@agent ananas
Suivant le Pemile il n’y a que les furieux qui se posent des questions. Les autres bien soumis acceptent tout ce qu’on leur envoie à gober. Néanmoins, l’ordre donné de tirer tout ce qui peut ressembler à du Hamas, donnant des signes de reddition fait partie des crimes de guerre. Dans ce cas précis, ces hommes sont manifestement montrant des signes de reddition. Le fait de tirer sur des combattants désarmés se rendant est un crime de guerre. La seconde question est rapport à l’identité de ces types et il se trouve que ce sont des otages israéliens échappés que l’armée est venue soi-disant délivrer et non tuer. On peut donc, sans être furieux, être autre chose qu’un zombi soumis et se poser des questions quant à la réelle vérité sous-jacente et douter de la version officielle qui ne cherche qu’à couvrir et faire passer l’assassinat comme une bavure. Il faut aussi rappeler que l’un des assassinées a été récemment membre des troupes d’élite israéliennes : il connaissait donc tous les protocoles militaires et avait donc pris toutes les précautions nécessaires à leur survie dans une telle situation. Ceci ne leur a pas suffi, pourquoi ? Ce n’est pas une question de furieux. La bavure ne concerne pas un soldat, mais plusieurs. Alors le Pemile, fais fonctionner les quelques neurones qui te restent et cesse de prendre les gens pour des cons.

Tir réflexe : c’est une évidence que personne ne peut contester !

Ben si on peut contester : Un tir réflexe, peut-être, mais pas 2 ou trois avec une chasse à l’homme qui suit le ratage du 1ᵉʳ "reflexe". Les gogos croient tout ce qu’on leur donne à gober, les autres essayent de réfléchir. Pourchasser pour le tuer un ennemi qui voulait se rendre est en premier lieu un crime de guerre. Un palestinien avec les cheveux roux, des taches de rousseur et la peau très blanche, ça ne cadre pas, surtout s’il parle hébreux avec un accent juif.
On peut supposer, à juste titre, que les ordres ont été donnés en le sens de l’élimination des otages, ce qui est corroboré par les bombardements massifs sur les zones pouvant les héberger, sur l’absence d’hystérie des otages libérés qui parlent plutôt de la peur qu’ils éprouvaient de mourir bombardés par les leurs et le nombre élevé d’otages morts sous les bombardements israéliens.