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Commentaire de ezechiel

sur Cet inquiétant et ultime plan mondial de la franc-maçonnerie | Stanislas Berton | Géopolitique Profonde


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ezechiel ezechiel 8 février 12:41

"Qu’est-ce que le projet mondialiste imposé progressivement en France ?"

Le Nouvel Ordre Mondial a des origines lointaines. La Kabbale prétend que les juifs sont le peuple de Dieu (En Sof, l’Être Suprême) qui doit souffrir de convulsions, par étapes, pour que l’humanité progresse et enfante une unité mondialiste Une et indivisible. Chaque étape, chaque catastrophe, chaque révolution secouent le monde pour le "réparer" (Tikkoun olam, préché par nos élites).

Les révolutionnaires vont s’imprégner de cet univers kabbalistique qui servira de modèle à la république universelle humaniste prônée par la franc-maçonnerie, en particulier avec le noachisme, religion dérivée de la Kabbale, qui aboutira aux révolutions américaine (1776) et française (1789)
La constitution d’Anderson de la franc-maçonnerie britannique, base également de la constitution américaine, fait mention de l’idéal noachide dans ses textes :

« Un maçon s’oblige à observer la loi morale comme un vrai noachide ; et s’il comprend droitement le métier, jamais ne sera stupide athée ni libertin sans religion, ni n’agira jamais contre sa conscience. Au temps jadis, les maçons chrétiens devaient se conformer aux usages chrétiens de chaque pays où ils voyageaient ou travaillaient. Mais la maçonnerie existant en toutes les nations même de religions différentes, le seul devoir est aujourd’hui d’adhérer à cette religion où tous les hommes s’accordent (sauf pour chaque frère à garder son opinion particulière), c’est-à-dire d’être hommes bons et vrais, ou hommes d’honneur et de probité, n’importe les appellations, religions ou croyances qui les distinguent : car ils s’accordent tous sur les trois grands articles de Noé, et c’en est assez pour préserver le ciment de la loge. Ainsi la maçonnerie est le centre de leur union, et le moyen de concilier des personnes qui auraient dû, autre­ment, rester sans cesse éloignées les unes des autres. »
Constitution d’Anderson (1738), de James Anderson, un des pères fondateurs de la Franc-maçonnerie en Angleterre, qui essaimera aux États-Unis avec le Rite Écossais Ancien et Accepté, puis en France en 1789


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