À l’instar de M. Gorbatchev en URSS, le milliardaire Donald Trump en ayant hâté l’effondrement de l’empire américain lors de son premier mandat, a agit comme un allié objectif des intérêts des globalistes (de la « City ») dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
Remarquons que Donald Trump, comme son ex et peut-être bientôt homologue Russe, Vladimir Poutine, est vanté et glorifié par une dissidence peut-être un peu trop naïve et peut-être aussi un peu trop « sous influence ».
À propos de Poutine, ce nouveau « super-héros », car (soi-disant) « anti-mondialistes », est, à la base, un pur produit du système soviétique.
Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur, le pantin et alcoolique Boris Eltsine, à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir.
C’est le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, que quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. (des oligarques auxquels il fera mine de « tirer les oreilles » dans une vidéo digne d’hollywood et du « Parain », reprise par tous les médias de masse du monde entier).
De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis cette date, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».
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