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Commentaire de abolab

sur Nathan Peiffer-Smadja, un infectiologue devenu la cible des complotistes


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abolab 7 février 2023 20:32

@Sacha

Je vous laisse le lire ici-même (sans l’intro pour ne pas dépasser la limite de mots) si vous avez le temps et si la thématique vous intéresse :

De la nécessité d’un moratoire sur les « vaccins » ARNm : transformer les êtres humains en usines à vaccins n’est pas éthique et très dangereux


Depuis le début de la pandémie, l’amalgame savamment entretenu entre virus et maladie associée à l’infection virale a permis d’instaurer une propagande vaccinale sur la base d’un nouvel amalgame : faire passer un "médicament" injectable transformant les cellules humaines en usine à protéines virales pour un vaccin lui-même.

Au lieu de produire ces protéines virales dans des usines avec des contrôles de qualité du produit fini, les vaccins dit ARNm transforment les cellules humaines en usine à protéines, avec tout le potentiel d’accidents que cela comporte :

  • introduction d’ARNm en-dehors de la zone ciblée via le passage par voie sanguine, comme révélée par des études de biodistribution confidentielles, in vivo, réalisées par Pfizer, indiquant que les particules nanolipidiques du vaccin peuvent atteindre n’importe quel organe, incluant le cerveau.
  • dépôts d’ARNm non utilisé, provoquant des désordres cellulaires et donc métabolique et immunitaire.
  • risque de dénaturation ou de modification de l’ARNm lui-même avant son expression cellulaire.
  • risque d’introduction nucléique d’ARNm et de perturbation de l’ADN lors de la division cellulaire, pouvant potentiellement générer des cellules cancéreuses.
  • risque de modification et de perturbation du comportement de bactéries intracellulaires échappant au système immunitaire.

La diversité et le nombre important d’effets secondaires sérieux attribués à la vaccination ARNm, allant de la myocardite à la paralysie faciale, témoignent du fait que de tels accidents ne sont pas rares, mais bien monnaie courante à l’échelle d’une population vaccinée.

Ces "médicaments", qui ne sont pas des vaccins, sont pourtant considérés comme tels, à tort, par l’Agence Européenne du Médicament, et sont donc exempts d’études in vitro sur des cellules humaines.

C’est une grave erreur méthodologique et scientifique, car la réponse immunitaire est produite en réponse à des signalements cellulaires, et la perturbation des signalements cellulaires dans les cellules humaines de différents organes, par la vaccination, n’est pas du tout étudiée.

Ce n’est manifestement pas un hasard si la première semaine après la vaccination, les scientifiques ont observé une augmentation significative des infections COVID chez les personnes vaccinées. Il y a fort à parier que ces vaccins ARNm ont en fait potentiellement un effet totalement opposé à celui recherché : ils augmentent en premier lieu l’infectivité, en perturbant la réponse immunitaire.

Tout comme la concentration en calcium dans le sang n’est pas un signe adéquat de bonne santé des os, la concentration sanguine en anticorps spécifiques n’est pas non plus un signe adéquat de bonne santé du système immunitaire. Baser une politique sanitaire sur une concentration en anticorps spécifiques au sein d’une population, qu’il faudrait booster à période régulière, est tout simplement une vision simplistique et erronée ne prenant pas en compte la complexité réelle des événements biologiques.

De la même manière qu’une injection d’eau saline n’est pas du tout un effet placebo au niveau cellulaire, indiquant le caractère totalement biaisé des études de mise sur le marché de ces médicaments (et ce alors qu’il existe des solutions aqueuses stériles au pH neutre), le bombardement de particules nanolipidiques sur les cellules n’est pas non plus anodin et des études cellulaires devraient être réalisées avant toute continuation d’expérimentation sauvage sur les êtres humains.

Les vaccins ARNm sont l’aboutissement d’une idéologie utilitariste du vivant appliquée à l’être humain lui-même : faire produire par les êtres humains eux-mêmes, par leurs propres cellules, des molécules, dans un but allopathique, dans le contexte d’une compréhension très fragmentée, très incomplète et très réductionniste des phénomènes biologiques en jeu. Cela n’est pas acceptable d’un point de vue éthique et très questionnable d’un point de vue sanitaire, tant le peu d’efficacité et les dangers de l’utilisation d’une telle technologie sont aujourd’hui flagrants.


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