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Commentaire de herve_hum

sur Great Reset et agenda CBDC : la fin de la liberté est proche Avec Marc Gabriel Draghi


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herve_hum 17 juillet 2023 09:02

@charclot

Désolé, mais il ne peut exister d’action concerté sans commandement. La nécessité est le premier des commandements, mais lorsqu’il n’y a pas nécessité, il s’agit de volonté individuelles qui se fédèrent entre elles pour des actions concertés et le plus souvent, sous l’initiative d’individus, mais le problème est alors la concurrence entres eux. Mais attention, lorsque la nécessité touche à la survie, alors, ce sont les conditions de survies qui décident du système de commandement. Autrement dit, face à un ennemi extérieur menaçant la communauté, alors, la nécessité est celle de désigner un chef de guerre pour se donner une chance de résister et de vaincre, sans cela, c’est la défaite assuré. Autrement dit, l’état d’urgence face à un ennemi extérieur commande toujours la désignation d’un chef, la paix supprime sa nécessité car il y a le temps du débat qui n’existe pas en temps de guerre. Voilà pourquoi l’état de guerre qui impose un chef et la soumission volontaire des autres, est une nécessité du système capitaliste et qui ne peut donc aller vers la mondialisation sociale avec comme base la coopération ? QUI est un interdite. Ce système ne pouvant aller au delà d’un monde bipolaire en état d’urgence permanent tel que décrit par Orwell et qui se met en place.

Il y a la réalité qui obéit à ses propres conditions d’existence, c’est à dire, les lois de la causalité et l’imaginaire, qui obéit à la volonté de l’être, donc, où chaque être humain est le maître de la causalité. Mais dans la réalité, c’est la causalité qui commande, car elle est commune à tous et où les imaginaires de chacun doivent s’effacer au profit d’un seul qui pourra être réalisé. Dans votre exemple, cela portera sur le choix de l’emplacement de l’hôpital, de son aspect architectural, qui pourra être le fruit d’un travail collectif, mais qui devra toujours finir par être unique, donc, plaire à certains et déplaire à d’autres.

Dans la réalité, vous pourrez obtenir l’adhésion d’une majorité plus ou moins grande, mais pas de la totalité et donc, devrez toujours user de coercition face à ceux qui luttent contre. Quand j’écris que nul ne peut exiger plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il n’accomplit de devoirs par lui même, cela découle directement du principe éthique d’équité, de recevoir selon son apport à la collectivité et donc, accepté par les individus composant la collectivité et ne pouvant être contesté sur le plan éthique par quiconque.

Mais ce que vous écrivez n’est pas de l’anarchie au sens propre, mais de la panarchie, qui fait reposer le pouvoir sur tous les individus et non pas une élite dominante.

En tous les cas, je note que vous ne répondez pas directement à ce que j’écris


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