@Zatara
En fait tu expliques, que
Monsanto pose un problème d’appropriation du vivant. Je suis d’accord mais c’est
un problème totalement différent de l’individu qui revendique le droit pour lui-même
de disposer de son corps et de l’augmenter. On pourrait très bien être
transhumaniste tout en étant contre l’appropriation des semances ou de cellules
humaines pour aller plus loin.
-Pour en revenir encore et
toujours à ta question de droit individuel, j’ai déjà donné l’exemple des
freaks qui se customise avec 50 opérations de chir esthétique.
------> Je suis d’accord avec cet exemple. Et la meme
question se pose :au nom de quel principe contraindre un individu à ne pas
subir ces opérations ? Il fait ce qu’il veut, c’est son corps et l’usage
qu’il en fait ne nuit à personne, si ce n’est à lui-même. Donc il n’y a aucun
motif d’interdiction.
- Et j’ai déjà expliqué ou suggéré en quoi
l’individualisme et le libertarisme sont un cheval de Troie pour s’arroger de
nouveau marché....
------> Et on peut contre-argumenter
facilement là-dessus.
tout comme j’ai décrit en quoi il été dangereux
(dans un cadre transhumaniste) de s’appuyer sur une technologie qui rendrait
nos corps brut inapte à vivre suivant les conditions naturel, chose qu’il sait
faire, de part des dizaines de milliers d’année d’entrainement, à quelques
dysfonctionnement prêt...
------> Et j’ai répondu qu’on connait déjà de nombreux
processus d’hybridation du fait de l’usage des technologies (et ce depuis des
millénaires). Donc je ne vois pas de
motif d’interdiction valable sous ce prétexte.
Après, chacun a le droit de
penser que le transhumanisme est bien ou mal et le développer avec des
arguments. Mais la question spécifique que je pose, c’est quels sont les
arguments pour l’interdire ?