Mon idée (qui n’était en fait qu’un préjugé) était que seuls les ignorants croyaient encore à la "liberté de la presse". (J’ai écrit : "Les seuls qui y croient encore sont ceux qui ne lisent pas les journaux et qui s’intéressent très superficiellement à ces choses.")
Votre réponse me démontre que j’ai tort. Ce sont, au contraire, les gens venus de milieux privilégiés qui y croient ou qui font semblant d’y croire. Et c’est logique puisque ce sont ces derniers qui en vivent et qui ont intérêt à maintenir ce mythe.