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Serge ULESKI

Serge ULESKI

Aujourd’hui, si nous ne sommes sûrs de rien ni de personne, c’est que nous sommes infiniment plus nombreux qu’hier à chercher à savoir ; et plus nous serons nombreux à trouver et moins les évidences auxquelles il nous a si longtemps été demandé d’adhérer s’imposeront à notre esprit.
Ainsi va la recherche ! Vers un savoir de plus en plus complexe mais sans surprise car, ce savoir doublé d’une compréhension dévastatrice nous renverra fatalement à ce que nous sommes aussi - d’aucuns ajouteront -, et surtout : à cette nature en trompe l’oeil, dissimulatrice, accapareuse et rétentrice qu’est la nôtre.
Porteuse de tous les dangers, cette recherche expansionniste toujours plus performante et exigeante : le danger de nous laisser sans évidences et sans certitudes.
Du grain à moudre pour la réflexion et l'écriture... ce danger !
Nul doute !

Tableau de bord

  • Premier article le 29/01/2013
  • Modérateur depuis le 13/04/2013
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Derniers commentaires




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    Serge ULESKI Serge ULESKI 7 janvier 2012 20:39

    Meyssan ? Vous avez dit Meyssan ?

    En ce qui concerne ces individus qui ont tout de ce qu’on peut attendre d’un activiste prêt à servir n’importe quel régime, n’importe quel Etat selon le principe qui veut que "les ennemis de mes ennemis sont mes amis très chers " ...la lecture de ce qui peut bien être le moteur de leur action est on ne peut plus claire : la haine - haine envers tout ce qui de près ou de loin touche à l’Occident  ; et cette haine est manifestement bien plus forte que leur amour pour la liberté des peuples quels qu’ils soient et pour la vérité de leur condition ; haine qui ne leur sera d’aucun bénéfice puisque ces individus recherchent à servir en priorité non pas les Peuples mais… des régimes… régimes-monopoles de la violence, dans l’espoir que ces derniers puissent de temps à autre rendre la pareille aux Etats honnis par ces mêmes stakhanovistes de la haine et de la négation de soi…

    Un certain Thierry Meyssan personnalisant à la perfection cet activisme.

    ***

    En quoi la haine du couple USA-Israël justifie le soutien à des régimes par avance condamnés puisque ces régimes ne permettent pas à nombre d’hommes et de femmes de s’ouvrir à l’infinité de tous les possibles dans les domaines économique, artistique, scientifique et philosophique...

    Ce que permet la démocratie seule !

    La démocratie et son exercice par vous, par moi, par tous ceux qui la font vivre...

    Le cas Meyssan vaut certainement la peine d’être étudié ; français, européen, catholique, Bordelais...

    Finit-on fatalement par mordre la main qui vous a nourri et qui vous a permis de vous tenir debout ?

    Ceux qui sont nés dans ce mode d’organisation de l’existence qu’est la démocratie seront-ils les derniers à le défendre ?

    Ou bien, y a-t-il chez eux le désir de jouir seuls de ce bien ?

    Par conséquent, y aurait-il chez ceux qui, dans les démocraties, soutiennent des régimes à la légitimité douteuse des autocrates - voire... des despotes - par procuration ?

    Ou plus simplement, des êtres en prise avec... la haine de soi, abîme de contradictions, d’incohérences et de destruction ?

    Car... tout comme nous tous, Meyssan pourrait tout aussi bien s’opposer à la politique du couple USA-Israël sans nécessairement soutenir des régimes dont la légitimité est vacillante.

    Meyssan n’a plus été invité sur une chaîne française depuis 2002. En revanche, au cours de l’année 2007, il s’est exprimé sur les chaînes de télévision d’autres pays : Addounia TV (Syrie), Alalam (Iran), Al-Jazeera (Qatar), Al-Manar (Liban), Dubai TV (Emirats), GTRK (Kazakhstan), Irib (Iran), KTR (Kirghizistan), News TV (Liban), NBN (Liban), PMR (Transnistrie), Russia Today (Russie), Sahar (Iran), SSC (Syrie), Telesur (Amérique latine), TSV (Transnistrie), Venezolana de TV (Venezuela).

    Pas une seule démocratie…
     
    Mais alors... que doit-on penser de ces individus qui se mettent sous le couvert, la protection et la dépendance financière d’Etats au mieux autoritaires, au pire... criminels ; des Etats qui tirent leur population au ball-trap comme s’il s’agissait d’assiettes en terre cuite ou de lapins...

    Allez donc comprendre des individus qui semblent ignorer le fait que personne aujourd’hui, et moins encore quiconque est de culture européenne (liberté et responsabilité individuelles) n’est tenu de choisir entre les USA-Israël et l’Iran-Hezbollah...

    Car personne ne nous demandera de choisir....

     Entre...
    .
     Une puissance, les Etats-Unis, empire orphelin privé de civilisation (dans le sens de... entente spirituelle unanime entre les hommes : Elie Faure), gigantesque outil de destruction seulement capable aujourd’hui d’exporter le chaos : chaos financier en Europe ; chaos guerrier partout ailleurs...

    Et...

    On ne sait quel radicalisme venu de pays dits anti-nouvel ordre mondial qui cache mal des Etats, la corruption et la manipulation aidant, au mieux... autoritaires, au pire, criminels, selon le principe qui veut que "les ennemis de ceux qui devraient être mes ennemis sont mes amis les plus chers" au nom d’une realpolitik qui est à la justice ce que la raison d’état est à la défense de l’intérêt général ...le tout sur le dos de la liberté des peuples et de la vérité de leur condition....

    Et ce... selon un autre principe : mieux vaut résister seul que mal accompagné.

    L’Europe et son histoire (de l’Egypte antique à nos jours) demeurant le premier horizon d’une réflexion d’ouverture vigilante et raisonnée sur le monde.



  • 4 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 27 avril 2011 11:18

    L’aigle a déployé ses ailes.


    Alors que les salariés ne connaissent de l’entreprise que le poste qu’ils occupent, l’aigle, lui, survole toutes les pistes de son territoire et explore toutes les voies qui mènent à eux. Le survol de cet aigle c’est celui du maître des lieux qui fait sa tournée comme un propriétaire fait le tour de ses terres, serrant des mains, opinant du bonnet ici et là. Jamais il ne se pose. Toujours en mouvement à l’écoute des rumeurs, à la recherche du moindre malaise et des conflits larvés.


    Quand on surprend son vol, les rares fois où l’on pense à lever la tête, il annonce une nouvelle distribution des cartes qui célébrera bientôt l’apothéose de la vie accoucheuse de stratégies aussi surprenantes qu’inattendues, en un tour de main, jusqu’à rendre méconnaissables et les lieux et le travail qui y est effectué.


    Son survol peut être celui d’un prédateur cherchant sa nouvelle proie l’appétit au ventre, affamé : les rêveurs, les tire au flanc, les faux culs, les fumistes, ceux qui ne doivent rien à eux-mêmes et tout à ceux qui les ont nommés.


    Pour tous ceux-là, ce sera grandeur et décadence ou bien, grandeur et déchéance. C’est selon et… c’est du pareil au même.


    Autre objet de son attention : le peuple silencieux. Toujours en retard sur la vie de leur travail, ces travailleurs candides, puisqu’ils n’en contrôlent ni les bouleversements ni les adaptations. Un jour, on leur signifiera leur congé définitif et en attendant, on se contentera de les conduire inévitablement et à leur insu, à leur perte et ce, bien avant que l’heure de la retraite ne sonne. Sur eux, la pression s’est accrue : horaires chaotiques, contraintes de résultats, menaces de licenciement. Outils de discipline au travail par excellence cette pression ! On leur parlera de flexibilité, d’autonomie et de polyvalence - comprenez : isolement et solitude - sans oublier de mentionner des changements permanents qui nécessiteront de nouveaux comportements.


    Cet aigle, c’est aussi un sourcier céleste fouillant du regard, scrutant, maladif, le sol, le sous-sol et ses plus petits interstices, en annonciateur de déluges qui viendront balayer tous les pauvres bougres en deçà de leurs attentes et au-delà de leurs craintes ; et les autres aussi : ceux qui se croyaient à l’abri.


    Nouvelles exigences des temps modernes : le retour à l’instabilité généralisée et permanente du monde. Il est tous les glissements de terrain purificateurs cet aigle blutoir qui tamise cette poudre farineuse que sont ses effectifs.


    Meurtre productif, il appelle cette instabilité ! Si vous l’interrogez dans l’intimité de sa retraite, c’est à voix basse qu’il vous fera cette confession, le regard inquiet de peur qu’on ne l’entende alors qu’il ne souhaite être entendu de personne.


    Il poursuit partout et sans relâche la liquidation de l’ancien monde, celui d’hier matin et prépare déjà celle de demain. Cet ancien monde, c’est le monde tel qu’il ne lui convient pas mais qui pourrait tout aussi bien lui convenir si d’aventure ce monde devait servir ses intérêts.


    Le territoire de cet aigle a pour le nom : DRH ! Et son occupation : gestion des ressources humaines, ou GRH.


    Serge ULESKI extrait du titre " La consolation"



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 13 octobre 2010 12:22

    Qui trouvera quoi que ce soit à sauver chez Pujadas le journaliste et son journal de 20H ? Qui donc ?

    Aussi...

    Que vive la démocratie avec Mélanchon et quelques autres !



  • 8 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 21 novembre 2009 12:54

    Hubert Védrine est en Europe, le seul à pouvoir penser le monde sans le parapluie de l’hégémonie culturelle, économique et militaire américaine et ce, sans frémir et sans trembler, droit dans ses bottes.

    L’exclusion de cet homme de toute action politique - depuis trop longtemps maintenant -, est un réel gâchis pour la France et pour l’Europe dans la conduite de ses relations avec le monde extérieur ; son intelligence, sa lucidité et le courage de ses analyses nous manqueront cruellement à l’heure où nous semblons en avoir le plus besoin.



  • 9 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 21 novembre 2009 12:48

    Si Monsieur Dechavanne ne sait plus dans quel pays il vit, qu’il sache que nous avons, nous aussi, été nombreux à nous demander, longtemps, en regardant les programmes de ce même Monsieur, dans quel pays nous vivions pour mériter une telle télévision.

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