Diar Bark" dans le Kurdistan, ensuite
en Algérie à Boumerdes et Tizi Ouzou... j’ai contacté des combattants
et eut de bonnes relations avec eux...Ce traitre m’a utilisé comme outil
pour faire du mal aux musulmans combattants...que Dieu le maudisse, je
ne lui pardonnerai jamais...
Peut être que ces mots que j’enregistre n’arriveront pas à ceux qui
cherchent la vérité, peut être qu’ils me tueront et personne n’en
entendra parler. Je ne sais pas ce qu’ils me préparent pour qu’il
m’accusent d’assassiner les gens, je suis innocent, pourquoi ils veulent
me tuer ?"
L’image devient noire (le téléphone tombe de sa main) et le Saint
Coran retentit du téléphone, il (Merah) écoute le Chapite Al Anfal.
3° Dernière conversation à la fin de l’enregistrement
L’appelant : Parlant en arabe..."Es’salamou alaykoum wa
rahmatou’Allah wa barakatouhou" (Que la paix, la clémence et les
bénédictions de Dieu soient sur toi) Mohammed, je suis le Sheikh Abou
Is’haq "de Toulouse".
Mohammed : "Wa alaykoum essalam wa rahmatou’Allah wa
barakatouhou" " (Que la paix, la clémence et les bénédictions de Dieu
soient également sur toi)..Dis-leur Sheikh qu’ils me fasse pas de mal,
par Dieu je suis innoncent, je n’ai rien fait. Ceux sont des chrétiens
haineux qui veulent nous combattre et nous tuer.
L’appelant : Rends-toi mon fils, ils ne te ferons pas de mal, le monde entier suit ton affaire, ils ne te trahirons pas.
Après cela, des coups de feu sont entendus, on entend la récitation du Coran dans l’enregistrement jusqu’à sa fin.
Traduction effectuée par Salim Bouterfas et les arabophones du Clan des Vénitiens.
_____________
Cette transcription est exactement ce que bcp d’entre nous imaginaient ... que Merah a été assassiné ... et qu’il est innocent, totalement innocent des crimes qu’on lui attribue, aussi bien des soldats ... et surtout les enfants de l’école juive !!!