Oui mais il ne faut pas oublier que ceux qui travaillaient dans les tours travaillaient pour l’empire américain, ils profitaient eux et leur famille des guerres et des entreprises américains qui imposent leur loi partout dans le monde et volent la propriété des gens (voir le livre écrit sur les assassins financiers), même coca cola est allé jusqu’à implanter une usine dans une zone aride en inde et a ainsi privé les paysans de l’eau potable qui était utilisée majoritairement pour produire du coca cola, en volant les ressources dont ils avaient besoins pour survivre, contrairement à coca cola par exemple qui n’avait nul besoin d’aller construire une usine là, sauf si ce n’était que pour empêcher les populations locales d’y vivre.

De même que comme écrit dans le livre des assassins financiers, le seul but des usa est de récupérer toutes les entreprises possibles, de voler les bénéfices des entreprises nationales qui devaient être distribuées aux populations civiles pour leur permettre de survivre, alors que les usa et leur agents commerciaux n’ont aucun besoin d’aller voler toutes les populations les plus pauvres du monde pour qu’un petit groupe de patrons qui ont des complexes récupèrent tout cette richesse qui ne leur appartient pas...

En résumé, ils ont subis ce qu’ils faisaient subir aux pauvres gens, ce qu’il leur assurait leur travail, leur revenu et leur argent, et là par contre on entendait pas tous les proches des victimes se plaindre de la façon dont ils gagnaient leur argent : en volant et détruisant la vie des plus pauvres à travers le monde. Ceux qui faisaient le commerce des usa dans les tours jumelles étaient aux aussi les complices de ces assassinats (de populations à qui on vole ce dont ils dépendent pour survivre) sous couverture du commerce qui leur permettaient de récupérer les ressources de ceux qu’ils "tuaient" au travail en les rendant esclaves des usa. Et puis de toute façon, une fois morts comme on leur a volé ce dont ils avaient besoin pour (sur)vivre, il n’en auront plus besoin. 

Livre :

• "Les confessions d’un assassin financier", de John Perkins