Les gens qui peuvent continuer à vivre grâce à un organe transplanté apprécieront la vision de ces théoriciens du bistrot sur ce sujet. Ces écrivains d’"ici du dentier et de là bas dans ma bad" devraient se mettre à autre chose que les jus de fruit, en tout cas ce qui en ressort de leurs propos, n’est ni pire ni meilleur que ce que l’on entend dans n’importe quelle conférence de bar, alcool ou non, les idées sont les mêmes, les intervenants changent, et ce n’est pas Marcel, grand théoricien de fin de soirée et accessoirement mon pote constamment aviné qui me contredira.
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Chaque théoricien de bistrot devrait écrire un livre et l’étiqueter du label "dissident", ça devrait aider à financer quelques tournées générales.
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A Marseille comme en Bretagne, ça disside sec dans les tavernes.
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Santé !
N’oublie pas l’ayahuasca, El Lobo, seule l’herbe des chamanes pourra rendre le guerrier en colère plus souple et plus coulant, dans ses idées macabres d’égorger du pillard et seul son serpent pourpre cosmique pourra le guider sur le chemin de la liberté et de la sérénité intérieure. Pour LLP, seule une transplantation de cerveau, pourra le rendre libre, pour lui, rien à faire, il est trop tard, sa haine l’a aveuglé, ses frustrations l’ont perdu et la vérité pour lui s’est troublée, dérobée à ses yeux égarés trop longtemps dans l’ombre de la confusion, les méandres de la perversité ont ravi son coeur et l’ont jeté dans un trou pas très glorieux, glauque et mal odorant, un recoin du boulevard Lebrun. Oui, pour LLP point de salut et de retour possible. A moins qu’un bon coup de maillet sur le crâne pourrait éventuellement le... Ou alors une tenaille pour lui ôter le balais qu’il.... Je m’égare, je m’égare....
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Paix et sérénité sur toi El Lobo