Errata sur commentaire précédent, lire ainsi 1er § :
Le titre suggère une faute scientifique.
L’engin dont il est question,« virtuel » parce que ne pouvant être pour l’instant que conceptuellement, ne dépasse en aucun cas au point de vue vitesse de son propre mouvement la célérité de la lumière.
Le titre suggère une faute scientifique disant que l’engin —« virtuel »
parce que ne pouvant être pour l’instant
que conceptuellement— ne dépasse en aucun cas au point de vue vitesse de son
propre mouvement la célérité de la lumière.
La théorie sous-jacente à la conception de cet engin indique
que :
__ Des innovations à venir en matériaux de sa réalisation
capable de résister aux effets de torsion de l’espace-temps d’un côté.
__Et de l’autre,via une maîtrise parfaite d’une énergie
colossale de pulsion exactement dirigée et capable de par sa masse gigantesque
de tordre justement en plusieurs points d’application l’espace-temps.
Alors la trajectoire vers la destination fixée est comprimée
pour permettre le déploiement d’avancée de l’engin.
L’espace-temps étant élastique, de par l’effet de sa
courbure gigantesque ainsi effectuée, il fait alors projeter l’engin en avant de
point de courbure à un autre, jusqu’à destination. L’engin est transporté en
quelque sorte dans une bulle de champ d’espace-temps. L’engin n’est pas mû par
une vitesse supérieure à celle de la lumière, mais se trouve comprimant l’espace-temps
qui en est réduit de plusieurs années-lumière proportionnellement à l’immensité
de la densité de masse créée par le déploiement de l’engin et l’étendue de la
courbure provoquée.
Pour l’instant, c’est purement de la fiction
___bien qu’au point de vue physique et astrophysique théoriques,
ça se tient puisqu’il n’est constaté dans cet édifice aucune atteinte aux lois
scientifiques reconnues pour l’instant.
__ Par contre du point de vue ingénierie conceptuelle de l’engin
et de la force qui doit le mouvoir par la création d’une compression de
portions de l’espace-temps, le niveau est à un degré non pas nul mais
insignifiant pour l’instant.
Peut-être que dans 300 à 400 ans dans l’hypothèse de continuité
d’existence de l’humanité, la technologie aura fait des progrés immenses
permettant de s’attteler sérieusement à cette aventure gigantesque d’action de
compression de l’espace-temps cosmique.
Je ne suis pas un adhérent du mouvement LREM ; je suis
un sympathisant du courant d’idées et aujourd’hui de pratiques
« micro-sociétales » que j’appelle de la citoyenneté
d’auto-gouvernance.
Ce n’est, pour ce qui me concerne, ni de la naiveté, ni du « boboisme » ;
mon parcours de vie et mon expérience tant syndicale que caritative assise sur
une expérience politique dans le sens noble du terme, et non pas sur une
pratique d’opportuniste parvenu de politicien ou de politicaille, comme il est
de règle chez une majorité, aujourd’hui et hier depuis plus de 4 décades, plaide pour d’autres authentiques postures de l’action socio-politique
De l’avènement de la présidence giscardienne dans la
première moitié des années 1970 du siècle dernier jusqu’à celle hollandienne
dans la deuxième moitié des années 2010 du présent siècle, on a été gavé
jusqu’à la nausée des alternantes
« drôles » de gouvernances « républicaine de
droite » et « socialiste » sur plus de quarante années ;
sans que les choses et les conditions de vie de la majorité des citoyens
français évoluent vers le mieux.
J’étais, parmi beaucoup d’autres citoyens issus de tous les
courants idéologiques et philosophiques, favorables et enthousiastes à l’essai
d’autre probable forme de gouvernance publique par des citoyens meilleurs
dans le don de soi pour un service public à vocation démocratique et à
fondement d’équité, tout en se fixant le but d’amélioration des conditions de
vie de la majorité de la population française.
Une gouvernance publique authentiquement démocratique et
citoyenne, qui soit
__ non-partisane mais aussi non oligarchique et non
pro-atlantiste, et par ricochet non pro-sioniste ; et
__véritablement ouverte à prendre à bras-le-corps les
problèmes des citoyens en vue de leur apporter des solutions de fond et non pas
de forme.
J’ai toujours exprimé ma sympathie pour ce courant
transpartisan et méso et méta-idéologique, mais avec une conscience éveillée.
J’ai toujours dit qu’on laisse un sursis de faveur à la
nouvelle présidence, et qu’on ne peut se prononcer que jusqu’à preuve du
contraire.
La preuve maintenant est attestée que c’est une présidence
d’immaturité intrinsèque, de la politique du spectacle en plus « médiocre », de
l’occupation pour la forme et non pour le fond, et d’obédience et de suivisme
des lobbies oligarchiques.
Il apparaît de plus en plus que le mouvement en marche ainsi que les institutions qui en sont sorties par les élections nationales, ne seraient en fin de compte, qu’une arnaque de plus sur le dos de la communauté de citoyens du peuple français.
Celui qui veut se renseigner sérieusement sur les politiques
et les stratégies mondiales, internationales et régionales sur le proche et
moyen-orient doit attentivement écouter le chef du hizbullah pour être édifié
productivement sur la prospective de cette houleuse région.Houleuse parce que
toujours visée par une coalition de mercenaires fils de la région, d’israel et
de l’occident pour qu’elle soit toujours divisée, affaiblie et à la portée des
forces militaires d’israel, et par ricochet la recherche de tous moyens et
stratagèmes en vue de sa suprématie dans la région.
Il faut considérer que c’est un analyste et stratège
politique qui parle , et non plus un chef de mouvement populaire ou un
chef religieux.