Personnellement, je
pense que les choses étaient extrêmement complexe et que Robespierre, comme
tout le monde à cette époque, a été pris dans une dynamique qui le dépassait complètement,
ce qui ne l’exonère pas de la responsabilité de ses actions politique.
Je pense aussi que dans un contexte révolutionnaire, de
guerre civile et de guerre contre des puissances étrangère, on ne fait pas de
politique avec des bisous et des pâquerettes, on fait ce que l’on peut faire,
comme on peut le faire avec les moyens dont on dispose dans les circonstances
dans lesquelles on se trouve.
Faire une analyse de Robespierre pour en faire le Mal absolu
( comme les réactionnaires de droite et d’ extrême droite ) ou le
Bien absolu ( comme les progressistes de
gauche et d’ extrême gauche ) n’ a
évidemment aucun sens , c’ est une façon de simplifier à l’ extrême une
situation très complexe pour la faire cadrer à son idéologie et en toile de fond il y’ a des deux poids
deux mesures incroyable.
C’est propagande contre propagande comme d’ habitude.