Dans
les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la
science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles
qu’il estime les plus appropriées en la circonstance.
Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses
prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la
sécurité et à l’efficacité des soins.
Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des
conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles.
@bubu12 En même temps on voit aussi des gars qui s’expriment sous pseudonyme, dont la spécialité revendiquée ( et invérifiable ) est super proche des épidémies puisque c’est à priori la psychologie, mais qui ne peuvent pas s’empêcher de dauber sur les collègues dès que ça ne file pas dans le "bon" sens. C’est en effet une drôle d’époque.