@nono le simplet
Tout aussi lassantes les conneries que l’expert militaire, médical, scientifique, graphiste auto-proclamé nous sort de sa machine à laver chaque fois que le soleil sort au-dessus de l’horizon.
Parlons donc de ses sources communes avec le Tytelman et les margoulins de service auto-nommés journalistes.

L’armée ukrainienne des relations publiques : la PR Army

La société de relations publiques (lire : propagande) dont vous n’avez jamais entendu parler, mais qui contrôle le discours des médias occidentaux sur la guerre en Ukraine ! L’Armée ukrainienne de relations publiques est un collectif de professionnels ukrainiens des relations publiques qui fournit des informations à plus de 2200 médias, magazines, chaînes de télévision et stations de radio, ainsi qu’à plus de 3000 journalistes du monde entier dans 78 pays. Ils ont réalisé plus de 5500 reportages ou couvertures, plus de 8000 mentions sur les médias sociaux, qui, selon eux, ont atteint plus de 7,3 milliards de personnes à travers le monde.

Il s’agit d’une mission de propagande massive, de leur propre aveu, qui travaille avec des médias tels que la BBC, CNN, Fox News Media, Forbes, The Washington Post, CNBC, The New York Times, Insider, the Financial Times, Wall Street Journal, The Hill, USA Today, CTV News, The Times, Daily Express, WIRED, El Independiente, Rai, Tagesspiegel, France24, franceinfo, la Republicans, Nikkei Asia, Der Spiegel, et bien d’autres encore...

Karl Bostic, producteur de PBS NewsHour (PBS NewsHour travaille avec Bellingcat, qui est financé par la National Endowment for Democracy, une émanation de la CIA) fait l’éloge de la PR Army sur son site web, mais ne révèle pas qu’il a acquis des informations auprès d’elle dans ses articles ou ses reportages !

Ce rapport révèle que l’armée ukrainienne de relations publiques et le régime de Kiev alimentent les Médias Main Stream occidentaux en mensonges, en histoires et en propagande, et qu’ils fournissent un "manuel de couverture de la guerre" indiquant aux journalistes quel langage est acceptable et lequel ne l’est pas. Ils fournissent également une base de données consultable sur le personnel des médias, où l’on peut rechercher le nom d’un présentateur ou d’un journaliste pour savoir s’il présente de la "désinformation russe". Vous pouvez également demander à l’armée des relations publiques de constituer des dossiers sur les journalistes et de demander à un orateur, sélectionné par ses soins, de présenter une couverture pour votre entreprise de presse.

Cette opération est financée par les contribuables américains, européens et britanniques... Vous payez pour qu’on vous mente !