Le ruissellement vers le plus grand nombre dans une économie de marché capitaliste reposant sur la propriété des moyens de production, ça n’a jamais existé et cela n’existera jamais.
c’est le principe même du capitalisme de permettre accroissement de la richesse par ceux qui accumulent la propriété des moyens de production... .
Le capitalisme n’est pas généreux et quand il se mondialise il devient dangereux car il étend la domination des puissants possédants au delà de leurs propres frontières et accroit la misère et la pauvreté financière mais aussi intellectuelle puisque chacun n’a pour utilité que d’être un consommateur, un rouage sans importance, ni envergure.J’entendais l’autre jour une dame assez âgée : "de nos jours c’est : bosse achète et crève en silence le reste c’est juste pour amuser la galerie mais ça fait longtemps que ça ne fait plus rire".
le raisonnement tenu par e-penser aurait pu être intéressant mais il aurait fallu pour cela analyser comment l’industrialisation s’est attaquée à la musique pour accumuler le profit... C’est le point de départ de ce qui arrive à nos oreilles via les radios télés et autres médias type internet aujourd’hui.
Le reste n’est qu’une question de gout ou d’absence de gout.
Il y a trois siècles et demie La Fontaine écrivait :
Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir
Les tribunaux n’ont pas besoin des nouvelles lois Macron pour piétiner les droits des femmes et des hommes au travail. J’ai vu tout ça de très près, qu’ils soient prudhommaux ou d’appel, la loi ne protège plus le salarié honnête, au contraire, elle se retourne contre lui pour protéger l’escroc sans envergure qui a quelque connaissance dans le milieu....
Il y a des femmes et des hommes et il y a en dessous des femmes et des hommes sans droit réel, une espèce de sous espèce humaine, qui voit qui entend qui comprend et qui sert de paillasse aux esclavagistes des temps actuels....
sinon il y a cet italien qui a fait un travail plutôt synthétique en 3 parties et qui a le mérite de poser de très nombreuses "bonnes" questions au regard des faits qu’il a pu accumuler :