cliquet

Pauvre madame Morano
Elle est bien brave.Elle s’est égarée dans la politique politicienne. Elle a un coté "réunions tupperware entre copines" qui la rend plutôt sympathique mais elle est tombée dans un univers de crocodiles qui utilisent son coté spontané pour lui faire dire ce qu’eux ne veulent pas dire.
Comme elle a ce coté "bon petit soldat", elle y va franco, quitte à se retrouver ensuite dans les grands bétisiers de la politique. Avec elle, ça marche à tous les coups. Ils la lui devaient bien, cette tête de liste aux européennes. Remarquez bien, pour l’UMP, elle ou une autre au parlement de Bruxelles (ou de Strasbourg) ça change pas grand chose.
L’UMP n’ayant plus rien à dire sur les affaires européennes depuis des lustres, elle devrait faire le taf.

Bien sûr, c’est ce qu’il faut faire !
Seulement, la situation actuelle ne résulte pas du hasard.
L’affaire est partie de très loin. Une émission diffusée sur BFM Business hier à 22 H 00 relatait les débuts des emprunts obligataires des Etats, dont Nathan Rothschild avait compris toutes les implications futures. Il faut dire qu’il avait du entendre la parole de son père : " Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois.."
L’histoire des Etats unis tourne entièrement autour de cela je me demande quand le peuple américain va se rendre compte de l’escroquerie de la FED. En lui donnant le privilège d’imprimer les billets (ce qu’elle fait contre un intérêt dont le paiement est garanti par l’impot fédéral) elle ne fait que faire payer au contribuable le loyer d’un bien qui lui appartient de par l’article 1er de la Constitution. Et cela dure depuis 1913, année de la création de la FED. pour l’instant, seul un petit nombre de citoyens US sait que la FED est en réalité une banque privée qui appartient à une dizaine d’autres banques, dont bien sûr Rothschild et la Goldman Sachs, entre autres.
C’était déja le cas de la banque d’Angleterre depuis 1694, mais le phénomène s’est généralisé et pratiquement les financements des Etats sont fournis aujourd’hui par des banques privées, contre intérêts naturellement.
Rien, je dis bien rien, n’empêche de remettre sous le contrôle des Etats (donc du peuple dans les véritables démocraties) l’émission de la monnaie.