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Étirév

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    Étirév 14 mai 14:00

    Il y a quelques temps déjà, une œuvre apparaissait qui allait renverser tout ce que l’on connaissait sur l’évolution des mondes ; tout ce que l’on savait d’astronomie, de mécanique céleste, était jeté bas. Dans cette œuvre se trouve un style clair, net, précis, un profond savoir, de l’idée et, surtout, un esprit de suite étonnant. La pensée y suit une ligne absolument droite ; les déductions dénotent une intelligence supérieure, tout y est mathématiquement scientifique et en renverse les idées acquises.
    C’est une « Nouvelle Science » qui demande l’éclat du jour.



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    Étirév 10 mai 20:36

    Le monde entier est, depuis longtemps, régi par le mensonge.
    Aussi, le mal, la misère et la guerre ne sont que le triste cortège des conséquences désastreuses du mensonge.
    À propos des récentes guerres mondiales :
    1- En 1922, paraissait « La Mobilisation des Consciences, La Guerre de 1914 », de G. Demartial. Dans la deuxième édition, l’auteur écrit : « Ce livre est le procès des hommes qui ont fait l’opinion pendant la guerre. Aucun n’a seulement essayé de se justifier. Ils ont fait défaut tous. C’est donc que rien de ce qu’ils ont soutenu était soutenable. Et j’avais raison de dire qu’on a tant tué que parce qu’ils ont tant menti. Cependant ce sont les mêmes hommes qui acclament la Société des Nations (ex-ONU), que dis-je, qui y siègent. Ce sont eux qui disposeront demain de l’armée internationale. Comme c’est rassurant ! ».
    2- Dans une lettre datée du 15 août 1871, et connue depuis déjà pas mal de temps par de nombreux et « vilains » complotistes, l’écrivain maçonnique américain, Albert Pike, faisait part au révolutionnaire et patriote italien, Giuseppe Mazzini, d’un plan des « Illuminés de Bavière » (il s’agit, d’après René Guénon, d’une organisation pseudo-initiatique qui, au XVIIIème siècle, chercha à s’emparer de la Maçonnerie « Opérative ») qui avaient en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales dans le but d’ériger un gouvernement mondial unique.
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    Étirév 9 mai 03:40

    À propos de la mythologie « soucoupiste » naissante du XXème siècle, c’est-à-dire « l’interplanétarisme » par l’entremise du phénomène OVNI/UFO et ses « Aliens » (ou « EBE » : Entité Biologique Extra-terrestre) si chers aux anglo-saxons (phénomène basé sur la « théorie des Anciens Astronautes », appelée « contact du paléolithique » en Russie), et qui allait connaître un grand succès, René Guénon, dans « L’erreur Spirite » (en 1923), déjà, écrivait « combien il y a de naïveté dans les illusions que se font certains savants à l’égard des communications interplanétaires », et précisait que « ces illusions procèdent de l’erreur qui consiste à transporter partout des représentations purement terrestres, anthropomorphe… qu’il vaut mieux n’avoir aucune représentation que d’en avoir de fausses… que ce dont il s’agit n’est pas imaginable mais qu’il ne faut pas en conclure que cela n’est pas concevable, car cela l’est au contraire très facilement », et concluait que « une des grandes erreurs des philosophes modernes (…) et qui est elle-même un trait général de la mentalité occidentale (…) consiste à confondre le concevable et l’imaginable ».
    Une vie extraterrestre « concevable » : Dans tous les Livres sacrés, on expliquait la Cosmogonie. L’Inde antique nous a laissé une Cosmogonie grandiose, mais qui est en opposition avec les conceptions mesquines de la science moderne. Nous y trouvons d’abord l’Espace qui n’est pas contenu, mais contient tout. Dans cet Espace est une substance primordiale, universelle, qui le remplit, et qu’en sanscrit on appelle « Akâsha » (c’est l’Azote ou Æther-Azote). Au sein de cette substance s’agite et rayonne l’Upâdhi, l’élément-force ; c’est la radiation atomique émanée des soleils (étoiles) et projeté, dans tous les sens, dans l’espace immense.
    C’est l’Oxygène radiant que notre Soleil projette parce qu’il est son élément comburant. Cette radiation n’est pas seulement une force, c’est aussi un principe chimique.
    Cette force radiante ne vient donc pas seulement de notre soleil ; elle vient aussi des étoiles, qui sont multiples et rayonnent dans l’espace sept autres principes chimiques qui génèrent les sept couleurs du prisme. C’est l’origine du Septénaire.
    Ces éléments colorés, qui possèdent les mêmes propriétés que l’oxygène, sont : le soufre, le fluor, le chlore, le brome, l’iode, le tellure, et le sélénium.
    Chaque soleil a donc ses radiations qui, physiquement et chimiquement ne sont pas celles des autres soleils puisque les matières décomposées par la combustion ne sont pas les mêmes dans tous les astres incandescents. En même temps, chaque soleil a sa couleur, laquelle est déterminée par l’élément actif qui entretient la combustion. Sur une terre éclairée par un soleil rouge c’est, peut-être, le Sélénium qui est l’élément comburant, qui règne dans l’atmosphère et engendre la vie. Sur une terre éclairée par un soleil vert c’est, peut-être, le Chlore qui joue ce rôle actif et, dans ces mondes éloignés de nous, l’oxygène n’est, peut-être, connu que comme un élément secondaire aussi insignifiant, aussi peu utile à la vie que l’est par exemple, l’Iode sur terre.
    Ainsi, c’est l’élément comburant d’un soleil qui régit toute l’organisation physique du système, toute l’organisation physiologique des êtres qui y vivent.
    Si le « monde » qui recouvre la surface terrestre a, aujourd’hui, une structure déterminée qui, pour nous, est normale, c’est parce que les forces qui agissent aujourd’hui sur notre globe engendrent cette structure. Mais à la surface d’une autre planète, les forces différentes doivent engendrer des formes différentes.
    L’homme cherche partout son image ou sa ressemblance, méconnaissant ainsi la grande loi de l’évolution, qui change incessamment les formes, les organes, les tissus. Cependant, aux différents âges d’un même monde on ne trouve pas de différences morphologiques fondamentales, la direction des forces étant toujours la même, mais seulement des différences d’intensité.
    Ainsi, après la période azoïque (sans vie), la Terre s’était couverte d’une subite végétation. Mais les espèces apparues dans cette primitive période de vie (époque de transition) ne ressemblaient en rien à celles que nous connaissons actuellement. C’était une végétation bizarre, des Lycopodes, des Fougères arborescentes et bien d’autres perdues aujourd’hui, qui allait être suivie d’une animalité ayant aussi des caractères extraordinaires (de grands sauriens, des chauves-souris gigantesques, etc.). Puis arrive l’époque tertiaire, et toutes les conditions de la vie organique changent encore, une végétation nouvelle surgit et, après eux, issus d’eux, les grands mammifères.
    Rappelons que l’Oxygène est un élément récent pour la terre, il l’enveloppe, il règne dans toutes ses couches superficielles, mais pas dans ses couches profondes ; il n’existe pas dans les terrains primitifs. Il est probable même que son arrivée à la terre coïncide avec l’apparition de l’eau et de la vie à la surface de notre planète. Aussi, en étudiant la constitution géologique de la terre, nous constatons que le grand rôle que joue actuellement l’oxygène, pour nous, a été, en partie, rempli par le soufre à une autre époque. En effet, à l’époque crétacée ou tertiaire, le soufre abondait sur la terre.
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    Étirév 8 mai 17:03

    La nouvelle Science et DIEU
    Prenez le rationaliste le mieux doué, mais étranger à la science et dites-lui, par exemple, que l’eau est formée de deux gaz, que l’air n’est pas un tout homogène mais un mélange de divers éléments, que l’être humain a été formé la tête en bas et les pieds en haut, cet homme vous répondra que tout cela « est absurde », attendu que sa raison lui fait voir l’eau sous un autre état que les gaz, que sa raison lui montre l’air comme un milieu transparent dans lequel il n’aperçoit aucun élément, que, habitué à voir marcher l’homme sur ses pieds, il ne peut pas concevoir qu’il ait occupé une autre station dans laquelle la marche est impossible.
    Et cependant, il est bien vrai que l’eau est un composé de deux gaz, que l’air n’est pas un tout homogène, que pendant toute l’évolution humaine le fœtus a la tête en bas et les pieds en haut. Et vous qui êtes « savant », qui avez acquis la connaissance de ces choses et les propagez avec conviction, vous mettrez, certainement, dans la discussion avec ceux qui nieront ce que vous affirmez, l’obstination de celui qui est arrivé à la certitude, vous mettrez, dans votre désir de les convaincre, l’ardeur du prosélytisme.
    Mais, supposez qu’il arrive, dans l’avenir, un moment où la science obscurcie, perdue, n’explique plus aux nouvelles générations le comment et le pourquoi des phénomènes, supposez qu’on leur donne à croire des conclusions sans préliminaires, des faits non démontrés, quoique vrais, il se trouvera, certainement, parmi nos descendants, des esprits forts, des « rationalistes », qui diront : Je ne crois pas tout cela, parce que « c’est absurde », je ne veux pas de mystère et je n’admets que ce que ma raison explique.
    Et cet homme semblera avoir raison, et, cependant, celui qui enseignera tous ces faits, démontrés aujourd’hui, n’aura pas tort, puisqu’il propagera la vérité. Et la lutte naîtra entre ces deux hommes remplis de bonne volonté l’un et l’autre.
    Nous nous trompons quand nous disons que le missionnaire de ces vérités n’aura pas tort ; il aura, au contraire, un immense tort, c’est d’avoir perdu « la science », d’être tombé lui-même, dans l’ignorance des choses qu’il enseigne et de ne pouvoir plus les appliquer, d’être obligé de les présenter sous la forme de vérités acquises à une époque reculée, mais devenue « mystères » par l’ignorance des générations dégénérées.
    Il aura le tort de baser son enseignement, non plus sur la science, mais sur la tradition. Ce qui arriverait en pareil cas c’est ce qui arrive aux prêtres actuels de tous les cultes. Ils propagent des vérités fondamentales, devenues des mystères pour eux, des idées qu’ils sont incapables d’expliquer scientifiquement et qu’ils veulent imposer en vertu de leur propre autorité, et le rationalisme des masses ignorantes leur jette à la tête une négation qu’ils ne peuvent plus combattre.
    C’est ainsi qu’ils imposent la croyance en Dieu, sans connaître, eux-mêmes, l’essence de ce Dieu qu’ils ordonnent au peuple d’adorer, sans penser que leur affirmation ne suffit pas et que, pour que la foi soit inébranlable il faut qu’elle soit basée sur l’évidence des faits.
    C’est cette foi là que la science vient rétablir, c’est elle qui vient mettre dans les esprits des choses compréhensibles là où la tradition mettait des choses qui semblaient absurdes parce qu’elles étaient incompréhensibles.
    Ainsi, la science, en ajoutant au mot Dieu le mot Oxygène, rend tout d’un coup, cette idée claire, précise, indiscutable pour tous les gens instruit, elle supprime le mystère et le remplace par l’évidence.
    La trinité, cette autre idée qui semble aux rationalistes le dernier mot de l’absurdité dans sa forme mystérieuse, devient une vérité évidente lorsque la science l’explique par les trois états de l’Oxygène.
    Donc, avant de dire : Je ne crois pas cela parce que « c’est absurde », dites-vous : la tradition me donne telle idée à croire, examinons, « par la science », la valeur de cette idée, mais ne faites pas appel à la raison pour croire ou nier, attendu que la raison n’explique rien et ne juge que les apparences qui sont, presque toujours trompeuses. La raison ne nous dit pas que la terre tourne, ni que les premières formes traversées par l’homme pendant son développement à la surface terrestre, ou pendant sa vie embryonnaire, ne ressemblaient en rien à sa forme actuelle, c’est la « science » qui nous dit cela.
    DIEU ?

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