Selon le journal britannique, la France, l’Italie et l’Allemagne ont accepté de payer 45 millions de dollars (35 millions d’euros) pour obtenir la libération de neuf de leurs ressortissants pris en otage en Irak. L’Italie aurait payé 11 millions de dollars pour celles de Giuliana Sgrena, en mars 2005, (6 millions) et de Simona Pari et Simona Torretta, en septembre 2004 (5 millions), poursuit le Times.
ce n’est pas ça qui importe : c’est encore un coup de Pierre Siramyn le pseudo de maurice dufresse...
je ne résiste pas au plaisir de le faire résumer par un autre :
Maurice Dufresse qui se cache derrière le pseudo sexy de Pierre Simary dit "Momo la manip’", en publiant "25 ans dans les services secret", a enfin son heure de "gloire" : il a passé un quart de siècle dans "l’ombre" des bureaux, les fesses sur sa chaise, rêvant du grand soir qui n’est jamais venu. Son bouquin ne vaut pas plus que le testament empoisonné d’un "louzer" qui a noyé son amertume (...). Daniel Craig au secours ! Amène "Momo" faire du sport avec toi ou présente lui une James Bond girl !
Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner, ce sont en fait deux opportunismes qui se rejoignent, et qui renforcent donc l’idée d’un gouvernement qui ne s’intéresse, en définitive qu’à lui-même et non pas au sort des Français. Avoir sa photo dans le journal, certes, avoir les Français au premier plan, pas vraiment. Faire du jogging et de la bronzette pour alimenter les gazettes, oui, rester fidèle à des convictions, non. Dans son rapport birman, Kouchner avait déjà franchi la ligne entre intérêts privés et diplomatie : "Le programme socio-économique est la meilleure publicité pour Total. Une sorte de bureau en ville, un show room, dont il conviendrait de discuter la localisation et la protection devrait permettre, à Yangon, dans la capitale, de présenter les activités techniques et sociales du groupe. Ainsi les ONG qui solliciteraient de l’aide pourraient prendre l’habitude de pousser la porte". En quarante ans, notre homme est donc passé du sac de riz au show-room. Logique qu’il croise un jour un autre homme, passé du croche-pied en politique au fauteuil présidentiel. Et là, nous, on ne s’en fout plus : on a les images.