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Les commentaires de jjwaDal



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    jjwaDal 24 juillet 2023 19:33

    @Pyrathome
    On est face à un spectacle de marionnettes avec la lumière dans les yeux. On finit par distinguer les ficelles et donc on soupçonne qu’il se passe des choses dans les coulisses sans savoir bien sûr qui est derrière. Car enfin l’essentiel de la masse de la matière vient du vide entre les particules, les particules elles-mêmes étant sans masse intrinsèque qui lui est conférée par un champ de force issu... du vide.
    L’essentiel de la masse ne serait pas constitué de matière ordinaire mais de matière sombre sans qu’on sache s’il faut invoquer des particules inconnues ou encore une propriété du vide et l’essentiel du contenu énergétique de l’univers (E=mc2 toujours) ne viendra pas de sa masse mais d’une forme d’énergie qu’on voit aussi venir du vide.
    Notre univers serait donc piloté depuis le vide (celui de la science, pas celui des philosophes ou des religions) pour l’essentiel et l’observation du vide pose problème vous vous en doutez. On voit ce qui sort du chapeau sans pouvoir regarder dedans.
    La "grande unification" n’expliquerait pas grand chose sinon comment on peut réconcilier la théorie de la relativité générale (jamais prise en défaut mais clairement fausse pour expliquer le début de l’univers) et la théorie quantique (qui seule pourrait décrire un objet quantique qui fut notre univers à son début). Mais la règle du jeu serait inopérante à expliquer ce que sont les acteurs du jeu.
    La physique et la cosmologie sont dans des impasses depuis des décennies, raison pour laquelle la clarification sur une éventuelle présence étrangère chez nous intéresse de nombreux scientifiques.
    Car si elle est vrai, des supposés fondamentaux comme l’indépassabilité de la vitesse de la lumière et la "quarantaine cosmique" sont des illusions et notre physique a complètement à être revue. Cela donnerait des pistes, quand on en a bien trop pour ne pas se disperser.



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    jjwaDal 24 juillet 2023 17:51

    @JL
    C’est gênant si l’hypothèse est irréfutable car la réfutabilité d’une hypothèse est ce qui est fait son caractère admissible pour la science qui peut alors espérer prouver qu’elle est soit vraie soit fausse. Le problème est que la nature a posé des "interdits cosmiques" au sens où elle érige des barrières que la science ne pourra a priori jamais franchir, l’horizon d’un trou noir par ex. L’hypothèse de son irréfutabilité est cependant discutée à la fois sur le plan logique (voir les explications d’Aurélien Barreau par ex) et sur le plan de la théorie (j’ai lu que certaines observations dans notre univers pourraient être interprétables par l’influence d’un autre univers, en être son empreinte.
    N’ayant aucune chapelle à défendre en science, mon opinion est qu’elle fait suite à la fois au principe de banalité (les planètes sont banales, les étoiles aussi, les galaxies aussi, la vie probablement aussi) et donc l’unicité de notre univers serait une singularité.
    Concrètement s’il n’existe pas une infinité d’univers, le nôtre n’a alors pu qu’être issu d’une création ou bien nous n’avons quasiment rien compris à la physique, ce qui serait pour la dernière hypothèse à la fois gênant et en contradiction avec nos avancées grâce à elle.



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    jjwaDal 24 juillet 2023 12:56

    Juste pour souligner l’ampleur du travail restant à faire (en étant gentil) en cosmologie, on a quasiment la preuve que l’univers n’est ni homogène ni isotrope à moyenne et possiblement grande échelle (or c’est un des piliers de la théorie du "big bang"), la mesure fine du fond diffus micro-onde ("cosmologique" pour la cosmologie contemporaine) montre clairement un dipôle pouvant s’expliquer par notre présence dans une bulle locale en expansion par ex.
    On a imaginé des explications ad hoc (peu soutenues voire pas par des observations) pour expliquer un chapelet d’heureux hasards autorisant la présence de matière, la possibilité qu’elle puisse s’assembler sous forme de nuages de gaz, la possibilité qu’ils puisse fusionner, la possibilité qu’elle puisse former des galaxies, des éléments lourds et les libérer dans l’espace (sinon aucune vie), la possibilité que notre univers ait une espérance de vie longue sans imploser ou exploser à une vitesse empêchant la formation basique d’étoiles, etc...
    Ce chapelet d’évènements improbables n’est explicable que par un postulat irréfutable semble-t’il, le Multivers, ce qui est gênant.
    Moins peut-être que l’idée qu’il ne puisse exister sous la forme observée sans deux composants absolument majeurs dont on ne sait quasiment rien, énergie noire et matière sombre...
    Personne ne sait pourquoi la matière et l’antimatière ont été asymétriquement formées, quelle est l’origine de la période supposée d’inflation primordiale, la nature des entités physiques/législatives à l’origine de la matière et de l’espace, l’inventaire exhaustif du contenu "matériel" et dimensionnel de notre univers, etc...
    Le seul cadre solide semble celui d’un début il y a peu de temps de notre univers sous une forme minuscule, la nucléosynthèse primordiale et l’expansion spatiale (pas l’extension), tout le reste restant en pratique à découvrir.
    On en est à faire l’inventaire, la compréhension de tout ça prendra du temps.



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    jjwaDal 24 juillet 2023 11:56

    @JL
    Ces galaxies ont été mal interprétées suite à des suppositions raisonnables mais qui se sont avérées fausses et biaisaient l’interprétation. Oui elles sont massives et lointaines, mais cela informe simplement sur la rapidité d’apparition de ces structures qui nécessite d’ajuster nos théories sur l’univers précoce.
    Notre bulle d’Univers apparaît à un moment dans notre passé mais son géniteur n’est pas forcément "avant" lui, car on raisonne naturellement avec une flèche du temps orientée dans une seule direction dans notre monde macroscopique qui a ses lois (un chat est mort ou vivant, ici ou ailleurs, etc...) alors que notre univers a commencé avec une taille qui en faisait un objet quantique avec des lois qu’on sait être très différentes et contre intuitives.
    On peut parfaitement supposer que notre univers est né d’une matrice physique/législative pour laquelle la notion de temps, de durée, d’antériorité n’a absolument aucun sens physique, comme parler d’une température de -1000°C, quand on sait que la "température" est un phénomène émergeant quantifiant "le degré d’agitation" d’un système. A une température proche de -273°C on atteint l’immobilité absolue et c’est une limite logique car si on peut toujours (dans notre tête) être plus agités on ne peut être plus immobiles une fois qu’on l’est.
    Rien dans l’étude en cause ne permet de remettre en cause le centre de l’intervalle d’estimation de l’âge de l’univers et encore moins la notion d’un départ sous la forme d’un objet quantique de notre univers.



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    jjwaDal 17 juillet 2023 09:40

    @Le Glaude
    Ah bon ? Donc la présence française en "Nouvelle Calédonie", en Indochine, en Amérique centrale, en Afrique noire et l’"Algérie française" c’était la faute aux pirates ? La réalité est que nous nous sommes pris pour le nombril de la planète, le centre de gravité et après avoir foutu le bordel partout, il nous revient dans la gueule. Je ne dis pas que c’est "bien fait pour nous", je dis que nous payons les arriérés des factures que nos ancêtres pas si lointain ont laissé un peu partout.
    La France sera une région africaine (comme le reste de l’U.E. au demeurant) à une échéance sans doute inférieure au siècle.
    En quoi serions nous concernés ? Nous sommes tous de passage après tout et les premiers habitants de l’Angleterre avait la peau noire, alors l’histoire ne fera que se répéter.



  • 2 votes
    jjwaDal 16 juillet 2023 22:54

    @paulau
    On l’a connu bien plus myope sur ce qui se passe en Palestine sur les territoires occupés par les sionistes dans cet "Etat" dont on ne doit pas prononcer le nom.
    Laisser entrer sur le territoire des gens qui se foutent de nos valeurs et insidieusement commencent à nous imposer les leurs relève effectivement d’une forme de colonisation. On l’a fait à grande échelle dans un passé pas si lointain. Dans l’autre sens, ça pique forcément plus.



  • 2 votes
    jjwaDal 15 juillet 2023 10:13

    @LUCA
    Non. Dans le cas du Nimitz le radar militaire à bord du Princeton a clairement documenté une vitesse de 9 km/sec en basse atmosphère et des accélérations de plusieurs centaines de g, évacuant l’hypothèse d’une projection et autre hologramme. Il s’agissait bien d’un objet matériel et nécessairement sans pilote car toute structure biologique à bord aurait été transformé en bouillie.
    On progresse (à pas lents) mais on progresse un peu.



  • 1 vote
    jjwaDal 14 juillet 2023 23:23

    @yoananda2
    Non, de très loin. Il y a beaucoup mieux mais pas chez nous voilà tout.



  • 1 vote
    jjwaDal 14 juillet 2023 23:21

    @berry
    Sauf que pas une fois on n’a vu apparaître soudainement une arme qui était en avance de dizaines (sinon centaines) d’années sur la technologie de l’époque. Donc les OVNIs des années 1940 n’aurait pas été utilisés une seule fois sur un champ de bataille et on continuerait depuis à construire des "casseroles volantes" comme le F35 alors qu’on aurait 100 fois mieux. Douteux pour le moins...
    Le soucis est que le seul incident bien documenté du "Nimitz" (voir le témoignage de Kevin Day par ex) exclu totalement qu’ils aient eu affaire à un engin piloté et quand bien même on serait incapable de très loin de faire voler un engin ayant les caractéristiques de vol observées au radar (un radar militaire de surcroît).
    "Extra-terrestre" est une opinion, car on ne sait pas à quoi on a affaire. Il pourrait s’agir de nous, il pourrait s’agir d’indices que nous sommes dans une simulation informatique, il pourrait s’agir de quelque chose auquel nous n’avons pas encore conceptuellement accès pas plus que le concept d’ordinateur n’était accessible au moyen-âge par ex.
    Mais il y a quelque chose extérieur à notre civilisation qui interagit avec nous de façon sporadique.
    Imaginer qu’on puisse avoir des "preuves" équivaut à imaginer que des singes observés dans une forêt africaine puisse "détecter" les chercheurs qui les observent via radar, infrarouges, téléobjectifs, drônes, etc...
    Quand on cherche à observer quelqu’un qui nous observe et qui est bien plus intelligent que nous, imaginer qu’on puisse le prendre à son propre jeu est de l’utopie.
    Je vous laisse deviner pourquoi nous n’avons pas cherché à rencontrer le chef des fourmis pour partager notre technologie ou nos points de vue sur le monde.
    Stanton Friedman aurait dit que quand on viens visiter un zoo ce n’est pas dans l’intention de discuter avec les pensionnaires...



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    jjwaDal 8 juillet 2023 22:03

    @yoananda2
    Le système perdra l’équilibre sous l’effet de forces naturelles et deviendra éligible au changement à ce moment là. Qui aurait pu prévoir (sauf à être grand maître aux échecs) que les USA flinguerait leur monnaie "mondiale" pour le seul plaisir d’accorder à un pays insignifiant de plus le bénéfice de l’article 5 du traité de l’Atlantique Nord ? Le rapport bénéfice/inconvénient est tellement abyssal que personne n’aurait raisonnablement avancé une telle prédiction. Et pourtant "les cons ça ose tout c’est même à ça qu’on les reconnaît" et il y a pléthore aux commandes.
    Le peuple a été rendu impuissant, certes, la démocratie leur faisant horreur. Mais personne ne peut corrompre les lois de la physique.



  • 3 votes
    jjwaDal 8 juillet 2023 20:32

    La "démocratie" pour ces gens là consiste à imposer un choix inexistant de personnages substituables pour faire une politique décidée par une poignée sans aucune consultation populaire, en gros un chèque en blanc signé les yeux bandés tous les cinq ans.
    Que l’immense majorité des choix et alternatives ensisageables soit strictement interdits par des traités européens signés dans notre dos ne les émeut pas une seconde, c’est encore la démocratie pour eux.
    Que le droit soit écrit par une poignée en étant encadré par du droit que jamais ni la "représentation nationale" ni le peuple ne pourront débattre ne les choque pas plus.
    Ils rendent invisibles les structures sociales d’asservissement du peuple pour mieux s’en servir pour leurs intérêts et non les nôtres.
    Hitler, pas plus que Busch, Poutine ou Zelensky n’ont eu à sonner au domicile de centaines de milliers de citoyens pour leur demander poliment si cela pourrait les tenter d’aller tuer de parfaits inconnus qui leur tireront dessus pour les en remercier.
    Le citoyen en démocratie n’a pas plus de pouvoir pour influencer notre destin collectif que la vache n’en a pour décider de l’heure ou des modalités de la traite.
    La "démocratie" c’est concrètement ça. Il va falloir passer à autre choses avant que l’un de ces zozos décide de nous cramer sous le feu nucléaire en oubliant bien sûr la case "référendum"...
    Impossible que cela s’opère dans la douceur, vu qu’elle est rendue inopérante par le système lui-même. Il interdit toute évolution démocratique et récoltera donc ce qu’il a semé ou pas...



  • 1 vote
    jjwaDal 2 juillet 2023 08:31

    Le passé devrait venir à notre rescousse car la quasi invisibilité des structures sociales apparait parfois au grand jour sans qu’il soit possible de regarder ailleurs (même si tout est multifactoriel et lié).
    Par ex on a estimé correct de juger au procès de Nuremberg des individus qui avaient été les instruments du désastre nazi en Allemagne. On leur a reproché d’avoir fait ce qu’ils ont fait. Normal. Normal ?
    On leur avait appris l’obéissance sans discuter depuis la prime enfance, aux parents, à la maîtresse d’école, aux panneaux de signalisation routière, à la police, à l’administration, aux lois. Ils sont devenus militaire, une catégorie sociale où l’obéissance aux ordres est une condition sine qua non et en temps de guerre le refus d’exécuter les ordres est passible de mort. Celui qui refuse est supprimé et remplacer, simplement.
    Il est cependant bien plus facile de pendre des individus que modifier (pendre ?) des structures sociales.
    Pensez vous que Poutine ou Zelensky (ou Hitler dans le passé) aient sonné à la porte de centaines de milliers de personne pour venir les convaincre d’aller tuer des inconnus complets dans un pays voisin ? Ils ont utilisé des structures sociales et des corps sociaux de coercision (prêts à l’emploi) pour imposer la volonté d’un à tous.
    Comment expliquer que ni vous ni moi n’ayons basculé dans la petite délinquance quotidienne, brûlé des voitures, nargué la police, etc ? On a les bons gênes ? Les bons parents ? Allons donc...
    La psychologie nous démontre tous les jours que nous sommes sous influence massive de notre environnement et l’environnement pourrait se laver les mains du comportement des individus qui baignent à son contact dès la prime enfance ?
    On laisse arriver des gens qui sont mal adaptés en base à nos sociétés (la langue et la culture déjà) et dont on n’a nul besoin sans avoir les moyens d’intégration pour éviter qu’ils se démerdent pour survivre dans ces conditions. On fait vivre des français dans des cages à lapins au contact d’un pays étranger où ils n’ont pas choisi de vivre. Qu’est-ce qui pourrait bien arriver de fâcheux au fil de l’eau, tôt ou tard, on se le demande ...
    Celui qui a trouvé les ressources pour survivre et grandir dans un bain d’acide n’a pas à accuser ceux qui n’en sont pas sortis indemne.



  • 4 votes
    jjwaDal 1er juin 2023 18:43

    @yoananda2
    "la désinformation est ce qui s’oppose à la version officielle". Oui, dans les faits c’est ça. On l’a vu de façon flagrante avec la crise sanitaire où des experts sur la technologie des vaccins à ARNm (Malone par ex) ou dans le traitement hospitalier des cas Covid, se voyaient trainer dans la boue, stigmatisés, quand ils n’étaient pas virés ou condamnés à se taire par interdiction d’utiliser les médias internet de grande diffusion et inexistants sur les plateaux TV bien sûr.
    Tous les grands médias ont battu les tambours du consensus (factice) à la fois sur l’origine du virus, les méthodes de traitement (le vaccin point final) et l’innocuité de cette nouvelle technologie.
    En science le consensus nait du débat contradictoire, là il naissait par édit bureaucratique disposé de s’appuyer sur le réel. Tout débat grand public était simplement interdit.
    La guerre d’Ukraine a offert une nouvelle opportunité d’enfoncer le clou. On a débranché RT (on ne sait jamais, des français risquaient de prendre les armes pour venir épauler les russes peut-être...), puis Rumble. Sur Youtube ce fut une boucherie, les censeurs se sont régalés.
    On peut en principe respirer encore un peu avant l’arrivée massive de l’I.A. qui traquera le délit de "haine" 24h/24 et 365 jours par an, ce délit étant bien sûr réservé à tout ceux risquant de troubler le ronron du narratif propagé par la machine de guerre contre l’information que sont devenus la quasi totalité des grands médias.
    Twitter est dans le viseur pour refuser de se soumettre à des règles qui seront taillées sur mesure pour interdire tout accès à la vérité des faits dès que des pouvoirs trouveront notre curiosité un peu gênante.
    Un simple texte aussi peu passionnel et enflammé que celui-ci sera un jour interdit sinon passible de poursuites pénales pour avoir semé le doute sur la parole officielle. En matière de liberté d’échanger nous avons mangé notre pain blanc.



  • 3 votes
    jjwaDal 26 mai 2023 05:03

    Quel revirement ? Il n’a jamais prétendu que le vaccin tuait plus qu’il ne protégeait, que je sache ?...
    Il est su depuis plus d’un an que ce candidat vaccin semblait à court terme avoir un effet protecteur chez les sujets âgés (disons plus de 65 ans) et surtout les très âgés.
    Vu son taux d’effets secondaires, vu qu’il n’empêchait nullement la contamination ultérieure ni la diffusion on cherche toujours pourquoi il fallait à tout prix violer le Code de Nuremberg pour piquer tout le monde, alors que pour l’essentiel de la population l’effet protecteur était nul. Les chiffres britanniques montraient même une mortalité supérieure chez les vaccinés dans les moins de 50 ans, possiblement sans rapport avec ce produit, mais difficile de s’en servir comme preuve d’efficacité.
    Utiliser les déclarations du Pr Raoult pour occulter les énormes anomalies de santé publique commises dans la gestion de cette épidémie est une pratique bien compréhensible.
    L’existence même d’un "consensus" vendu par tous les grands médias concernant un virus dont on ignorait l’essentiel et une technologie jamais éprouvée sur l’homme et au recul non significatif sur l’animal aurait dû alerter bien plus de monde bien plus tôt.
    Le consensus nait de l’expérience et du libre débat scientifique, pas de l’ombre et de la propagande, encore moins du "flinguage social" de tout ceux ayant une vision différente. Raoult a contribué à sauver plus de vies que tous les crétins qui le trainaient dans la boue sur l’internet et dans les médias et tué personne avec l’HCQ, que je sache...



  • 6 votes
    jjwaDal 6 mai 2023 16:22

    Lui s’en fout. C’est un camouflet et un doigt pointé bien haut pour les millions de moutons bêlants qui étaient prêts ou indifférents à envoyer au massacre des gens qui refusaient simplement de servir de cobayes non suivis dans une expérience potentiellement dangereuse et sans aucun bénéfice pour la collectivité. C’est un scandale absolu qui montre bien que les complices de la barbarie sont encore parmi nous. Se souvenir qu’un sondage en Autriche avait montré qu’une majorité de la population était prête à mettre les réfractaires à cette injection expérimentale dans des camps de "regroupements" (on ne dit plus "concentration", ça fait tâche). L’Australie l’a fait pendant quelques mois pour ceux ayant un test PCR positif.
    Ce serait un camouflet si tout ceux qui sont à l’origine de cette tentative de mise à mort sociale des personnels soignants ayant fait le choix du refus de servir de cobaye pour rien, devaient dommages et intérêts à tout ces gens, pour volonté de nuire explicite.



  • 6 votes
    jjwaDal 1er mai 2023 12:37

    Aucune crise démocratique pour un "représentant" qui décide en 1981, que la peine de mort sera réservée aux victimes et en aucun cas aux agresseurs qui vivront à nos frais pendant des décennies sans avoir à se soucier des fins de mois. Pas plus d’ailleurs pour un président de conseil constitutionnel qui trouvait que les terroristes luttant contre le gouvernement légitime de Syrie "faisait du bon travail" ou plus récemment que le gouvernement pouvait se torcher avec le "Protocole de Nuremberg" (la "vaccination" expérimentale sous la contrainte de l’épisode sanitaire récent).
    Qui sont ces gens sinon qu’on sait qu’ils sont sortis de cette droite complexée qui a mis des décennies à tomber le masque ? Nos saigneurs et maîtres ?
    Nous avons couru à la guerre en Ukraine en deux temps majeurs. Au début des années 1990 quand on a dit à la "Russie" en proie à une crise financière grave (inévitablement temporaire vu que le pays est une caverne d’Ali Baba minérale et énergétique) provoquée par le passage à une économie capitaliste, "démerdez vous", quand dans le même temps on aidait massivement la Pologne qui avaient globalement les mêmes soucis.
    On a bien plus aidé les allemands à sortir de l’Allemagne nazie, que les russes à sortir du communisme, ce qui a édifié ceux qui croyaient en la vision de Gorbatchev, très naïf pour beaucoup de russes.
    La seconde aura été le sommet de l’OTAN à Bucarest (2008) où malgré les demandes réitérées de la Russie on a déclaré que l’Ukraine entrerait dans l’OTAN, six ans avant le coup d’Etat pour la mise en oeuvre de ce plan insensé.
    Mélanger une guerre aux responsabilités partagées avec un problème de gestion interne qui peux se faire différemment relève d’une volonté de brouiller la discussion sur le second sujet. Pour le premier, quand nous (les USA) décideront de mettre un terme à cette guerre et bâtir un projet commun de sécurité sur le continent européen, la guerre s’arrêtera. C’est quand on veut ou plutôt quand ils veulent...



  • 5 votes
    jjwaDal 16 avril 2023 10:45

    Le diagnostic il est fait : on a laissé au début des années 1970 le privilège de création monétaire au privé et donc on se fait rançonner depuis lors.
    On a de part notre constitution une représentation parlementaire qui ne représente pas nos intérêts et qui par suite des traités européens passe son temps (les 2/3) à signer en bas de page des modifications aux lois françaises mitonnées dans leur dos.
    Le parlement européen représente encore moins les intérêts du peuple français que sa propre représentation, la commission (des bureaucrates non élus) étant à la manoeuvre pour la rédaction des futures lois qui s’imposeront à nous.
    Elle même ne défend nullement les intérêts des peuples européens dans les négociations de l’OMC qui de fait créent du droit mondial qu’elle va transcrire en droit européen prévalant sur les lois françaises de part les traités.
    Ce n’est pas un hasard si on place en tête de gondole le droit des minorités (droit de se déclarer "non binaire" ici, du mariage homo là) , car on se torche symétriquement avec le droit de la majorité et il faut détourner un peu l’attention.
    On ne bat plus monnaie, on ne fait plus nos lois, les choix politiques doivent s’inscrire dans le marbre des traités (considérés comme clapets anti-retour, ce qui signifie l’absence de tout débat démocratique pour évoluer face à un monde qui lui bouge), de fait on a abandonné notre souveraineté.
    Le libre échangisme total nous a fait perdre des millions d’emplois (balance commerciale avec la Chine déficitaire depuis le début) et l’argent va là où il est le mieux "rémunéré" d’où accaparement croissant des fruits de l’augmentation de productivité par le capital, sinon "mauvaise note" des agences de notation et taux d’intérêts assassins, etc...
    Moins de cotisants, des salaires diminués, obligation de se faire racketer sur le continent de l’épargne et on nous dit qu’il va falloir travailler probablement jusqu’à 70 ans si on veut faire tenir debout la retraite par répartition ?...
    Un Etat souverain pourrait revenir sur l’ensemble de tous ces points pour rétablir ses équilibres. Nous ne le sommes plus depuis longtemps. Il nous reste les yeux pour pleurer et on peut râler autant qu’on veut. Ils ont la "Loi" pour eux et les forces de l’"Ordre" (le leur) aussi.



  • 2 votes
    jjwaDal 18 mars 2023 05:00

    @pololo
    L’analogie est invalide.
    La vaccination est un outil magnifique pour gérer des pathogènes que notre système immunitaire ne sait pas gérer convenablement. Celui-ci avait le taux de létalité de la grippe chez les moins de 70 ans et vous confondez intentionnellement (ou par bêtise) l’administration d’un pathogène affaibli/atténué avec l’injection d’un programme de fabrication d’un antigène de surface.
    Quand on s’acharne à vouloir protéger des gens qui le sont déjà par le simple fait d’être jeune et en bonne santé et d’avoir un système immunitaire capable de gérer le pathogène, cela s’appelle une opération commerciale et pas une mesure de santé publique.
    Les pionniers de la vaccination n’ont jamais été en mesure de vacciner une bonne fraction de l’humanité et donc ils ont effectivement conduits une expérience à portée limitée. On a vacciné à grande échelle contre la polio quand on avait déjà un confortable recul, ce qui n’a pas empêché ma belle soeur de se retrouver handicapée à vie suite à l’injection du vaccin antipolio par ex.
    Il est possible que cette nouvelle technique s’avère précieuse et sans danger. Pour le moment le jury ne peut se prononcer.
    Mais comme l’a confirmé une étude récente, on ne sait pas fabriquer un vaccin contre un virus qui mute rapidement. On a effectivement vacciné des gens contre un variant disparu, ce qui pourrait expliquer en partie le peu d’efficacité de ces produits, un voisin triplement vacciné étant passé aux urgences pour un décollement de la plèvre, une autre relevant d’un syndrôme de guillain-barré.
    Oui, la plupart n’ont eu ni myocardite ni ne sont morts après la vaccination. La belle affaire... On commence toujours par étudier la toxicité immédiate d’une substance, assez facile à vérifier.



  • 3 votes
    jjwaDal 17 mars 2023 20:25

    Il n’y aura aucun débat. Dès la fin 2020 il y avait un consensus de carton pâte, affiché par le haut clergé médical, les politiques, les grands médias et les scientifiques (les "vrais") pour dire de ces nouveaux vaccins expérimentaux qu’ils étaient sûrs et efficaces.
    Or logiquement il était impossible de savoir qu’ils étaient sans danger (on a découvert les risques du distilbène à la génération suivante par ex) et donc il n’y avait aucune possibilité de consentement éclairé (au demeurant sous contrainte), on n’était pas capables de dire s’ils allaient protéger de la contamination et de la diffusion les "vaccinés", on n’était pas capable d’expliquer leur accumulation au niveau des ovaires et de la moelle osseuse, on ignorait qu’ils pouvaient demeurer dans l’organisme près d’un mois, on oubliait un peu vite le taux d’effets secondaires et pire, on savait que les cobayes de l’expérience ne seraient jamais suivis médicalement, car si on peut suivre quelques milliers de cobayes, avec quelques centaines de millions on ne fait que du comptage de cadavres, au mieux, car on n’a ni les moyens humains ni les moyens financiers de le faire.
    Qu’on ait sciemment violé le "Code de Nuremberg" en faisant courir des risques injustifiés aux femmes en âge de procréer et aux jeunes (a minima), restera une marque d’infamie pour longtemps et de déshonneur pour tout ceux qui ont asséné ici et ailleurs que ceux qui refusaient de courir un risque incommensurable pour un bénéfice illusoire (la plupart ont un système immunitaire en état de marche) étaient au mieux des imbéciles, au pire des salauds.

    On a quand même injecté une triple dose d’un vaccin, censé protéger contre un variant qui avait disparu dès le début 2021, un peu comme ci on avait fait une triple injection contre le virus de la grippe de l’hiver 2019/2020 en 2021 et 2022...

    Jamais la vaccination et rarement la science n’auront été à ce point discréditées par la collusion entre acteurs qui avaient un intérêt bien compris à mentir et à faire taire tout débat.

    On ne ment pas à la Nature. Tôt ou tard nous saurons avec certitude où étaient les sages et où étaient les fous.

    J’ai mon idée la dessus.



  • vote
    jjwaDal 21 février 2023 16:05

    @wendigo
    Comparaison discutable et de portée limitée. Si votre hélicoptère est assez haut pour esquiver des tirs d’armes légères (le projectile luttant contre la gravité) aucune flèche ne l’atteindra avec une énergie cinétique suffisante pour créer un dommage. Bien sûr s’il fait du rase-mottes, même une branche balancée dans les pales va causer du dommage.
    Les appareils dont on a pu clarifier les performances à partir d’installations militaires "haut de gamme" sont capables de s’infliger des accélérations monstrueuses au point que voyant le signal (qui va à la vitesse de la lumière) de la flèche quittant l’arc, ils sont loin avant que la flèche atteigne l’endroit où ils étaient au moment du tir.
    Au demeurant la distance de la cible fait tout en donnant un temps de réaction confortable et quand vous survolez une planète étrangère vous vous donnez les marges de manoeuvre pour réagir, juste au cas où. Le "tictac" de l’incident "Nimitz" avait des caractéristiques de vol excluant que l’avion puisse le toucher, mais cependant il esquive le contact manifestement quand Fraser tente l’approche pour un contact visuel. Ce qui fait l’ovni "per se" est bien qu’il soit non identifiable, malgré tous les moyens mis en oeuvre qui auraient pu permettre l’identification.