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Les commentaires de Feathers McGraw



  • 3 votes
    Feathers McGraw dies irae 6 février 2014 01:06

    Pareil que Gaspard. Moi je l’ai bien écouté un soir chez Taddeï le Guaino, c’était à propos du mariage pour tous d’ailleurs, l’année dernière, et je l’avais trouvé sensé et même un peu attachant. Mais de très mauvaise foi aussi concernant la présidence de Sarko. Il a un côté vieille France qui me plaît bien. 



  • 7 votes
    Feathers McGraw dies irae 4 février 2014 15:40

    Il sera défendu par la communauté. Comme Polanski. "Il y a prescription... c’est un génie... il faut tourner la page... les grands cinéastes qu’ils sont... ce qu’ils ont apporté au cinéma... ils ont souffert de leur passé en tant que juif... ". Cette même communauté incapable de pardonner à Céline, mort et enterré depuis 51 ans auteur d’un pamphlet antisémite paru il y a plus de 70 ans, et toujours considéré par la communauté et même tous les gens en général, comme "un génie mais une ordure". 

    Pour les uns (Polanski, Allen, il y a prescription, DSK : troussage de bonne) et pour les autres qui ont blessé avec la plume, à l’aide des mots et du style, mais n’ont physiquement atteint aucune dignité, ni fait aucun mal, pour ceux-là : ni oubli ni pardon


  • 4 votes
    Feathers McGraw dies irae 2 février 2014 05:17

    Sa voix c’est une trouée de ciel bleu et de lumière légèrement dorée dans un ciel orageux de fin d’après-midi. Eh oui, moi aussi j’ai craqué. 



  • 3 votes
    Feathers McGraw dies irae 2 février 2014 05:10

    Un ? vent ? nou ? veau ? la la la li la la ?? : http://www.youtube.com/watch?v=TE1xcPVhHp0 

    C’est le Sanhédrin qui va grincer des dents avec une chanson pareille ! smiley



  • 8 votes
    Feathers McGraw dies irae 1er février 2014 18:36

    Domenach a la réaction du fidèle qui refuse de croire que le prêtre de sa paroisse s’est livré à des attouchements sur le zizi de son garçon. Sauf que pour le coup, c’est le franc-maçon de la paroisse socialiste qui se livre à des expériences psycho-sexuelles sur des petits êtres innocents et parfaitement malléables, obéissants et impressionnables afin d’en faire des adultes névrosés qui enrichiront les futures marchés du médicament et celui du LGBT. 

    Je me souviens d’une époque où on nous bassinait avec les sectes, sur leur emprise sur les gens, y compris les enfants. Tout le monde hurlerait au scandale si une secte quelconque instrumentalisait les enfants avec ce genre de programme, mais là, tout le monde trouve ça normal. Protester contre l’ABCD de l’égalité relève de l’obscurantisme, interdire un spectacle comique relève du progrès. Les fissures de ce système mensonger, sectaire, pervers et ô combien paradoxal, progressent encore. C’est bien, que cela continue. La réaction de Domenach est affligeante : je ne l’ai jamais vu argumenter à l’aide de tant de sophismes ! Comme : "Pourquoi une fille devrait être une ménagère et l’homme le patron". C’est, dit-il, ce qu’il faut enseigner aux enfants. Se rend-il compte qu’il utilise un vieux stéréotype dépassé qui n’a plus lieu d’être aujourd’hui ? Que dans une société où les femmes enculent leurs mecs et considèrent le stress du travail comme une émancipation et la douceur du foyer comme un bagne, le cliché de la ménagère et du mari au travail, ça n’existe plus ? Que ce qu’il faut plutôt leur dire à ces gosses, c’est qu’on a imposé aux femmes l’idée que si elles n’allaient pas travailler elles ne s’émanciperaient jamais et ne seraient jamais des considérées comme des êtres humains normaux - c’est-à-dire des esclaves consuméristes au même titre que les hommes ? Que ce qui disparaît aujourd’hui, parce que humiliée, méprisée, ridiculisée, pas progressiste ni capitaliste,c’est l’image et l’honneur de la mère au foyer ? Lutter contre les discriminations sexistes, c’est aussi lutter pour la réhabilitation de la mère au foyer ! Ou le père, pourquoi pas ? Si la femme travaille et que l’homme reste au foyer, où est le problème ? Et pourquoi devrait-il y’avoir problème ? Qui a insinué que rester à la maison pendant que le conjoint est au travail était humiliant pour quiconque et socialement dévalorisant ? Qui ?

    Comme une certaine communauté a besoin de l’antisémitisme pour exister et exercer une domination, la communauté féministe (sexiste) a besoin du stéréotype machiste pour légitimer la grande castration organisée pour tous, à commencer par les gosses,l’avenir. L’avenir du capitalisme. 

    Ils ont de moins en moins d’arguments valables, ça s’effrite et le bruit des petites pierres qui tombent les affole. 



  • 1 vote
    Feathers McGraw dies irae 1er février 2014 03:04

    C’est l’éternel combat, trois mots : lutte des classes. La classe bourgeoise libérale libertaire impose ses modèles de société aux classes prolétaires. Elle expérimente au gré de ses fantaisies. Elle le fait au moyen des deux outils qu’elle a à chaque pogne : le politique et le culturel, qu’elle utilise pour imposer de nouvelles idéologies toujours émancipatrices bien sûr, présentées comme subversives, permissives (donc branchées, rebelles, traditions renversées : ça parle directement à la jeunesse influençable - de gauche sans culture et qui a besoin de se révolter contre le système) progressistes, modernes, et avec ses nouveaux codes, nouveaux signes (puisque marché toujours en extension) auxquels s’identifie la masse qui trouve vraiment cool la mondanité bourgeoise et son mode de vie qui est quand même autre chose que celui des classes laborieuses, que l’on ne veut surtout pas voir !... On est socialiste ou on ne l’est pas hein. 

    Les mondains, dont la réalité de classe n’a rien à voir avec la réalité de classe des gens ordinaires, imposent leurs modèles à ceux-ci, dont le mode de vie n’a évidemment rien à voir. Comme le disait Marx, le plus grand ennemi du peuple, ce n’est pas la noblesse, c’est la bourgeoisie. Mais que fait la classe dominée ? Résiste-t-elle ? Prend-elle conscience de sa condition, et comment peut-elle se révolter, elle que l’on a déracinée, que l’on exhorte à faire table rase du passé, elle que la société capitaliste à déshumanisée ? Non, elle applaudit la classe dominante et la soutient. Elle aime Pierre Bergé. Elle aime Le Petit Journal. Le prolétaire aime son maître et pire, est prêt à tout pour lui ressembler. 

    La bourgeoisie triomphe toujours faut croire. 



  • 92 votes
    Feathers McGraw dies irae 31 janvier 2014 17:58
    Vous entendez le contenu néo-nazi de la chanson finale ? quelle haine n’est-ce pas ? qu’elle est violente cette chanson de la Bête Immonde !! smiley

    Quelle belle vidéo ! c’est du baume pour le cœur. Merci Dieudo. Merci Manu. Ha ha ! Les autres, Bedos, Guillon, Fourest & co, doivent vraiment avoir mal au cul. 


  • 23 votes
    Feathers McGraw dies irae 28 janvier 2014 17:20

    Mon rêve à moi, pour punir ce genre d’individu, serait de le mettre dans une cellule et de lui donner pour toute nourriture des dollars à bouffer. Avec de l’eau bien sûr. Pour que ça puisse passer mieux. Qu’il mange ses billets, qu’il brode des couvertures avec pour se chauffer la nuit, et qu’il se torche le cul avec quand il chiera des gros cailloux à plusieurs milliers de dollars, et qu’il boive de l’eau. Le strict minimum. Que le type dans cet ascétisme forcé, finisse par être accablé de toutes sortes de visions fiévreuses et angoissantes, qu’il se mette à entrevoir l’enfer. Ces sous-êtres, il faut les mettre dans la situation d’un gosse affamé, qui crève de ne rien avoir dans l’estomac, qui crève la bouche ouverte, sa pauvre petite tête envahie de mouches. Il faut les mettre dans la situation des crève-la-faim, de précarité, de mal-bouffe, d’insécurité, de mendicité, il faut tout leur enlever, leur donner quelques gourdes d’eau et les balancer, eux et leur grosses penses, depuis un hélico dans le désert, et les voir errer jusqu’à ce qu’ils demandent grâce à un Dieu sourd et aveugle ! 



  • 1 vote
    Feathers McGraw dies irae 28 janvier 2014 01:33

    Pour toi Maïtena. (Même si "clerc" est un trop grand mot pour toi, tu pourras toujours te reconnaître dans le texte qui suit)

    Pour toi aussi Frédéric, que j’apprécie beaucoup, contrairement à Maïtena dont je me moque éperdument. Sauf de ses yeux faussement candides et de sa grande bouche merveilleuse. 

    "Et voici ce clerc au pouvoir. Le mensonge du monde va devenir vérité politique, vertu civique. Ce phénomène est d’une portée incalculable. Ce qui était censé être l’opposition au pouvoir va devenir l’alibi même du pouvoir. C’est le principe du pourrissement de l’histoire [...] N’est-il pas trop tard ? Le clerc n’a-t-il pas définitivement trahi ? [...] n’est-il pas définitivement intégré dans le système ? Dans le mondain, dans la social-démocratie libertaire ?


    Mais que le clerc prenne garde. La vocation, et le fondement même de son statut, est la connaissance. S’il renonce à sa vocation, il remet en cause son statut. S’il ne veut plus de son rôle, ce rôle sera supprimé. [...] Mais c’est le peuple qui aura la force et le pouvoir de démasquer radicalement cette imposture. Et c’est lui qui apportera la définitive sanction. Par le rire, l’énorme éclat de rire qui fera s’écrouler de la comédie humaine qu’est devenu le clerc. Une irrésistible hilarité gagnera tout auditeur de ce messager du néant. Le clerc sera conservé, embaumé en son discours, comme l’inénarrable témoignage de la vanité bourgeoise. 

    Clercs de peu de foi, il serait temps de vous reconvertir. Si vous tenez encore tant soi peu à votre vocation, si vous prétendez être encore des intellectuels de gauche, soyez des interlocuteurs valables. Ne snobez pas notre interrogation. Ne censurez pas cette conceptualisation du mondain. 

    Vous feriez votre propre procès. Ce serait la preuve que votre suffisance et infatuation ont définitivement submergé votre raison d’être, la volonté de comprendre alliée à la sagesse de l’autocritique. Et que vous avez définitivement choisi la vanité de classe et le narcissisme de caste."

    Michel Clouscard


  • 34 votes
    Feathers McGraw dies irae 24 janvier 2014 22:01

    Quoi que l’on pense de cette manifestation, les médias l’ont déjà cataloguée : http://lci.tf1.fr/politique/des-milliers-de-personnes-dans-paris-pour-un-jour-de-colere-contre-8353377.html


    Apparemment, la seule colère qui soit légitime dans ce pays c’est celle qui vient de Gauche. Les autres colères sont illégitimes, extrémistes, dangereuses. Il va falloir renforcer la lutte contre ce qui ravage notre pays, à savoir non pas l’UE, mais le nationalisme exacerbé et le catholicisme fanatique, qui ruinent et démoralisent notre pays ! Il en va de la République ! et c’est le devoir de tout homme de Gauche ! 


  • 2 votes
    Feathers McGraw dies irae 24 janvier 2014 15:03

    Dans le genre hyper impressionnant vous avez aussi cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=rvDqoxMUroA



  • 40 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 18:47

    Entre majeurs consentants... la majorité sexuelle est à 15 ans, encore quelques années de progrès et de modernisation et on la fera passer à 12 ans ; puis ensuite on parlera de relations entre adultes et enfants consentants. C’est pas beau le progrès ? Allez je le sors : on ne vit plus au moyen-âge !! on est en 2014 !! merde !! quand même !! 



  • 2 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 17:22

    La prochaine représentante autrichienne au concours de l’Eurovision

    http://medias-presse.info/de-la-theorie-du-genre-a-la-femme-a-barbe-conchita-wurst-a-leurovision/5565

    Dites-moi que c’est une blague ! smiley



  • 9 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 12:49

    Je crains qu’elles ne préfèrent le godemichet siliconé rose fluo au pénis et tout ce qui va avec. Le remède c’est une bonne gifle à la Gabin. 



  • 4 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 12:01

    Oui ! Et puis comme on remet des bourses de 1000 euros aux filles pour les encourager à se lancer dans les filières scientifiques où il y a trop de garçons - ce qui constitue une discrimination, car il est interdit de dire que les hommes ont plus de capacités que les femmes dans le domaine scientifique - il faudra que l’on remette alors une bourse équivalente aux garçons afin de les encourager à se lancer dans les filières littéraires où les filles sont plus nombreuses et semblent être plus compétentes que les garçons. Au nom de la lutte contre toutes les discriminations. 



  • 4 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 11:51
    Ça me fait penser à un passage du livre d’Arnauld de Tocquesaint : La face cachée de l’école.

    "Aux futurs papa-poule pomponnés, la société féministe à même accordé en 2002 un "
    congé de paternité" de deux semaines pour qu’ils puissent pouponner, surtout lors de la "journée de la femme". Ils ont intérêt à adopter profil bas maintenant que les femmes n’ont plus besoin d’eux pour faire des enfants et qu’il leur suffit de se faire inséminer avec du sperme congelé acheté sur internet. [...] Mais attention, lors du divorce, plus question de jouer à la poupée : la femme obtiendra, de facto, la garde des enfants, la pension et le "droit de secours" qui vont avec. [...]" 


  • 13 votes
    Feathers McGraw dies irae 23 janvier 2014 11:29

    Énorme Zemmour comme d’habitude. 

    Ah ces socialistes, les démolisseurs de l’extrême ! 

    On pensait d’ordinaire que le socialisme était une sorte de libéralisme augmenté d’une morale. L’État allait prendre votre vie économique en charge et vous libérerait de la crainte de la pauvreté, du chômage, etc., mais il n’aurait nul besoin de s’immiscer dans votre vie intellectuelle privée. Maintenant la preuve a été faite que ces vues étaient fausses. George Orwell

    Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle ; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine ; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme ; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières ; c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je ! son maître, son précepteur, son pédagogue ; que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir ; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine. À ce point que si en définitive j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude... 
    Alexis de Tocqueville


  • vote
    Feathers McGraw dies irae 20 janvier 2014 16:26

    "... dans l’ère..."



  • 9 votes
    Feathers McGraw dies irae 20 janvier 2014 15:45

    Nous entrons dans l’air de "la guerre de tous contre tous" au nom de "la lutte contre toutes les discriminations". Telle est la logique du libéralisme culturel. 


    Je suis pour la liberté d’expression. Mais après l’affaire Dieudonné, je ne peux que te dire : bien fait pour ta gueule, Nicolas. Eh oui, toi aussi tu heurtes des sensibilités, et l’individu-roi que la société libérale a fabriqué, c’est lui qui fait la loi aujourd’hui. Nous devons remercier les hommes de Gauche de ton acabit, et de tous les individus-rois de ce monde de participer à l’anéantissement de toute convivialité chez les être humains. 

    La sens-tu la merguez ? 


  • 5 votes
    Feathers McGraw dies irae 20 janvier 2014 13:21
    Comme le fait remarquer Michéa dans son dernier livre Les Mystères de la Gauche, à propos de la liberté de pensée et d’expression, les intellectuels de Gauche contemporains ont de plus en plus tendance à la considérer comme un délit punissable par la loi. Il parle aussi des lecteurs candides du Monde et de Libé, et du jeune public moutonnier du Grand Journal de Canal+ incapables de distinguer les liens qui oppriment des liens qui libèrent. C’est à lire, je vous assure ! ce livre est une énorme quenelle dans le cul de la Gauche libérale et du libéralisme. Jouissif.