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Sapir et sa moitié de couille...
Des noms, Monsieur Sapir, quand on balance, c’est à fond ou on ferme sa gueule !
Des ambitions inavouables, peut-être ?
Le pauvre Courtillot s’était fait étriller puissamment à l’époque des grands débats des climato-sceptiques, dont je suis.
C’était pour une grande part sur ses travaux que s’appuyait notre Maurice Allègre national, grand dégraisseur de mammouth devant l’éternel...
Le GIEC rassemble beaucoup trop d’énormes intérêts pour être une entreprise crédible.
Lorsque des gens, par principe d’accord sur rien, se mettent à tenir la même discours, c’est qu’ils sont en train de nous baiser.
C’est pas du babillage poussif d’énarque émasculé !
Quand on pense que si ce type avait été dressé dans nos grandes écoles, il serait devenu une merde atone, comme tous nos fromages blancs...
Hâââ, la dynastie des cuistres...
Ça n’empêchera pas les cons d’aller voter en rangs serrés...