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Yamina Benguigui vs Zemmour : elle veut lui régler son compte !

La réalisatrice Yamina Benguigui n’a pas du tout apprécié la critique de son téléfilm Aïcha – Job à tout prix par Eric Zemmour, qui l’a comparé à "Oui-Oui".

 

Furieuse, elle a lancé : "Je m’en fous de ce que vous pensez. On se verra à l’extérieur, soit je vous règle votre compte, soit on se met d’accord."

 

Le téléfim de Yamina Benguigui sera diffusé le 2 mars sur France 2.

Tags : Télévision




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20 réactions à cet article    


  • 33 votes
    gregoslurbain gregoslurbain 21 février 2011 09:24

     Ras le bol de voir toutes ces vidéos de promotion de cette nullité française et télévisuelle qu’est Zemmour, étriqué, mesquin, égoïste et borné. encore plus nul que BHL.


    • 2 votes
      sahabas 21 février 2011 21:40

      Benguigui et Zemmour, les deux facettes d’une même médaille : le choc des civilisations.

      D’ou vient cette idéologie de haine ? Comme par hasard, on retrouve souvent les mêmes, surement un pur hasard... :

      http://resistancemusulmane.over-blog.com/article-guy-milliere-et-daniel-pipes-en-kippa-le-vrai-visage-de-la-doctrine-du-choc-des-civilisations-67759510.html


    • 2 votes
      ffi 21 février 2011 22:00

      Il semblerait que vous ayez trouvé le chocs qui vous convient.
      .
      Mais le Coran lui-même n’est pas avar de propos le promouvant, n’est-ce pas ?


    • vote
      tousensemble tousensemble 9 mars 2011 10:15

      SOLDONS...


      POUR 1 EURO...BHL...MINC...ZEYMOUR. DIEUDONNE.ou envoyons les en libye...comme mercenaires bénévoles....ils auront beaucoup moins de "gueule"...

      tousensemble


    • 19 votes
      MAZIG 21 février 2011 09:54

      Pour une fois , et aussi paradoxal que cela puisse paraitre , ce qui prouve mon honnêteté intellectuelle , je donnerais raison à Zemmour quant à la notion de "oui-ouisme" que représente ces trois nanas.Sachant toutefois que Zemmour lui meme , baigne dans le plus absolu des oui-ouismes de par son complexe d’être juif algérien , dont il veut ou essaye de se débarrasser en se voulant plus gaulois qu’Astérix. Ceci dit , je lui accorde tout de même une certaine forme d’intélligence pour ce faire , contrairement à toutes ces "Aicha" (remarquez que j’ai supprimé le "G" du début) qui veulent à tout prix se faire une place sur le dos des musulmans car c’est un filon qui est devenu rentable sous l’ère Sarko.
      En conclusion , entre deux merdes , Zemmour mériterait un brin de considération , dans la mesure ou lui , au moins , il ne tape pas sur les siens.


      • 9 votes
        poetiste 21 février 2011 10:16

        En conclusion , entre deux merdes , Zemmour mériterait un brin de considération

        La vulgarité est-elle bien utile ? Ce qui sort de ta bouche doit normalement sortir par un autre orifice.
        Un "brin de considération" !!! Allez, relève encore le menton, la prétention stupide n’a pas de limites, tu peux en rajouter.


      • 8 votes
        poetiste 21 février 2011 10:07

        Décidément, Zemmour a un problème avec les femmes et là, il n’est pas "irénique". (C’est son mot). Il n’a pas compris qu’il y avait une différence irrévocable entre l’homme et la femme.
        Et comme archétype(c’est son mot) d’incompréhension, il nous en montre un exemple flagrant.
        La dialectique Zemmour est un rouleau compresseur qui ne fait pas dans la dentelle, qui ne s’attarde pas aux détails qui révèlent l’essentiel. Bref, Zemmour n’est pas un interlocuteur pour une femme. Déjà, avec Lady Gaga, il n’avait rien compris à sa popularité.
        Imaginons Zemmour président de la République ; il nous ferait regretter Sarkosy. Question égotisme, il peut aussi recevoir un prix.
        Ne lui faisons pas un procès, il est un spectacle à lui tout seul, c’est le but de la manip. C’est de la télé, c’est du cinéma, c’est un jeu virtuel, c’est du jeu (mais pas du pain).
        Les bouffons du peuple servent le roi en anesthésiant le peuple et le roi a les mains libres.
        Ne pas oublier ce détail important.
        Les femmes savent voir le détail qui dit l’essentiel, c’est une autre approche de la réalité et Zemmour reste Zemmour. Allez chercher le tire bouchon !


        • 4 votes
          poetiste 21 février 2011 12:33

          Barre de rire
          Quand on a des peaux de saucisson devant les yeux, on ne voit que des peaux de saucisson partout.
          La délicatesse t’est interdite à jamais. Tu méprises les femmes : rien d’étonnant. Je pense que tu n’as jamais écouté une femme.
          Tu ressembles à Zemmour, en ce sens.
          Barre de rire, t’en as pas marre de rire ? Le rire gras n’est pas l’humour, tu le prouves.
          C’est pas des gus comme toi que je rencontre habituellement mais là, sur le net, on prend ce qui vient. Tu ne fais pas partie du meilleur dans le meilleur et le pire, hélas pour toi .
          Si tu pouvais t’en rendre compte, tu serais sauvé, tu serais un homme.
          Mais il y a du chemin à faire !!!


        • vote
          poetiste 21 février 2011 17:59

          barre de rire : l’imbécibilité, c’est ton néologisme mais l’imbécillité c’est autre chose. Alors comme ça, les femmes t’aiment bien. Mais est-ce qu’il y a une femme qui t’aime ? Tout est là.
          Tu fais bien de te vanter car, à ce que tu écris, on ne distingue pas le super champion que tu crois être. Oui, vante-toi car au constat de la réalité, tu pourrais tomber dans une déprime profonde.
          Je voudrais te voir face à Zemmour : il te ferait prendre brutalement conscience de ta médiocrité.
          Car écrire sur un forum pour y déverser sa bile, c’est l’exutoire des faibles.
          Tu ne recevras jamais une insulte de moi, je te laisse cette délicatesse.
          Ceci dit, je ne te méprise pas : à chacun son niveau.


        • 1 vote
          poetiste 21 février 2011 21:29

          Pas mal ta réponse
          Je sors le calumet de la paix.


        • 8 votes
          Manpo Manpo 21 février 2011 10:31

          Encore une fois on ne peut pas leur dire que leur films de bobo de merde ...c’est de la merde. Sinon on est trop nuuul houuuu. Pitoyable bourgeoise.


          • 5 votes
            Machiavel 21 février 2011 12:15

            La france des années 30......
            la vieille patate chaude du pétainisme couve sous les braises et le public en redemande ....


            • vote
              ffi 21 février 2011 22:05

              Reste à savoir qui sont les collabos, à quoi ils collaborent et suite à quelle défaite.


            • 8 votes
              Yvance77 Yvance77 21 février 2011 12:44

              Encore une fois le monde du « chaud bise » montre à quel point il est refermé ou centré sur lui-même et, surtout, hermétique à toute forme de critiques ou d’auto-critique !
              .
              Le droit de Zemmour est de dire s’il a lu ou vu une bonne oeuvre, mais de là à monter sur ses ergots de la sorte, c’est finalement accréditer la thèse que ce qu’à bien vu EZ est, sur ce coup, belle et bien une bouse.


              • 3 votes
                traboule 21 février 2011 13:38

                Ce "débat" entre méditéranéens est très désagréable a suivre, inaudible . Zemmour n a pas pu aller au bout de son raisonnement il a fallut que chaque camp monte sur ses grands chevaux


                • 10 votes
                  Mr.Knout Mr.Kout 21 février 2011 14:06

                  Qu’on apprécie zemmour ou pas,on ne peut nier que Yamina Benguigui ne laisse pas s’exprimer la critique.


                  • 4 votes
                    Serpico 21 février 2011 18:43

                    De l’art de broder à partir du vide et de faire comme si on avait introduit un sujet réel : "Des choses connexes à la religion musulmane..."

                    Zemmour est bien sioniste : ce n’est même pas de la rhétorique. Il fait comme s’il avait développé un argument.

                    Et toute la planète est escroquée par ces "postulats" imaginaires.


                    • 7 votes
                      Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 21 février 2011 22:53

                      C’est vraiment lamentable cette attitude qui consiste à ne pas laisser les critiques s’exprimer. Et c’est fatiguant d’essayer d’entendre les arguments du journaliste qui est constamment empêché de s’exprimer par les vociférations de l’auteur. Celle-ci semble considèrer toute critique réelle, c’est-à-dire non promotionnelle, comme insupportable pour son ego. 


                      • 2 votes
                        therasse 22 février 2011 14:10

                        Il y a toujours eu des romans à l’eau de rose totalement déconnectés de la réalité ou des polars qui donnent une image idyllique de la police.


                        Croire que l’image faussement positive qui est donnée n’a aucune influence sur le téléspectateur relève de l’extrême naïveté. Le rôle du critique consiste donc entre autre à recadrer les choses, à mettre en garde contre ces influences médiatiques, parfois dangereuses.

                        Il n’y a, pour s’en persuader, qu’à se souvenir des innombrables saisons de "24 heures chrono" où les arabes sont présentés à longueur d’épisodes comme de dangereux terroristes omniprésents dans les rues américaines, toujours prêts à fomenter un attentat bactériologique ou nucléaire et où, par voie de conséquence, l’état d’urgence justifie à longueur d’épisode l’application à ces "ennemis de l’Amérique" des méthodes musclées confinant à la torture ainsi que des restrictions de liberté aux citoyens américains sous prétexte de chasse aux méchants islamistes.

                        Tout ça, on le sait aujourd’hui a permis de faire passer des Patriot Acts ainsi que la pratique de la torture en Irak ainsi qu’à Guantanamo. 

                        En ce qui concerne Yamina Benguigui, le fait de présenter une banlieue où la délinquance est absente et où la pression salafiste ne s’exerce pas ressemble fort à un péché par omission, volontaire ou non. En tous cas, la réalité sociologique en prend un coup, notamment quand on se souvient de nombreux documentaires diffusés sur ARTE et notamment "Les discours de Hambourg", récemment rediffusé.

                        Madame Benguigui a parfaitement le droit d’édulcorer la réalité en passant certains aspects de celle-ci au même titre que les réalisateurs de séries de la veine des "Feux de l’amour" ou de polars proprets à la "Julie l’Escaut" ; le critique a aussi le droit de rappeler que ça n’a rien à voir avec la réalité du terrain.   


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