"A l’inverse, nous avons ce VENDU de Frédéric Encel" vendu dites vous ? Il y a pire comme qualificatif, non ? Il a tout d’un Laurent Fabius, ce type. Du sang (contaminé) sur les mains, des appels au meurtre de dirigeant étranger d’un pays souverain et faux jeton en plus. C’est plaisant de voir la gueule de cette boursouflure partir de travers lorsque Michel Collon lui démonte le portrait, argument après argument. Ce n’est pas une quenelle qu’il s’est pris ce soir là : c’est le transpalettes en entier. Bravo Monsieur Collon.
C’est pas possible ! Botul qui la ramène encore et l’autre mijoré qui l’accueille. On pourrait croire que c’est le dernier scénario de : "Ma tante chez les dingues". Eh bien non ! C’est en France et c’est en 2012. L’agent de la propagande nationale-sioniste qui va faire la dictée à Flambichou ; c’est pitoyable. Cependant, le président normal, pourquoi est il aussi inconsistant ? Mièvre ? Limite aux abonnés absents comme les teubés de Saint Anne ? Réponse simple : l’homme s’appelle Valérie.
Ravagé du cortex, le militant refoulé d’extrême droite qui aurait tant voulu vivre l’épopée dantesque des chevaliers, des skins et des bouffeurs de mac do mais dont la bedaine aura été un frein à tout. Reuhhbelle de chambre de bonnes et de monoprix à la fois.
Encore un minus qui la ramène en permanence pour dispenser ses flatulences cérébrales. Encore un membre de la bande qui idolâtre le pervers New Yorkais.
Tristes ricains, leurs armées ne suffisent plus à semer le bordel partout sur la planète, ils exportent leurs nouvelles subprimes : les racailles foireuses.