TotoRhino

A l’auteur...
"... aux pleureuses de banlieue"

Donc, à vous lire, l’ONU serait aussi une pleureuse ? Donc, l’ONU qui critique depuis longtemps la police française notamment, est dans les choux ? Et tous ces pays qui critiquent la politique répréssive de notre gouvernement aussi... ça commence à faire du monde non ?
A contrario, Macron serait donc merveilleux, sa politique et sa police exemplaires ?
Permettez-moi d’avoir un doute sur vos propos.
Vous êtes en train de gratter la surface du problème.
Il faut traiter le problème à la source, et le problème, TOUS nos problèmes, c’est Macron ! Il agit comme un "exacerbateur" des maux de notre pays et il s’en sert à bon escient.
Alors inutile de se disperser dans des considérations à la con, commençons par faire en sorte de virer de type et vous verrez que tous les problèmes restants nous semblerons bien plus simples à régler.

En tout cas, il doit bien se marrer en ce moment !

Très bon interview d’Élucid, comme d’habitude je serais tenté de dire.
On y apprend de la part d’un journaliste qui a exercé à l’intérieur des médias mainstream, que les médias manipulent l’information ; ce dont tout le monde se doutait sans pouvoir le prouver réellement.

Le plus significatif pour moi, c’est d’apprendre que les "contrats de confidentialité" sont désormais généralisés dans cette profession, comme cela est déjà le cas depuis longtemps de l’autre côté de l’atlantique (sic !).

C’est tout de même un comble d’en arriver là, de la par de cette profession censée respecter les règles suivantes (source Wikipédia) :

En théorie, dans une société démocratique, l’« information de presse » doit présenter trois caractéristiques :

• être d’actualité et d’intérêt général ;
• avoir été sélectionnée et mise en forme par une conscience libre, formée à la recherche intéressée de la vérité et soucieuse du bien commun ;
• être diffusée par un média garantissant l’indépendance du journaliste par rapport à tout pouvoir (politique, idéologique ou économique, y compris par rapport aux intérêts de l’entreprise qui l’emploie).

En théorie toujours, un média peut être engagé à condition de respecter les faits, viser l’intérêt général et exposer clairement les termes de son parti pris. Le journalisme est parfois appelé « quatrième pouvoir » en raison du rôle crucial qu’il joue, au sein d’une démocratie, dans la mise en œuvre de différentes libertés publiques, dont la liberté d’expression.

L’interviewé, Jean-Baptiste Rivoire, Président d’Off investigation https://www.off-investigation.fr, nous raconte donc, vu de l’intérieur, la réalité du traitement de l’information, mais aussi des journalistes dans les grands médias français.

Espérons, qu’à minima, cela puisse aider à faire sortir de leur réserve les autres journalistes sous contraintes...

Et s’il n’y avait qu’Eric Morillot, mais c’est ce qu’on nous rabâche à longueur de temps sur tous les médias, comme si le "reste" n’existait pas.

F. Boulo, pourrait se présenter aux élections présidentielles, je suis sûr qu’il ne ferait pas un score ridicule.

Excellente intervention ! 

Une vidéo qui circule un peu partout sur les réseaux à écouter : 

Incroyable ! FUITE AUDIO PERSONNEL HOSPITALIER ANONYME PARIS 15ème

https://youtu.be/XiSf37DSkVo