Libération pour Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier
François Fillon annonce la libération des deux otages français, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, retenus en otage depuis 18 mois en Afghanistan : « Nos deux otages sont en bonne santé et ils seront dans quelques heures sur le sol français ».
Tags : Armée Journalisme Guerre Afghanistan
14 réactions à cet article
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Je ne savais pas que l’on pouvait "libérer" un journaliste tué.
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Et je ne comprends pas votre aveuglement : croyez-vous que les reporters de guerre vont sur le terrain au risque de leur vie pour asseoir une propagande ? Ils ne sont, comme vous et moi, que manipulés.
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Et souhaiter leur mort c’est déjà sombrer dans le terrorisme... -
Tant mieux pour eux, mais très sincèrement je m’en fous !
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Pareil pour moi.On fait moins cas des japonais qui se font irradier par areva.
Journaleux complices du système pourri,rien à carrer.-
Moi aussi je m’en tape, on nous harcèle avec cette information uniquement parce qu’ils font partie de la caste journalistique !
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Ca aurait été BHL, Finkelkraut, Minc, Giesbert, Ruquier tout ça, bon on s’en fouterait ; là perso je ne les connais pas, donc difficile de critiquer...
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Effectivement, il y a là un abus d’utilisation de la télévision dans la caste télé au poste de commande.
Qu’ils fassent la fête entre eux, discrètement, un peu de pudeur !
Et on en oublie les 63 soldats morts en Afghanistan. Ils n’auraient pas une petite pensée pour eux par hasard ??
On se la joue important et indispensable sur les plateaux de la maison ronde.
C’est une réjouissance mimétique télévisuelle en laquelle le téléspectateur n’est pas concerné mais on la lui fourgue quand même.
Deux gars sortis d’une galère, très bien, mais combien en France n’en sortent pas ? Combien sont bafoués, exclus ?
La télé a les yeux rivés sur le nombril de la télé : un monde à part.
Qu’il redescende sur terre le staff de la télé et qu’il s’attache à proposer des émissions édifiantes plutôt qu’une pollution mentale américaine et des publicités où les enfants sont impliqués.-
Ces journalistes vont se balader tranquillement en Afghanistan sans trop se soucier
Oui, ils font la propagande médiatique, car si on regarde les choses d’un autres angles, alors on a une vision bien différente
http://www.dailymotion.com/video/xf0kmd_la-video-qui-embarrasse-washington_news
Reportage d’un journaliste norvégien Paul Refsdal (qui n’ a pas été enlever lui) , au milieu de talibans dans les montagnes Afghane durant plusieurs semaines et dans les combats
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soulmanfred 29 juin 2011 22:16Effectivement nilasse on peut tout imaginer
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Une chose peut être sure, c’est que cette libération d’otages, comme bcp d’autres avant, n’arrive pas maintenant par hasard, il faut toujours couvrir l’actualité, cacher d’autres choses, et dieu sait s’ils yen a des dossiers à cacher.
Foutaise !!!
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soulmanfred 29 juin 2011 23:32J’étais tellement persuadé qu’il s’agissait encore d’une manifestation de soutien que j’ai même pas vu qu’ils avaient été libérés
Maintenant je suppose que Sarko va "se faire mousser" comme il faut pour cette libération qui tombe pic en début de campagne présidentielle ... J’aime bien aussi Juppé qui précise qu’il n’y a pas eu de rançon versée , comme c’est étrange , après presque 600 jours de captivité les méchants talibans du "11 septembre 2001" décident de les libérer comme ça d’un coup , sans doute à cause de "l’élimination" de Ben Laden , ils étaient trop triste et ont laissé tomber , déprimés qu’ils étaient-
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De la fumée pour les abeilles.
Cherche à qui la prise d’otages profite. Procédons par ordre !
D’abord aux médias, ils ont quelque chose à dire ou à écrire et ainsi peuvent se justifier de leur virtuel et artificiel métier, chasse au sensationnel aussitôt emporté par le vent, un scoop chasse l’autre.
Ensuite aux politiques à qui l’on attribuera la libération de ces otages, même si c’est au prix de la contribution fiscale du Français de base. Politiques et médias évidemment de connivence pour enfumer les butineurs de scoop.
Et puis aux ravisseurs eux-mêmes qui ont bien compris les enjeux, côté occidental, où la vie semble avoir cent fois plus de prix que chez eux.
Il n’y a guère que le quidam de base, consommateur d’informations déformations qui aura tout perdu dans le grand brassage de ces agitations stériles. On l’aura occupé suffisamment longtemps pour qu’il oublie le chômage et sa force vive méprisée.
Ah ! Le cocufiage est vachement bien établi ! Notre démocratie s’est inscrite dans le libéralisme économique et le libéralisme des mœurs. Que le meilleur gagne ! Enfin, je veux dire : celui qui sait le mieux tirer parti du dysfonctionnement, du besoin qu’il a créé artificiellement chez l’autre.
Le syndrome colonial ne nous a pas lâchés. Indignons-nous, nous, les colonisés.
Deux gars libérés ? Mais ils l’ont toujours été. Les Talibans sont des croyants obstinés de leur politique religieuse aléatoire, mais ils ne sont pas complètement idiots jusqu’à détruire des objets de négociation.
S’enrichir, c’est faire perdre du temps aux plus pauvres et en faire gagner aux plus riches. (Vieux proverbe chinois que je viens d’inventer pour la circonstance).
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Maintenant que les amer loques ont indiqué qu’ils se retiraient de l’Afghanistan, les journalistes recrutés par la CIA et dont l’enlèvement servait la cause de la guerre peuvent désormais rentrer à la maison où ils trouveront récompenses et congratulations. Toutes les guerres de prédation sont précédées et accompagnées de mensonges tendant à les justifier devant l’opinion publique.
Pour entretenir dans la durée une guerre coûteuse en homme et en finance, il faut jouer sur la corde sensible de l’émotion citoyenne. Sachant que les journalistes mentent tous les jours aux français qui écoutent ou lisent attentivement les médias monolithes, les deux faisans en question ont été choisis pour jouer le rôle des victimes innocentes qui cherchaient simplement à remplir leur travail d’information. Maintenant que les chosent changent et que l’armée française a décidé de quitter le théâtre des opérations militaires, la mission des pseudos otages a pris fin. Ils peuvent désormais rentrer chez eux et réciter à qui mieux mieux les souffrances endurées tout en justifiant l’action des forces françaises au bon public bien gratiné du petit écran.Les méchants talibans ont bien pris soins des otages dans les grottes de Tora Bora et aucun service expert de renseignement occidental n’a pu localiser les preneurs d’otage. La rançon de la gloire sera au rendez-vous n’en doutons pas un instant.La fausse rançon a été partagée entre les mafieux qui ont participé au spectacle larmoyant qui a été infligé massivement et lourdement aux neurones étourdis des petites gens bien de chez nous.
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