Gaspard Koenig, le libéral qui n’ose pas désigner l’ennemi marxiste
Gaspard Koenig (photo) est un jeune libéral qui monte, on le voit de plus en plus dans les médias du système (donc marxistes) : Radio Classique, où il a tenu une chronique, le Figaro, Atlantico, Arte, etc. Pourtant il ne désigne jamais le marxisme, le socialisme ou le communisme comme l’ennemi. Ceci explique peut-être cela me direz-vous...
Il faut l’écouter pour le croire : pendant tout un débat où il se fera pourtant gravement diffamer (traité notamment de négationniste par Corine Lepage, ancien ministre et donc socialiste jusqu’au trognon), Gaspard Koenig qui se prétend libéral trouvera le moyen de ne pas prononcer une seule fois les mots marxisme, socialisme ou communisme.
Il ne fait que tourner autour du pot, ménageant la chèvre et le chou, sans jamais expliquer que cette inflation de lois limitant la liberté d’expression reflètent surtout l’étatisme (mot qu’il ne prononcera pas non plus) galopant de notre société néo-communiste. La loi Gayssot, qui porte le nom d’un communiste, est combattue par Gaspard Koenig mais sans désigner le communisme, ni le socialisme qui fut son allié sur ce coup-là (comme sur tant d’autres depuis les années 30).
Il suffisait pourtant de citer la citation de François Hollande pour clore définitivement le débat : "Il y a un héritage communiste, et je veux lui rendre hommage." C’est une apologie de crime contre l’humanité, encore pire qu’une apologie de terrorisme. Pourtant le chef de l’Etat n’a jamais été traîné devant les tribunaux, alors qu’il n’était pas encore Président et qu’il ne bénéficiait donc pas de l’immunité de président.
C’est donc la preuve que le système judiciaire et législative est le produit d’un rapport de forces, gagné par les communistes dans notre pays et dans bien d’autres, depuis le Tribunal de Nuremberg qui a permis aux tortionnaires communistes de siéger aux côtés des Américains pour juger les nazis, alors qu’il eut fallu juger les deux totalitarismes en même temps. Ainsi l’apologie ou la défense du communisme et de ses terribles conséquences, 100 millions de morts notamment, ne posent aucun problème à ceux qui voient dans "Je suis Charlie Coulibaly" une apologie de terrorisme.
Mais comme Gaspard Koenig ne désigne pas l’ennemi, il passe totalement à côté de son sujet, et il cache son manque de courage ou de discernement derrière un verbiage du diplômé de grandes écoles (publiques) qu’il est.
Je vous rassure (ou pas), la plupart des prétendus libéraux en France n’osent pas plus que Gaspard Koenig désigner le véritable ennemi du pays, des libertés fondamentales et des Français, à savoir le marxisme. Ce sont les mêmes qui n’osent pas prendre la défense d’un professeur libéral d’Université (il n’y en a pourtant pas tant que ça) qui se fait interner psychiatriquement de force. Ce sont les mêmes qui n’osent pas prendre la défense de l’auteur de ces lignes qui est menacé de mort depuis 2 ans par les marxistes de Riposte laïque. C’est cohérent, au moins.
La leçon c’est que pour passer dans les médias marxistes, même quand vous êtes libéral, vous devez tout faire pour ne jamais prononcer les mots marxisme, socialisme ou communisme... sauf pour en dire du bien. Gaspard Koenig est un champion à ce jeu-là, et c’est pour cela qu’on le verra de plus en plus dans nos médias comme alibi prétendument libéral.
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