« L’homme éparpillé n’a de la femme qu’images émiettées ; de la totalité il ne peut saisir qu’une facette. Au lieu de reconstituer l’unité, de voir sous l’apparent l’éternel, il multiplie les miroirs et effigies. Seul celui qui est UN et NU peut regarder la femme sans voile, nudité insupportable, insoutenable sauf à l’être pur. » (Jacqueline Kelen)
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