Ingrid COURREGES n’est pas seulement belle, elle chante aussi très bien des textes résistants
Elle est une des très rares artistes à avoir eu la force et le courage d'exprimer avec toute sa douceur et ses convictions le totalitarisme sanitaire qui monte en puissance depuis 10 mois, l'interdiction de soigner, les confinements et toutes ces immondices.
Des reprises de chansons connues dont les textes ont été intelligemment remaniés.
Femme libérée (C. Dingler) Cover Ingrid COURREGES - Nos libertés
Une reprise amméliorée du tube de Cookie Dingler
Sa liberté de soigner - Cover Ingrid COURREGES
D'après ma liberté de penser de Florent PAGNY
Sa chaine Youtube, ou se trouvent beaucoup d'autres chansons :
https://www.youtube.com/channel/UCqQFDb28j8Sc7hPiqf0bmvg
Tags : Musique
14 réactions à cet article
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Et ça c’est pour éviter au ̶v̶i̶e̶u̶x̶ ̶t̶r̶o̶l̶l̶ ̶a̶i̶g̶r̶i̶ No-Life (qui aune vie passionnante) de venir baver le premier. :->
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@Yakaa
Dommage, son clip pour "Tous anti-Covid" n’a pas été retenu...
Y’avait pourtant un gros potentiel...
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Il est bon de voir et d’entendre qu’il y a encore des êtres pleinement vivants dans ce monde de zombies.
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« ... donner son corps à la science... ». Ça donne envie de s’appeler Lascience.
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@louis
"je ne dirait qu’un mot ; quel talent !"
Ce qui fait quand même deux mots.
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@Qaspard Delanuit
Talent , est un mot,alors que quel est un pronom ( c’est ce que l’on appelle joué sur les mots ) -
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Où l’on constate qu’il y a mieux que l’attraction esthétique de la beauté, la puissance de la féminité.
Le pouvoir du message féminin contre la dictature d’une société, pourquoi pas...
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@Tchakpoum
La beauté formelle est une part constitutive de la puissance de la féminité. -
À Tchakpoum,
Oui, tout à fait et ce n’est pas la seule ! -
Évidemment, la frontière entre les deux est plus que poreuse. Pour autant, il existe des femmes qui n’accrochent pas nécessairement l’oeil mais qui ont une féminité ravageuse. La part esthétique, -celle qui fait bander, quoi-, est celle de l’envie, de la possession. Et c’est la limite de femmes purement esthétiques : on finit par s’emmerder avec et ça devient chiant à vivre avec. La part féminine est celle qu’on ne peut pas posséder, mais qui nous ensorcelle, qui distrait toujours. Et là, on est dans une vraie dualité, avec une évolution sans fin.
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@Tchakpoum
Toutes des sorcières ! Même les moches."La part féminine est celle qu’on ne peut pas posséder, mais qui nous ensorcelle."
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The Eyes - I’m Rowed Out
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