@Et Hop !
Le thème de la natalité est un mantra qui est ressorti à chaque fois et bien relancé par les médias et pouvoirs de toujours. Il est faux et archi faux, basé sur un système qui a besoin d’une pression sur les travailleurs pour maintenir les rémunérations à la baisse.
Il faut tout d’abord comprendre qu’est ce qu’une rémunération, une retraite. Ce système n’est rien d’autre qu’un système de répartition des richesses qui utilise des mécanismes basés sur la monnaie. La richesse est produite par des gens qui travaillent sur des lieux de productions de biens ou de services, mais elle est de moins en moins produite par des gens qui sont de plus en plus remplacés par des machines que ce soit sur des lieux de production ou dans des bureaux, robotisation, IA etc.... Ce qui amène des conflits absurdes comme refus des machines qui supposent une réduction du nombre de travailleurs alors que les machines sont là pour soulager les travailleurs et leur donner plus de temps libre.
La réduction du nombre de travailleurs ne suppose plus une baisse de la production sinon une augmentation scandaleuse des profits des grosses entreprises qui investissent dans les machines et cotisent en bourse. La solution n’est pas dans "faire des gamins pour payer les cotisations" (mantra absurde) mais simplement de faire cotiser les machines et les super profits. Ce qui semble plus qu’évident à un esprit libre de toute manipulation intellectuelle. Il ne s’agit que d’une volonté politique et de voir un peu plus loin que le mode de financement actuel des services sociaux.
"Faire des gamins" ne fait que repousser le problème, l’amplifier et hypothéquer l’avenir de ces gamins dans un monde dominé par la robotisation et l’IA (qui n’a rien d’intelligent mais fait partie de la robotique) et où la place des travailleurs sera encore plus réduite.
C’est une fuite en avant vers le gouffre, mouvement habituel d’un animal à 2 pattes bien connu. Tous ces chantres de la natalité ne sont que des charlatans au service de ceux qui veulent transformer le monde en un immense casino où les nantis gagnent en bourse grâce à des systèmes comme Blackrock et le reste vit dans des ghettos de subsides de l’état qui les maintient en vie et fait d’eux des robots mercenaires pour le maintien de l’ordre et la chair à pâté des conflits à venir.