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  • 2 votes
    BA 12 septembre 2009 23:40

    Jean-Marie Le Pen soutient Hortefeux.

    C’est une réaction dont Brice Hortefeux se serait sans doute passé.

    Le président du Front national Jean-Marie Le Pen juge « scandaleux le tollé soulevé » par les propos de Brice Hortefeux (ministre de l’Intérieur) sur un jeune militant UMP d’origine algérienne.   « Ce serait comique si ce n’était pas scandaleux. Non pas la déclaration de M. Hortefeux qui n’a aucune importance, mais le tollé que cela soulève dans l’opinion », estime Le Pen.

    Dans son journal de bord vidéo mis en ligne sur le site du Front National, Jean-Marie Le Pen se prête à un jeu de questions-réponses. Il évoque la taxe carbone, la suspicion de fraudes au Parti Socialiste l’année dernière, les deux évasions dans l’Yonne dont celle de Jean-Pierre Treiber, les ventes de Rafale au Brésil, les élections régionales. 

    Et pour finir, les propos du ministre de l’Intérieur à l’université d’été de l’UMP de Seignosse (Landes). « Il y a désormais en France une censure antiraciste qui s’exerce par l’intermédiaire des médias », poursuit-il, dénonçant les « dénonciations de professionnels de l’anti-racisme ».

    Estimant que Brice Hortefeux avait « prêté la main » à la polémique en mettant à la retraite d’office le préfet Paul Girot de Langlade, Jean-Marie Le Pen souhaite « que les Français exigent la liberté de parole. C’est le temps de la gestapo, jamais plus ça » conclut-il. 

    http://www.leparisien.fr/politique/le-pen-soutient-hortefeux-11-09-2009-635465.php



  • 6 votes
    BA 12 septembre 2009 07:11

    Maintenant, la version intégrale de la vidéo de Brice Hortefeux est disponible, dans son intégralité.

    http://www.20minutes.fr/article/346855/Politique-Hortefeux-Public-Senat-sort-ses-images-du-placard.php

    Maintenant, nous pouvons la voir et l’entendre, dans son intégralité.

    La ligne de défense de Brice Hortefeux est pulvérisée par cette vidéo.

    Brice Hortefeux ne parle pas des Auvergnats lorsqu’il dit : " Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. "

    Brice Hortefeux ne parle pas des clichés, des photographies, lorsqu’il dit : " Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. "

    Brice Hortefeux parle des Arabes.

    Brice Hortefeux, démission.



  • 9 votes
    BA 11 septembre 2009 00:09

    Voici le communiqué de Brice Hortefeux, qui donne sa propre version de l’affaire. La version de Brice Hortefeux est un mensonge caractérisé :

    « Brice Hortefeux dénonce une vaine et ridicule tentative de polémique.

    A l’occasion des universités d’été de l’UMP, alors qu’il prenait une photo à la demande d’un jeune militant, des commentaires du public ont porté sur les caractéristiques supposées des habitants de l’Auvergne, région d’origine de Brice Hortefeux.

    Celui-ci a alors précisé « s’il y en a un, ça va ; c’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes » par référence aux très nombreux clichés qu’il venait de prendre avec la délégation auvergnate et alors qu’il s’apprêtait à partir.

    Pas un seul mot de Brice Hortefeux ne fait référence à une origine ethnique supposée d’un jeune militant. »

    http://www.interieur.gouv.fr/misill/sections/a_la_une/toute_l_actualite/min istere/tentative-polemique/view

    En réalité, tout le dialogue portait sur Amin, le jeune militant UMP.

    1- Un participant a commencé à parler d’Amin.

    2- Ensuite, Brice Hortefeux a parlé d’Amin.

    3- Ensuite, un autre participant a parlé d’Amin.

    4- Ensuite, Jean-François Copé s’est adressé directement à Amin.

    5- Ensuite, une participante a parlé d’Amin.

    6- Enfin, Brice Hortefeux a parlé d’Amin, et c’est là où il a dérapé dans les propos racistes.

    Voici la retranscription de la conversation polémique que tient Brice Hortefeux lors de l’université d’été de l’UMP :

    Un participant : "Ah ça, Amin, c’est l’intégration."

    Brice Hortefeux : "Il est beaucoup plus grand que nous en plus." (à propos du jeune homme)

    Un autre participant : "Lui, il parle arabe".

    (Rires de l’assemblée)

    Jean-François Copé : "Ne vous laissez pas impressionner, ce sont des socialistes infiltrés."

    Une participante : "Il est catholique, il mange du cochon et il boit de la bière."

    Brice Hortefeux : "Il ne correspond pas du tout au prototype."

    (Rires de l’assemblée dont Jean-François Copé)

    Brice Hortefeux : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes. Allez, bon courage..."

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20090910.OBS0729/le_ver batim_des_propos_de_brice_hortefeux.html



  • 0 vote
    BA 10 septembre 2009 22:34

    Maintenant, Sarkozy devrait nommer un républicain au poste de ministre de l’Intérieur.

    Il y a beaucoup de républicains à l’UMP.

    Sarkozy devrait choisir un républicain comme nouveau ministre de l’Intérieur car, sinon, les jeunes n’auront plus AUCUNE confiance dans la police nationale et dans " le premier flic de France ".

    Sarkozy devrait trancher dans le vif.

    Vite.



  • 1 vote
    BA 15 décembre 2008 17:42

    Le 24 janvier 2008, Jacques Attali remet à Nicolas Sarkozy un rapport intitulé « Rapport de la Commission pour la libération de la croissance française ».

    Dès la page 8, Jacques Attali s’en prend à l’Etat :

    « N’ayant pas abandonné un modèle hérité de l’après-guerre, alors efficace mais devenu inadapté, la France reste très largement une société de connivence et de privilèges. L’État réglemente toujours dans les moindres détails l’ensemble des domaines de la société civile, vidant ainsi le dialogue social de son contenu, entravant la concurrence, favorisant le corporatisme et la défiance. Alors que notre époque requiert du travail en réseau, de l’initiative et de la confiance, tout se décide encore d’en haut, tout est contrôlé dans un climat de méfiance générale. Les dépenses publiques françaises sont les plus élevées de tous les pays de l’OCDE et augmentent encore plus vite que la production. »

    Quand on lit certaines décisions demandées par le rapport Attali, on croit rêver ! Jacques Attali demande à Nicolas Sarkozy :

     de transférer encore plus de compétences de l’Etat vers les collectivités territoriales,
     de ne pas remplacer deux fonctionnaires sur trois qui partent à la retraite.

    DECISION 251 :

    Les transferts de compétences de l’État vers les collectivités territoriales doivent être accompagnés d’un abandon effectif de la mission correspondante par les services de l’État, et du redéploiement de l’intégralité des agents de l’État concernés, pour éviter les doublons entre les actions de l’État et des collectivités territoriales.

    DÉCISION 252 :

    Utiliser les gains de productivité définis plus haut pour mettre en oeuvre de manière systématique le principe du non-remplacement de deux fonctionnaires sur trois partant à la retraite, sans nuire à la qualité des services.

    http://www.liberationdelacroissance.fr/files/rapports/rapportCLCF.pdf

    L’idée générale du rapport Attali, c’était : « Moins d’Etat. Toujours moins d’Etat. C’est comme ça que nous nous en sortirons. »

    En septembre 2008, patatra ! En septembre 2008, le système financier mondial s’effondre !

    Que fait alors Jacques Attali ?

    Jacques Attali écrit un livre, puis il fait la promo de son livre en répétant : « Plus d’Etat ! Bien sûr qu’il faut plus d’Etat ! Je l’ai toujours dit ! »

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