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Adolf H

J’ai connu un beau succès dans les années 30-40 et je tente un come back difficile en 2013, la concurrence est rude dans mon domaine de prédilection qu’est l’humour, on me parle d’un homme, qui, bien que n’étant pas un pur aryen me ferait de l’ombre, un certain Dieuloué, Dieudamné, quelque chose comme ça. Mais j’irais au charbon, ce sera mon combat.

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    Dijona 25 août 2013 12:51

    J’avais pas lu ce commentaire avant d’écrire les miens aujourd’hui et je tombe sur ce passage :
    "Après, oui, ça ne touche pas un large "public", une fois encore je le concède, mais ce n’est certainement pas parce que je ne livre pas mon "cœur" dans mon travail, juste parce que le cœur en question ne ressemble pas à celui d’assez de personnes pour pouvoir entrer en résonance avec beaucoup de monde. C’est autre chose et je n’y peux mais à moins de me mettre à écrire des choses insincères en imaginant ce que doit être le goût du "public". Sauf que ça ne marche pas comme ça ou en tout cas que ça ne devrait pas marcher comme ça."
    Bon et bien puisque tu sembles le savoir à quoi bon te plaindre, puisqu’il suffit de l’accepter, de t’accepter comme tu es et par conséquent accepter cet état de fait ? La solitude te pèse ou tu veux avoir le beurre, l’argent du beurre et les miches de la crémière ? Qu’est ce qu’il y a Vaquette ? Un manque de reconnaissance tout à coup, c’est quoi le souci ? T’es différent et alors ? C’est bien, sois en fier, t’as le droit de vivre comme tout le monde, de là à demander d’avoir le succès d’un Patrick Bruel, il y a une marge, quand on est marginal, c’est le minimum de devoir écrire dans la marge non ? De quoi te plains tu au fait alors à la fin ? De ne pas gagner comme dans ton spectacle ? Je ne comprends plus très bien puisque tu postes des vidéos fleuves, en fait tout un pataquès sur la censure ou pas censure, pose les questions de ton succès confidentiel, ce qui fait qu’un tel marche et les autres pas, tu tournes autour du pot alors que tu as tout résumé en une phrase. Tu appelles aux trolls à venir te répondre et tu sembles faire la moue d’avoir été entendu. En ce qui me concerne j’ai fait ma BA sociale. Je suis venu, j’ai lu, j’ai pas été déçu, comme dirait un quelconque Jule aux Césars. Crise de la quarantaine ? Manque d’amour ? Dis nous tout Tristan-Edern. Change d’humeur, car tu sembles un peu triste, fais toi appeler Riri à la place de Tristan, ça a une influence sur nos comportements, tu sais, les pseudos qu’on s’attribue, c’est pour ça que j’en change souvent smiley



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    Dijona 25 août 2013 12:30

    Les gens suivent les artistes qui leurs parlent. Si Dieudo a un certain succès, c’est parcequ’il dit des choses que les gens de son public veulent entendre après plus de 30 ans de censure sur la question juive, Coluche avouait déjà dans le jeu de la Vérité chez Sabatier que les juifs étaient intouchables, et cette omerta qui a sévi sur toute la francophonie a irrité une partie de la population française, celle des campagnes nottament, qui s’est vue ignorée et traitée de tous les noms de dictateurs oisillons par les BHL des plateaux pour tuer le plouc, rabattre le caquet du coq gaulois. Et les gaulois en ont marre, appuyés et renforcés par les gens issus de l’immigration comme on dit, qui sont plus pro palestiniens qu’israëliens par leurs origines, même si ils sont français. Pas besoin d’être sociologue sur canapé rouge pour le comprendre. Pas besoin non plus d’écrire ou de chanter mort aux juifs pour être subversif, car cet humour là, j’y ai participé et puis subi par lassitude dans les campings et les bistrots depuis les années 80. Quant à Orelsan, je ne comprends pas ce que tu lui trouves, car à part sa chanson Suicide Social, que j’aime beaucoup, je ne vois rien chez lui de fracassant qui pousse à lui lécher le fion dans une vidéo.



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    Dijona 25 août 2013 12:17

    Oui oui oui oui oui (777 fois, mais j’ai la flemme de l’écrire).... Tu n’as retenu que ce que je n’ai pas écrit à ce que je vois, où as tu lus ou compris que je "jaugeais" ou graduais, voire hiérarchisais la qualité de l’art à la quantité de son public. Je note que tu te plains de ta condition underground, que je ne méprise pas comme tu sembles l’avoir mal compris, peut être me suis je mal exprimé là dessus. J’ai tenté d’apporter quelques réponses à ta question que tu sembles poser de façon ingénue comme si tu n’en avais pas la moindre idée alors que tu fais ce métier depuis plus de 20 ans. Il y a encore également une autre raison à ton succès confidentiel. C’est ce que j’appelle la private joke permanente. C’est à dire que l’artiste fait ce qui lui plaît au moment où ça lui plaît, en n’incluant pas assez le public qui se sent par conséquent exclu du spectacle, puisque l’artiste joue pour lui avant tout et s’attend à ce que les autres le suivent malgré tout. C’est un peu le style du "Qui m’aime me suive". Et ça, ça dépend du nombre de lovers qui fait que l’on se sente suivi ou isolé. Pour avoir des lovers, il faut susciter l’amour du public, et il faut le caresser dans le sens du poil si on veut qu’il reste fidèle sans être castré. Ce sont des concessions qu’un artiste doit faire si il ne veut pas se retrouver sans suiveurs. Et comme tu n’en fais aucune et que tu as tendance à penser que tu as raison et que les autres si ils ne comprennent pas ou même dénigrent ton travail sont des cons, il arrive parfois que certains se lassent et comme nous vivons dans une époque où la concurrence en matière d’art est rude, le choix du public étant assez vaste pour se choisir un autre Michael Jackson ou une autre idole au gré de ses envies, ne manifestera pas plus que ça sa peine de devoir se choisir un autre moyen de distraction qui lui plairat plus, puisque lui parlant plus tout en se sentant plus concerné. Et oui entre l’artiste et le public c’est une histoire d’amour et comme dans toutes les histoires d’amour, il faut être au moins deux pour que ça marche et t’es tu posé la question de savoir si pour que la relation qui te concerne continue et perdure, l’as tu suffisamment nourrie en donnant autant d’amour que tu souhaiterais en recevoir en retour ? Si tel est le cas et que ta relation affective n’est pas aussi riche que tu le souhaiterais, alors on tombe dans le cas du gars laid et plein d’amour qui ne pourra jamais recevoir l’amour qu’il convoite de sa belle puisque celle ci le trouve repoussant, tel le Quasimodo de notre dame. Par exemple ta chanson de coming out, je suis un nazi, même si j’en comprends le sens, je la trouve horrible, repoussante, à chier. C’est mon droit non ? Et la pour moi ton art prend le visage de Quasimodo, je ne parle pas du fond, je parle de la forme, et je ne suis pas belle non plus. Et je ne suis pas certain que la curiosité du public soit suffisamment titillée par l’énigme de savoir si Vaquette est de gauche, de droite ou fan de Bayrou, je pense surtout qu’il s’en fout. Tu vois, la private joke, on y revient.
    Quant à la suffisance ou l’égocentrisme que tu me prêtes, il est tant dilué par tant d’identités virtuelles diverses, que tu n’en as aperçu qu’un vague échantillon.
     



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    Dijona 22 août 2013 19:20

    Je ne connais malheureusement pas suffisamment les annales de son fondement pour porter une analyse rigoureusement objective et ainsi pouvoir définir de manière catégorique les arcanes secrètes insondables d’où gargAmelgibson Bent Bent Bent puise ses inspirations profondément artistiques qui comblent avec peine les lunaires lagunes lacunaires des vides sidéraux stellaires millénaires.



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    Dijona 22 août 2013 18:35

    Nous sommes dans le domaine de la private joke smiley et toujours le poing levé

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