Le meurtre, du point de vue religieux, ne peut se définir que contre l’âme, or il est dit :
"L’âme n’est pas une brute, Plautina. L’embryon, oui. C’est si vrai que l’âme n’est donnée que quand le fœtus est déjà formé. L’âme est, à la ressemblance de Dieu, éternelle et spirituelle. Éternelle à partir du moment où elle est créée, tandis que Dieu est le Très parfait, Éternel et pour cette raison n’a pas de commencement dans le temps, comme Il n’aura pas de fin. L’âme, lucide, intelligente, spirituelle, œuvre de Dieu, s’en souvient.
https://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2003/03-065.htm#Formation%C3%82me
On ne peut donc pas qualifier l’avortement d’un embryon de meurtre, ce serait du rigorisme à la pharisienne, mais on peut qualifier l’avortement d’un fœtus de meurtre.
L’avortement d’un embryon est un échouage de l’amour, de l’espoir, de la confiance, de l’innocence... face à la condition humaine créée par les dirigeants mais également une commodité pour les dévergondé(e)s, il ne faut pas se leurrer.
Il faut comprendre que la femme qui avorte d’un foetus devra supporter sa présence si elle veut rentrer au paradis, c’est évident, donc elle doit s’y préparer.