• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


Commentaire de morice

sur Dieudonné répond à Rebsamen - 21 Août 2014


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

morice 23 août 2014 15:08

Rebsamen fils de nazi, 


a modération vous laissez ça en ligne ? Bravo... ça s’améliore chez vous..
origine du texte ; RIPOSTE LAIQUE
http://ripostelaique.com/un-fils-de-nazi-dans-le-gouvernement-de-manuel-valls.html

origine de la diffamation

Dans « Les Carnets noirs de la République », on apprenait qu’Yves Bertrand, directeur des Renseignements généraux de 1992 à 2004, avait noté, sur le sujet, « Rebs », ces quelques phrases pour le moins énigmatiques :

« Père Rebsamen serait un ex-agent de la Gestapo d’origine russe. Un Rebsamen russe s’installe à Dijon en 39 – photo de lui en uniforme d’officier Gestapo. Ça se passe à Dijon. S’est marié avec la fille d’un maire adjoint de Dijon qui est intervenu pour qu’il ne soit pas jugé trop sévèrement. Rebsamen né à Dijon en 1951. Sa mère = la fille d’un ex-adjoint de Dijon. Père = Erich Rebsamen. »

auteur du livre :

Patrick Rougelet a été pendant vingt-cinq ans commissaire à la direction des Renseignements Généraux dont il a été écarté pour avoir enquêté sur son directeur. Il a aussi travaillé pendant trois ans pour le ministère de la Défense. Il est aujourd’hui à la retraite.

http://www.franceinter.fr/dossier-enquete-sur-le-cabinet-noir-d-yves-bertrand?page_dossier=3

écarté, et se vengeant, donc....

or Rougelet a aussi dénoncé Bertrand et ses "méthodes"

En 1995, avec quelques fonctionnaires de police, Patrick Rougelet rédige un rapport dénonçant ce qu’il considère comme les dérives des méthodes d’Yves Bertrand. Un rapport rédigé à l’attention du Premier ministre de l’époque, Alain Juppé. 


Bertrand n’a pas apprécié :


L’IGPN perquisitionne dans les bureaux de Rougelet. Des documents sont saisis. En octobre 96, une campagne de presse se déchaîne contre Rougelet et ses proches, relayant la thèse d’un complot fomenté pour abattre Yves Bertrand.


Rougelet est révoqué de la police nationale, en février 1996.

Dans son livre « Je ne sais rien, mais je dirai (presque) tout », entretiens avec Eric Branca, (Plon,), Yves Bertrand présente cette affaire comme « l’activisme d’un petit groupe d’hommes dont la principale activité était d’organiser des coups tordus pour se promouvoir eux-mêmes en se débarrassant de ceux qui gênaient leurs ambitions. » Il va même jusqu’à qualifier Rougelet, et les fonctionnaires qui le soutenait, de « société secrète » !


Rougelet est présenté comme un policier « qui dérape. »

alors les sous-entendus de Rougelet, franchement.... il n’y a que Riposte Laique pour y croire...

 


 .

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès