Dans certains pays islamiques, en cas d’émeutes, les policiers leur seraient rentrés dedans baïonnette au canon.
Il fallait les choper tous, leur retirer la nationalité et les renvoyer dans leurs pays respectifs s’ils en ont conservé la nationalité. Et pour ceux qui n’ont pas de double nationalité : leur vraie nationalité, c’est la oumma. Qu’on les foute à la porte comme des malpropres et qu’ils se débrouillent pour trouver un pays d’accueil plus conforme à leur mode de vie.
Mais comment ces animaux toxiques ont été tués ça intéresse les gens.
On peut faire le même reproche aux juifs et aux mahométans : il leur importe peu que les animaux soient toxiques à condition qu’ils aient été abattus suivant les recommandations de leurs vieux livres, et qu’une dîme soit payée à la mosquée, dans le cas de l’abattage halal.
La loi impose l’étourdissement avant l’ouverture de la carotide. Elle admet malheureusement des dérogations au cas par cas. Mais ces dérogations sont devenues automatiques. Comme toute la viande qui provient de l’abattage rituel n’est pas consommée par les croyants, une grande partie est refilée en douce sur le marché.
Dans l’abattage rituel, il n’y a pas d’étourdissement et en plus de la carotide, la trachée et l’œsophage sont aussi tranchés. Ceci entraîne des risques de contamination à l’E-coli car des régurgitations gastriques peuvent entrer en contact avec la plaie ou rentrer dans les poumons de la bête pendant sa longue agonie.
Le minimum, c’est que les gens soient informés sur le mode d’abattage et le pourcentage du prix qu’ils payent à une religion qu’ils ne pratiquent pas.
Le plus logique serait d’interdire carrément cette méthode d’abattage stupide, comme l’a fait la Suisse. Les adeptes de ces religions ne s’en portent pas plus mal.
Cela me rappelle ma grand’mère qui, pour conserver son beurre frais en été, le plaçait sur une assiette sur laquelle elle retournait un pot de fleur en argile qu’elle recouvrait d’une serviette humide, et qu’elle plaçait dans un courant d’air.