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Scandales sexuels et gros sous : les coulisses du cinéma français révélées ! | Laurent Firode | GPTV

Le 16 mai à 18h30, Laurent Firode, Jean-Maxime Corneille, Stéphanie Reynaud et Martin Loizillon seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.

Laurent Firode est un scénariste et réalisateur français reconnu pour son approche unique et souvent satirique du cinéma. Ayant travaillé sur divers projets, des films indépendants aux productions plus grand public, il a su apporter une vision critique et souvent humoristique des travers de la société contemporaine.

Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad : L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».

Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée « Tribune Libre » , où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.

Martin Loizillon est un acteur français, connu pour ses rôles dans divers films et séries télévisées. Formé au conservatoire, Loizillon a rapidement fait ses preuves sur les planches avant de se tourner vers le cinéma, où il a su s’imposer grâce à son talent et à sa capacité à incarner des personnages complexes

Le financement du cinéma français par le Centre National du Cinéma et de l’image animée (CNC) est un sujet qui suscite de nombreuses interrogations et controverses. Les subventions accordées par le CNC sont-elles réellement efficaces pour soutenir la créativité et l’innovation dans le cinéma français, ou ne servent-elles qu’à enrichir une élite déjà bien établie ? En examinant les mécanismes de financement, nous chercherons à comprendre comment ces subventions sont attribuées et qui en bénéficie réellement.

Le rôle du CNC dans le financement du cinéma français est crucial, mais il soulève également des questions sur la dépendance des artistes vis-à-vis de l’État. Les artistes bénéficiaires de ces subventions deviennent-ils de facto des fonctionnaires, plus soucieux de plaire aux commissions de financement que de créer des œuvres véritablement innovantes ? Cette question est essentielle pour évaluer l’impact des subventions sur la diversité et la vitalité du paysage cinématographique français.

Un autre aspect préoccupant est celui des scandales sexuels au sein du cinéma français. Le mouvement #MeToo a révélé des comportements inappropriés et des abus de pouvoir qui sévissent depuis des décennies dans l’industrie. Comment ces révélations affectent-elles le financement et la production de films ? Les acteurs et réalisateurs impliqués dans ces scandales continuent-ils de recevoir des subventions, et quelles sont les mesures prises pour assurer un environnement de travail sûr et respectueux ?

Le cinéma français est souvent critiqué pour son caractère élitiste, dominé par des grands bourgeois et des enfants d’acteurs. Cette domination socio-économique exclut-elle le prolétariat blanc et les autres classes populaires du processus créatif et des opportunités de financement ? En examinant la composition socio-économique de l’industrie, nous tenterons de déterminer si des barrières invisibles mais réelles empêchent une véritable diversité au sein du cinéma français.

Enfin, nous nous interrogerons sur la place des grandes gueules dans le cinéma français d’aujourd’hui. Y a-t-il encore de la place pour des voix dissidentes et provocatrices, ou le cinéma français est-il devenu trop conformiste et soumis aux diktats des institutions de financement ? Les expériences et perspectives de nos invités apporteront des éclairages précieux sur ces questions.

Nos invités, grâce à leurs expériences variées et complémentaires, offriront une analyse approfondie des mécanismes de financement et de leurs implications pour l’industrie cinématographique. En explorant des sujets sensibles comme les scandales sexuels, l’élitisme et l’exclusion, ils nous aideront à comprendre les enjeux et les défis auxquels le cinéma français est confronté.

Ne manquez pas ce rendez-vous, le 16 mai à 18h30, en direct sur GPTV.

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https://geopolitique-profonde.com/

Tags : Cinéma Scandale Sexe




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1 réactions à cet article    


  • 6 votes
    Josiane Fipzer Josiane Fipzer 22 mai 17:21

    Alors moi j’y dis j’y suis pas étonnée plus que ça de voir qu’y a des sandales dans le cinéma français...comme j’y dirais avec humour ça tétonne plus que ça étonne...c’est même le choc des tétons hihihi...oui j’y aime bien jouer avec les maux, j’y joue depuis mon marri Wilfried y était cruciverbaliste, ça a laissé des crasses dans ma mémoire collective...

    Moi j’y ai pas attendu le sandale Harvey Schweinstein pour savoir que le cinéma pas seulement français y a de la phonographie avec des lampes en l’air à chaque image...y suffit de voir, y a ça dans chaque film avec des gens y ont pinons sur rut...

    C’est du copulisme de bas laitage avec des histoires à vomir debout qu’y montrent dans les films...les histoires y sont juste là pour donner du grain à poudre et du prétexte pour qu’y se rentrent dedans et qu’y se mettent des bâtons dans des trous qu’on dirait que c’est des trous qu’on croyait pas...j’y sais pas si j’y suis glaire...

    Moi j’y connais les coulisses du cinéma...quand j’y été virée comme une pas propre de l’éradication nationale où j’y étais prof de français, et avant d’embraser ma carrière de shampooineuse, j’y voulais tournicoter dans un film...au casting le reproducteur y me dit y faut changer mon prénom...j’y réponds que non, qu’y a déjà des Josiane y sont au cinéma comme la Tabasco...et après le reproducteur y me dit de lui lustrer le casque...j’y ai pas compris ce qu’y dit, j’y croyais qu’y avait un drôle de pompier dans le film...et après y descend son slip...et j’y dis ah non, j’y range pas de ce pain là, s’y faut faire un essai j’y veux articuler comme y faut...j’y dirais qu’y m’a désarticulée et que même à la fin j’y savais plus où que c’est que j’habitais, c’est comme si j’y étais en orbite spéciale...

    C’est ça le cinéma français, des histoires de cornes et de cul comme qu’on dit...par contre des gros sous comme y dit l’article non, j’y suis rentrée y m’ont même pas payé le TER...alors que j’y avais des couleurs atroces au ravin et derrière, c’était comme oléagineux...mon médecin y m’a dit y faudrait fresque faire de la chirurgie drastique pour réparer...

    Depuis ce jour j’y dis : le cinéma français c’est fini ! devant et derrière l’écran.. !



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