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Commentaire de howakhan

sur Ukraine, Israël : Macron dans l'engrenage fatal ? - Nicolas Dupont-Aignan dans Le Samedi Politique


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howakhan howakhan 2 juin 09:44

Salutations,

je ne peux écouter un des clowns du circuit..

je réagis donc sur le titre..

ceux derrière Macron veulent le pire, avec le soi disant ordo ab chaos...phrase bidon, car le réel est chaos ab chaos...

Et bien allons y, de toutes façons le monde entier veut cela...en pensée,, en parole, par action et ou par omission..

chaque moi veut le plus possible, point..

pourquoi ? par refus que naître = mourir..certes oui, mais ceci est un effet d’autre chose, le totalitarisme de la pensée sur la psyché, ceci se passa des millénaires en arrière..

nous avons nous même détruit notre psyché...

c’est réparable, mais voila faut se regarder soi même objectivement et ça pas question, moi je suis parfait à mes yeux, et ce multiplié par quasiment tous..

rien de nouveau que du vieux et du réchauffé..

or en général il n’est ni question de la masse créatrice de tous ces désastres millénaires par refus de coopérer volontairement avec équité et bien plus que cela et ce pour la survie physique et plus, ceci en soi est une déclaration de guerre, nous voulons donc la guerre en fait, car ceci amène la compétition entre tous, ce principe élimine et donne ce monde rouge sang..c’est l’enfer que nous avons voulus et créé, nous devrions être ravis CA MARCHE...

J.B Bossuet : "Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit."

E. de La Boétie : Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ?



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