Ar zen c’est simplement la moitié de mon nom. C’est d’origine bretonne, rien de plus. Chercher une signification dans mon pseudo, pour qualifier mon intervention, c’est du grand art ! Lorsque l’on ne possède pas d’argument pour contrer une idée opposée à la sienne on attaque son messager. La ficelle n’est pas grosse, elle est énorme !
Je mets des liens et je propose des mises en perspective. Rien de plus. En réaction avec les mensonges que vous colportez et facile à démonter pour qui veut examiner la réalité des chiffres et les prévisions de mortalité attendue par les démographes jusqu’aux années 2050. Et "nozotorités" connaissent parfaitement bien le travail de ces démographes et leurs projections.
C’était en 2007 !
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Les pays du baby-boom se distinguent dans ce domaine des autres pays d’Europe, comme l’illustre l’évolution observée et projetée du nombre de décès en France et en Italie ( figure 4). Dans ces deux pays, le nombre de décès va augmenter d’environ 40% d’ici 2050, mais en France, cette augmentation fait suite à une stabilité remarquable, alors qu’en Italie, elle prolonge une tendance à l’augmentation déjà en cours.
Au total, dans tous les pays occidentaux de l’Union, et à un moindre degré parmi les nouveaux accédants, les prochaines décennies vont être marquées par une augmentation très forte du nombre de décès ( figure 5). Celle-ci atteindra en moyenne 40% dans le premier groupe de pays, moins de 20 % dans le second."
Vous arrivez à comprendre ce que cela veut dire ? Et bien que la "surmortalité" constatée en 2020 chez les plus de 65 ans n’est pas en lien, ou si peu, avec l’attaque du SARS-COV2, mais, plus simplement, avec le vieillissement des populations. Et ce n’est pas moi qui le dit mais les démographes. C’est ça la réalité des chiffres !
Les mesures privatives de liberté que nous subissions ne sont pas en lien avec le "sauvetage de vies" mais avec la politique et/ou l’économie !
C’est en adoptant une méta-position que l’on peut comprendre vos mensonges.
Parce qu’à la vérité pourquoi toute cette hystérie d’injections, pourquoi ces mesures privatives de liberté ? Que se passe t-il et que s’est-il passé ? Une pandémie "ravageuse", une épidémie terrible ? Oui, non ? Nous avons le recul suffisant pour analyser les chiffres "toutes causes confondues".
Alors cette "mortalité" de l’année 2020 que dit-elle ? Toutes les mesures actuelles sont "justifiées" uniquement pour "sauver des vies". Mais de quelles vies parle t-on ?
En France, au cours de l’année 2020 les moins de 65 ans ont vécu une "sous-mortalité" ! Incroyable non ? Quant au plus de 65 ans, le nombre de l’augmentation de leur décès était attendu depuis plusieurs années par les démographes qui savaient que compte tenu du vieillissement de la population, immanquablement, inéluctablement, le nombre de morts en France augmenterait d’une manière mathématique. Et cette augmentation du nombre de décès attendue en France va courir jusqu’en 2050 !
Le virus appelé SARS-COV2 n’a pas causé en France de sur-mortalité anormale ! Les chiffres de la mortalité, toutes causes confondues, nous le prouvent et nous le démontrent.
Il est tellement facile de crier au "complot" en s’exonérant d’examiner les chiffres de la mortalité toutes causes confondues et en omettant de prendre en considération le travail des démographes !
Aucune des mesures prises en France n’est justifiée. L’atteinte à nos libertés individuelles est politique et/ou économique mais absolument pas sanitaire.
Figure 4 page 4 (février 2007) : L’augmentation de la mortalité attendue en France "crève les yeux". Mais il est tellement "politique" de la mettre sur le dos du SARS-COV2 ! Mensonge et supercherie sont dans un bateau mais aucun ne tombe à l’eau ! https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/19099/431.fr.pdf
Les vraies raisons de la mortalité chez les personnes présentant des comorbidités sont connues. Le virus n’est qu’un "activateur" chez ces personnes là !
Les facteurs de risque pour les patients COVID-19 avec de moins bons résultats incluent des conditions préexistantes : obésité, diabète sucré de type 2, maladie cardiovasculaire (MCV), insuffisance cardiaque, hypertension, faible capacité de saturation en oxygène, cancer, élévation : ferritine, protéine C réactive (CRP ) et les D-dimères. Trois facteurs de risque principaux : — l’hyperinsulinémie, — l’hyperglycémie — l’hypertension, qui augmentent le risque d’inflammation, de coagulation et de thrombose
@CN46400 Vous habitez sur la lune ma parole ! Non, il ne faut pas "l’unanimité" par pondre les directives et règlements européens. Vous reviendrez en deuxième semaine après avoir révisé vos bases. Vos connaissances dans le fonctionnement de l’UE sont vraiment très faibles.